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NEW YORK, 7 avril (Reuters) - Le secrétaire général, Ban Ki-Moon a déclaré dans un rapport publié mercredi que le Maroc et le mouvement d'indépendance du Sahara occidental, Polisario, restent bloquées sur l'avenir du territoire riches en ressources.
Ban a recommandé dans un rapport au Conseil de sécurité que la Mission des Nations Unies pour le référendum au Sahara occidental (MINURSO), restent en place pour une autre année, jusqu'au 30 avril 2011. La mission comprend 233-forte observateurs militaires, soldats et policiers.
"La dimension humaine du conflit, notamment le sort des réfugiés du Sahara occidental, est une préoccupation croissante», a déclaré M. Ban, ajoutant qu'il était également préoccupé par les violations persistantes d'un accord militaire.
Le conflit en est à sa 35e année. Il est centré sur un territoire contesté qui est légèrement plus grand que la Grande-Bretagne avec moins d'un demi-million de personnes connu sous le nom des Sahraouis. La région est riche en phosphates - utilisés dans la fabrication d'engrais - et, éventuellement, le pétrole et le gaz.
«Je suis préoccupé par la situation en matière de droits de l'homme. Chaque partie accuse l'autre de violations relatives aux Sahraouis dans le territoire et dans les camps de réfugiés, et chacun nie les accusations portées contre elle, dit-il.
Maroc a annexé l'ancienne colonie espagnole du Sahara occidental en 1975 et est maintenant l'offrir autonomie. Mais le Front Polisario, qui a combattu une guerre de guérilla jusqu'en 1991, exige un référendum avec l'indépendance comme une option.
Le Sahara occidental est truffé de mines et les restes de munitions non explosées de la guerre.
Maroc et le Polisario, qui est soutenu par l'Algérie, faire valoir leurs dernières propositions il ya trois ans, mais demeure négociations ont été rompues dans l'acrimonie après moins d'un an.
Les deux parties restent divisées après des entretiens informels en Autriche en août 2009 et en état de New York en Février 2010.
M. Ban a indiqué qu'aucune partie ne soit prêt à accepter la proposition de l'autre comme la seule base des futures négociations et qu'il n'y a rien de nature à modifier ce statut »pour l'avenir prévisible." (Modification par Zargham Mohammad)
Texte original :
UN's Ban says Morocco, Polisario still deadlocked
Wed Apr 7, 2010 9:40pm GMT
By Daniel Bases
NEW YORK, April 7 (Reuters) - U.N. Secretary-General Ban Ki-Moon said in a report released on Wednesday that Morocco and Western Sahara's independence movement, Polisario, remain deadlocked over the resource-rich territory's future.
Ban recommended in a report to the Security Council that the United Nations' Mission for the Referendum in Western Sahara (MINURSO), remain in place for another year, through April 30, 2011. The 233-strong mission includes military observers, troops and civilian police.
"The human dimension of the conflict, including the plight of the Western Saharan refugees, is a growing concern," Ban said, adding that he was also worried by continuing violations of a military agreement.
The dispute is in its 35th year. It centers on a disputed territory which is slightly bigger than Britain with fewer than half a million people known as Sahrawis. The area is rich in phosphates -- used in making fertilizers -- and, potentially, offshore oil and gas.
"I am concerned by the situation with regard to human rights. Each side accuses the other of violations relating to Saharans in the territory and in the refugee camps, and each denies the accusations made against it," he said.
Morocco annexed the former Spanish colony of Western Sahara in 1975 and is now offering it autonomy. But the Polisario Front, which fought a guerrilla war until 1991, demands a referendum with independence as one option.
Western Sahara is littered with landmines and the remnants of unexploded ordnance from the war.
Morocco and Polisario, which is backed by Algeria, put forward their latest proposals three years ago but formal negotiations broke down in acrimony after less than a year.
The two sides remain divided after informal talks in Austria in August 2009 and in New York state in February 2010.
