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La France se dirige vers la révision de ses relations économiques avec son ancienne colonie, l’Algérie. Ce thème a fait l’objet d’un débat tenu à Marseille, et auquel a pris part quelques économistes, des hommes d’affaires et des chefs d’entreprises français. Le choix n’est pas tombé sur Marseille, fortuitement, bien au contraire ce département a gravement souffert des mesures contenues dans la loi de finances complémentaire 2009, et la loi de finances 2010, suite à la baisse considérable des activités commerciales de son port.
Dans son intervention, le directeur général de la banque française, Palatine, a déclaré que les relations commerciales algéro-françaises vont connaître une légère amélioration dans l’avenir. Cette déclaration s’inscrit dans une démarche visant à inciter « les chefs d’entreprises françaises à aller investir en Algérie, vu les avantages qu’offre le marché algérien, en matière d’investissement ». A noter que ladite banque accompagne 2400 entreprises qui exportent une grande partie de leurs produits vers Algérie, via le port de Marseille.
L’initiative de la ville de Marseille intervient après une année difficile, compte tenu des difficultés économiques dont fait face Marseille et la France entière.
Il y a lieu de relever que la crise existant entre les deux pays est multi dimensionnelle. Elle a été aggravée, la semaine dernière, par le refus du non lieu dans l’affaire du diplomate algérien, Ziane Hasseni, un dossier qui envenime les relations entre les deux pays. La loi glorifiant le colonialisme et le refus de la France de renoncer à la liste noire, qui impose aux ressortissants algériens une série de mesures de sécurité discriminatoires, n’ont fais qu’enfoncer le clou.
Selon certains observateurs, Paris envisage de renforcer ses relations bilatérales avec les pays du Maghreb, notamment avec l’Algérie, et ce dans les quelques secteurs, à l’exemple des hydrocarbures, les énergies renouvelables et l’agriculture, ajoutant que la coopération entre les deux pays passe obligatoirement le règlement de la crise politique existant entre les deux pays.
El-Khabar
Dans son intervention, le directeur général de la banque française, Palatine, a déclaré que les relations commerciales algéro-françaises vont connaître une légère amélioration dans l’avenir. Cette déclaration s’inscrit dans une démarche visant à inciter « les chefs d’entreprises françaises à aller investir en Algérie, vu les avantages qu’offre le marché algérien, en matière d’investissement ». A noter que ladite banque accompagne 2400 entreprises qui exportent une grande partie de leurs produits vers Algérie, via le port de Marseille.
L’initiative de la ville de Marseille intervient après une année difficile, compte tenu des difficultés économiques dont fait face Marseille et la France entière.
Il y a lieu de relever que la crise existant entre les deux pays est multi dimensionnelle. Elle a été aggravée, la semaine dernière, par le refus du non lieu dans l’affaire du diplomate algérien, Ziane Hasseni, un dossier qui envenime les relations entre les deux pays. La loi glorifiant le colonialisme et le refus de la France de renoncer à la liste noire, qui impose aux ressortissants algériens une série de mesures de sécurité discriminatoires, n’ont fais qu’enfoncer le clou.
Selon certains observateurs, Paris envisage de renforcer ses relations bilatérales avec les pays du Maghreb, notamment avec l’Algérie, et ce dans les quelques secteurs, à l’exemple des hydrocarbures, les énergies renouvelables et l’agriculture, ajoutant que la coopération entre les deux pays passe obligatoirement le règlement de la crise politique existant entre les deux pays.
El-Khabar
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