Il semble que l’aisance financière de l’Algérie ne profite pas à tous les enfants de ce pays. En effet, dans l’Algérie de 2010, il existe des familles incapables de nourrir leurs enfants. Mme. Fatiha en est un exemple édifiant. Cette femme, faute de nourriture et de moyens de vie les plus élémentaires, a décidé de remettre ses enfants à un centre d’aide à l’enfance, et de mettre fin à sa vie, en commettant une tentative de suicide à l’aide d’un couteau. Le geste de cette algérienne n’est pas fortuit, mais bien au contraire, elle ne pouvait pas supporter de voir ses enfants mourir de faim. Incroyable mais vrai, cette femme n’a pas mangé à sa faim depuis une semaine.
Fatiha, 44 ans, n’a pas pu supporter de voir ses enfants mourir de faim, elle a perdu connaissance et elle ne s’est réveillée que sous les cris de sa petite fille, qui s’est précipité pour aller demander l’aide de la voisine. Cette dernière est intervenue pour secourir la mère malade et a apporté la nourriture aux enfants, qui ont passé 3 jours sans avoir de quoi manger. Selon la voisine, les enfants de Fatiha passaient des nuits et des jours sans en trouver quelque chose à mettre sous les dents.
C’est grâce aux membres de l’Association d’insertion et de promotion des non-voyants que nous avons pu prendre connaissance de la situation de Fatiha. Elle habite à la cité 500 logements, dans la commune de Bouhdid, dans la wilaya d’Annaba. Cette pauvre femme vit dans des conditions déplorables ; elle se retrouve dans l’incapacité de donner à manger à ses enfants.
Avec une grande tristesse, les yeux larmoyants, elle nous a dit que son mari l’a quittée il y a 9 ans, en lui laissant 3 enfants à charge : Islam Eddine, 13 ans, Bilel, 12 ans et Malak, 9 ans. Elle travaillait comme agent d’entretien avec des contrats de courtes durées, au niveau de l’hôpital d’Annaba. Il y a deux années, elle est tombée gravement malade, la cause : une tumeur bénigne au niveau de la tête, qui lui a obligé d’abandonner son travail. Elle a subi une opération, mais hélas, sans succès. Elle perd connaissance souvent. Actuellement, elle n’arrive même pas à se relever de son lit, vu la gravité de santé.
Selon la voisine, les enfants de Fatiha passent des jours et des nuits sans avoir quoi manger, ils vivent grâce aux dons des voisins, ajoutant qu’après avoir perdu espoir et de peur de voir ses enfants exploités par des personnes de mauvaise intention, elle a décidé de les remettre au centre de l’aide à l’enfance. Mais les enfants ont refusé de quitter leur mère. « Nous n’avons aucun revenu, nous vivons des aumônes des bienfaiteurs et les voisins », disait Fatiha, les yeux larmoyants. Fatiha lance un appel aux élus locaux pour la prendre en charge et l’assister pour se soigner afin qu’elle puisse grandir ses enfants.
Elkhabar online
Fatiha, 44 ans, n’a pas pu supporter de voir ses enfants mourir de faim, elle a perdu connaissance et elle ne s’est réveillée que sous les cris de sa petite fille, qui s’est précipité pour aller demander l’aide de la voisine. Cette dernière est intervenue pour secourir la mère malade et a apporté la nourriture aux enfants, qui ont passé 3 jours sans avoir de quoi manger. Selon la voisine, les enfants de Fatiha passaient des nuits et des jours sans en trouver quelque chose à mettre sous les dents.
C’est grâce aux membres de l’Association d’insertion et de promotion des non-voyants que nous avons pu prendre connaissance de la situation de Fatiha. Elle habite à la cité 500 logements, dans la commune de Bouhdid, dans la wilaya d’Annaba. Cette pauvre femme vit dans des conditions déplorables ; elle se retrouve dans l’incapacité de donner à manger à ses enfants.
Avec une grande tristesse, les yeux larmoyants, elle nous a dit que son mari l’a quittée il y a 9 ans, en lui laissant 3 enfants à charge : Islam Eddine, 13 ans, Bilel, 12 ans et Malak, 9 ans. Elle travaillait comme agent d’entretien avec des contrats de courtes durées, au niveau de l’hôpital d’Annaba. Il y a deux années, elle est tombée gravement malade, la cause : une tumeur bénigne au niveau de la tête, qui lui a obligé d’abandonner son travail. Elle a subi une opération, mais hélas, sans succès. Elle perd connaissance souvent. Actuellement, elle n’arrive même pas à se relever de son lit, vu la gravité de santé.
Selon la voisine, les enfants de Fatiha passent des jours et des nuits sans avoir quoi manger, ils vivent grâce aux dons des voisins, ajoutant qu’après avoir perdu espoir et de peur de voir ses enfants exploités par des personnes de mauvaise intention, elle a décidé de les remettre au centre de l’aide à l’enfance. Mais les enfants ont refusé de quitter leur mère. « Nous n’avons aucun revenu, nous vivons des aumônes des bienfaiteurs et les voisins », disait Fatiha, les yeux larmoyants. Fatiha lance un appel aux élus locaux pour la prendre en charge et l’assister pour se soigner afin qu’elle puisse grandir ses enfants.
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