Ban said neither party is prepared to accept the proposal of the other as the sole basis of future negotiations and that there is nothing likely to change this status "for the foreseeable future." (Editing by Mohammad Zargham)
Ban a recommandé dans un rapport au Conseil de sécurité que la Mission des Nations Unies pour le référendum au Sahara occidental (MINURSO), restent en place pour une autre année, jusqu'au 30 avril 2011. La mission comprend 233-forte observateurs militaires, soldats et policiers.
"La dimension humaine du conflit, notamment le sort des réfugiés du Sahara occidental, est une préoccupation croissante», a déclaré M. Ban, ajoutant qu'il était également préoccupé par les violations persistantes d'un accord militaire.
Le conflit en est à sa 35e année. Il est centré sur un territoire contesté qui est légèrement plus grand que la Grande-Bretagne avec moins d'un demi-million de personnes connu sous le nom des Sahraouis. La région est riche en phosphates - utilisés dans la fabrication d'engrais - et, éventuellement, le pétrole et le gaz.
«Je suis préoccupé par la situation en matière de droits de l'homme. Chaque partie accuse l'autre de violations relatives aux Sahraouis dans le territoire et dans les camps de réfugiés, et chacun nie les accusations portées contre elle, dit-il.
Maroc a annexé l'ancienne colonie espagnole du Sahara occidental en 1975 et est maintenant l'offrir autonomie. Mais le Front Polisario, qui a combattu une guerre de guérilla jusqu'en 1991, exige un référendum avec l'indépendance comme une option.
Le Sahara occidental est truffé de mines et les restes de munitions non explosées de la guerre.
Maroc et le Polisario, qui est soutenu par l'Algérie, faire valoir leurs dernières propositions il ya trois ans, mais demeure négociations ont été rompues dans l'acrimonie après moins d'un an.
Les deux parties restent divisées après des entretiens informels en Autriche en août 2009 et en état de New York en Février 2010.
M. Ban a indiqué qu'aucune partie ne soit prêt à accepter la proposition de l'autre comme la seule base des futures négociations et qu'il n'y a rien de nature à modifier ce statut »pour l'avenir prévisible." (Modification par Zargham Mohammad)
Texte original :
UN's Ban says Morocco, Polisario still deadlocked
Wed Apr 7, 2010 9:40pm GMT
By Daniel Bases
NEW YORK, April 7 (Reuters) - U.N. Secretary-General Ban Ki-Moon said in a report released on Wednesday that Morocco and Western Sahara's independence movement, Polisario, remain deadlocked over the resource-rich territory's future.
Ban recommended in a report to the Security Council that the United Nations' Mission for the Referendum in Western Sahara (MINURSO), remain in place for another year, through April 30, 2011. The 233-strong mission includes military observers, troops and civilian police.
"The human dimension of the conflict, including the plight of the Western Saharan refugees, is a growing concern," Ban said, adding that he was also worried by continuing violations of a military agreement.
The dispute is in its 35th year. It centers on a disputed territory which is slightly bigger than Britain with fewer than half a million people known as Sahrawis. The area is rich in phosphates -- used in making fertilizers -- and, potentially, offshore oil and gas.
"I am concerned by the situation with regard to human rights. Each side accuses the other of violations relating to Saharans in the territory and in the refugee camps, and each denies the accusations made against it," he said.
Morocco annexed the former Spanish colony of Western Sahara in 1975 and is now offering it autonomy. But the Polisario Front, which fought a guerrilla war until 1991, demands a referendum with independence as one option.
Western Sahara is littered with landmines and the remnants of unexploded ordnance from the war.
Morocco and Polisario, which is backed by Algeria, put forward their latest proposals three years ago but formal negotiations broke down in acrimony after less than a year.
The two sides remain divided after informal talks in Austria in August 2009 and in New York state in February 2010.
Ban said neither party is prepared to accept the proposal of the other as the sole basis of future negotiations and that there is nothing likely to change this status "for the foreseeable future." (Editing by Mohammad Zargham)
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