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La faculté de médecine de l’université Saâd- Dahleb de Blida et le service de chirurgie du CHU de Blida ont organisé, hier dimanche, un colloque international sur la transplantation d’organes au niveau de l’hôtel militaire de Blida.
Des experts français dans le domaine de la greffe d’organes dont le Prs Jacques Cinqualbre et J.-P. Squisslep qui viennent de l’hôpital de Hautepierre de Strasbourg, ont pris part à cette journée scientifique aux fins de mettre à profit leur expérience et, partant, transmettre leur savoir à leurs homologues algériens d’autant que le CHU Frantz- Fanon de Blida, par le biais du Pr Mehdi Si Ahmed, a pris à bras-le-corps cette discipline qui a déjà atteint sa vitesse de croisière.
Concernant la transplantation d’organes à partir de morts cérébraux, le Dr Djamel Bouzidi parlera du message de l’imam dans l’objectif de sensibiliser les citoyens sur le sujet sachant que le mort reste encore sacro-saint en Algérie. A noter également que les ministres de la Santé et de l’Enseignement supérieur sont invités à ce colloque où plusieurs thèmes inhérents à la transplantation d’organes notamment à partir de morts cérébraux devront être débattus.
Dans le même ordre d’idées, il y a lieu de souligner que le 31 mars dernier, le service de chirurgie du CHU de Blida a réalisé avec succès la greffe de deux reins prélevés sur un mort cérébral âgé de 17 ans. Suite à une autorisation de ses parents, ses deux reins ont été greffés à deux jeunes malades venus d’Alger et de Tizi Ouzou.
Cette intervention chirurgicale qui est la deuxième après celle réalisée en 2002 au CHU de Constantine peut avoir un effet d’entraînement.
Pour le Pr Si Ahmed, chef de service de chirurgie de Blida, avec lequel nous nous sommes entretenus avant cette greffe, la transplantation d’organes à partir de morts cérébraux est une technique médicale qui a pour effet de sauver des vies humaines d’autant que le mort encéphalique n’a aucune chance de revenir à la vie. «C’est irréversible», nous a-t-il fait savoir.
Enfin, le Pr Si Ahmed reste optimiste quant à la collaboration des familles algériennes à la bonne cause.
Par le Soir
Des experts français dans le domaine de la greffe d’organes dont le Prs Jacques Cinqualbre et J.-P. Squisslep qui viennent de l’hôpital de Hautepierre de Strasbourg, ont pris part à cette journée scientifique aux fins de mettre à profit leur expérience et, partant, transmettre leur savoir à leurs homologues algériens d’autant que le CHU Frantz- Fanon de Blida, par le biais du Pr Mehdi Si Ahmed, a pris à bras-le-corps cette discipline qui a déjà atteint sa vitesse de croisière.
Concernant la transplantation d’organes à partir de morts cérébraux, le Dr Djamel Bouzidi parlera du message de l’imam dans l’objectif de sensibiliser les citoyens sur le sujet sachant que le mort reste encore sacro-saint en Algérie. A noter également que les ministres de la Santé et de l’Enseignement supérieur sont invités à ce colloque où plusieurs thèmes inhérents à la transplantation d’organes notamment à partir de morts cérébraux devront être débattus.
Dans le même ordre d’idées, il y a lieu de souligner que le 31 mars dernier, le service de chirurgie du CHU de Blida a réalisé avec succès la greffe de deux reins prélevés sur un mort cérébral âgé de 17 ans. Suite à une autorisation de ses parents, ses deux reins ont été greffés à deux jeunes malades venus d’Alger et de Tizi Ouzou.
Cette intervention chirurgicale qui est la deuxième après celle réalisée en 2002 au CHU de Constantine peut avoir un effet d’entraînement.
Pour le Pr Si Ahmed, chef de service de chirurgie de Blida, avec lequel nous nous sommes entretenus avant cette greffe, la transplantation d’organes à partir de morts cérébraux est une technique médicale qui a pour effet de sauver des vies humaines d’autant que le mort encéphalique n’a aucune chance de revenir à la vie. «C’est irréversible», nous a-t-il fait savoir.
Enfin, le Pr Si Ahmed reste optimiste quant à la collaboration des familles algériennes à la bonne cause.
Par le Soir