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Il y a 53 ans, Louni Arezki était guillotiné à Serkadji

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  • Il y a 53 ans, Louni Arezki était guillotiné à Serkadji

    Les noms de nos rues, boulevards, édifices, incarnent une symbolique et des repères structurants, fondamentaux, de la mémoire collective à fertiliser et à perpétuer pour les générations futures.

    Ainsi, le quartier de la rampe Louni Arezki attenant à la Casbah porte, depuis l’indépendance de l’Algérie, le nom glorieux de ce chahid condamné à mort et guillotiné à la prison de Serkadji le 8 avril 1957 par la barbarie colonialiste.

    Pour perpétuer son souvenir et celui des héroïques suppliciés du devoir, par le sacrifice suprême du don de soi, l’association des Amis de la rampe Louni Arezki leur consacrera en la circonstance une journée thématique commémorative, jeudi prochain au palais El Menzah, 46, rue Benchenb (face au mausolée Sidi Abderrahmane), à la Casbah où une communication-débat intitulée «Toponymie de la ville d’Alger et mémoire (approche d’un état des lieux» sera présentée par le président de l’association, Lounis Aït Aoudia.

    Placé sous le slogan «Réappropriation des valeurs de la société à travers les repères fondamentaux de la mémoire collective», cet événement qui sera célébré avec les jeunes et leurs aînés, ensemble, débutera par une cérémonie de recueillement sur les lieux témoins de l’historique et héroïque sacrifice, à la prison de Serkadji, le matin à 10h30.

    Pour mémoire, le 8 avril 1957 était un lundi dont Louni Arezki, qui est né le 26 août 1924, et ses compagnons Badeche Saïd et Mameri Amar n’ont pu apercevoir le matin, car sauvagement exécutés à la guillotine à l’aube de ce jour naissant, guillotinés en un seul et même temps pour que vive l’Algérie de toujours. Celle de tous les temps.


    Par Lounis Aït Aoudia, Président de l’association des Amis de la rampe Louni Arezki la Tribune

  • #2
    Ils ont sacrifie leur vie pour que les corrompus se régalent et vivent la dolce vita.

    Allah les accueille dans son paradis.
    Ask not what your country can do for you, but ask what you can do for your country.

    J.F.Kennedy, inspired by Gibran K. Gibran.

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