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Selon le ministre de l’Agriculture, des entreprises spécialisées dans certains créneaux vont être créées incessamment et ce, afin de combler des lacunes enregistrées sur certaines filières de son secteur. Il s’agirait, selon M. Benaïssa, entre autres d’une filiale de la compagnie aérienne Tassili Airlines qui se spécialiserait dans le traitement sanitaire aériens des terres agricoles.
Le ministre a également parlé d’une entreprise de Génie rural, première entreprise de ce type en Algérie, qui verrait le jour prochainement. Son champ d’action sera concentré sur la lutte contre la désertification et le renforcement du patrimoine forestier. Et le ministère ne s’arrête pas là. Une série d’autres sociétés, entre groupements et entreprises, seront érigées selon les propos du responsable, notamment un groupement pour les semences, un autre pour la valorisation de la viande rouge, un complexe d’abatage et, enfin, une entreprise d’entrepôts de froid. Cette dernière aura par exemple forte à faire, étant donné le retard qu’enregistre le pays en termes d’entrepôts frigorifiques. Grace à cette dernière initiative, le département de l’Agriculture compte au moins atteindre les 10% du marché algérien en termes de capacités. Ces instruments permettront, selon le ministre, et en premier lieu, à la régulation des quantités des produits agricoles et de leurs prix. Une mesure de première importance à l’approche du mois de Ramadhan.
Le Financier
Le ministre a également parlé d’une entreprise de Génie rural, première entreprise de ce type en Algérie, qui verrait le jour prochainement. Son champ d’action sera concentré sur la lutte contre la désertification et le renforcement du patrimoine forestier. Et le ministère ne s’arrête pas là. Une série d’autres sociétés, entre groupements et entreprises, seront érigées selon les propos du responsable, notamment un groupement pour les semences, un autre pour la valorisation de la viande rouge, un complexe d’abatage et, enfin, une entreprise d’entrepôts de froid. Cette dernière aura par exemple forte à faire, étant donné le retard qu’enregistre le pays en termes d’entrepôts frigorifiques. Grace à cette dernière initiative, le département de l’Agriculture compte au moins atteindre les 10% du marché algérien en termes de capacités. Ces instruments permettront, selon le ministre, et en premier lieu, à la régulation des quantités des produits agricoles et de leurs prix. Une mesure de première importance à l’approche du mois de Ramadhan.
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