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Il faut d'abord développer l'image de la marque "made in Algéria"

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  • Il faut d'abord développer l'image de la marque "made in Algéria"



    Un séminaire d'information portant sur la présentation du panorama sectoriel à l'international de la filière agroalimentaire, a été organisé, hier, au siège de l'Agence nationale de promotion du commerce extérieur (Algex). Lors de son intervention, M. Jean-Jaques Rechenmann, expert en marketing international, a relevé dans son exposé sur " les données macro et micro-économique de la filière ", l'absence des produits algériens dans les grandes surfaces européennes, contrairement à ceux des pays voisins marocains et tunisiens, dont les produits sont les plus vendus, tels les dattes, les couscous, les huiles, les fruits.. etc. Il faut savoir que les vingt premiers produits agroalimentaires exportés par le Maroc, qui totalisent 1,2 milliard de dollars sont essentiellement constitués des fruits et légumes. Quant aux vingt premiers produits agroalimentaires exportés par la Tunisie totalisent 1,15 Mrds, et sont constitués essentiellement de l'huile d'olives, de dattes, et les pâtes. Alors que l'Algérie dispose d'un grand potentiel dans se secteur et qui peut être développé facilement, notamment si on constate la présence des produits indiens, sénégalais, ou autres sur les marchés européens. En effet, le secteur de l'agroalimentaire représente 50% de la production industrielle nationale, en revanche, les exportations agroalimentaires ne représente que 0,2% seulement, soit 114 millions de dollars, composées essentiellement de dattes, pattes, soja et huiles..etc. Selon l'expert, ce n'est pas forcément la qualité ou le prix qui fait vendre le produit, mais souvent c'est une question de marque ; si le produit est bien présenté certifié et labellisé automatiquement il sera connu. Ainsi donc, il suggère de développer une campagne de marketing " le label algérien n'est pas connu, donc c'est un problème de marketing ; il va falloir développer l'image de la marque " a-t-il souligné. Se basant sur des statistiques de l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO), le conférencier a, en revanche, révélé que parmi les 20 principaux pays exportateurs dans le monde, dans le secteur de l'agroalimentaire, citant à titre d'exemple les dattes, on remarque que la France et l'Allemagne pays européens non producteurs de la datte devance l'Algérie, un phénomène qui reste quand même étonnant. " Certes il n'existe pas de palmier en France ni en Allemagne, mais ces pays sont ré-exportatreurs, les principaux clients sont souvent les principaux concurrents " a-t-il expliqué.
    Cela dit, ces pays européens réexporte le produit après lavoir importé. Par ailleurs, l'identification des marchés cibles pour l'Algérie devrait prendre en compte les plus grands importateurs que sont les pays les plus industrialisés. L'Europe est un marché cible pour l'Algérie, mais il faut savoir que l'U.E n'accepte aucune tolérance par rapport au critère de conformité, a-t-il fait remarquer. L'entreprises algérienne exportatrice doit prendre en considération ces critères, à savoir la certification et le respect des normes européennes et internationales. Il citera, entre autres, les principales recommandations et normes européennes d'emballages en Europe, la norme HACCP par exemple, applique aux emballages (certification, audit, évaluation de la qualité d'emballage ..etc. " Selon M. Rechenmann, les enseignes européennes travaillent à long terme avec des fournisseurs de choix. " Les Européens achètent des fournisseurs et non pas des produits "a-t-il lancé. La centrale d'achat impose souvent une liste de fournisseurs fermes exclusifs et des commandes fermes, comme pour Carrefour ou Auchan, par exemple. Pour bien préciser les critères de sélection, ils sont accentués notamment sur le fournisseurs, le produit et la logistique. Le fournisseur pour ( sa réputation, sa taille de fidélité, son organisation commercial et des services). Le produit (sa qualité, son degré d'innovation, son prix de vente..etc), et enfin la logistique( la livraison de la marchandise directe ou entrepôt..). Pour développer l'offre algérienne de produits similaires à ceux des autres pays maghrébins exportés dans les marchés européens, il est utile donc de respecter ces critères. Pour ce faire, a-t-il dit, il faudrait mettre en œuvre ces moyens et constituer une feuille de route , soit segmenter un panel de prospects, sélectionner le circuit de distribution et les salons appropriés, la mise à niveau aux normes internationales, certifier la qualité, livrer via une logistique appropriée, et valorisant l'image du produit à un prix étudié. A noter, enfin, que l'objectif de ce séminaire et d'offrir aux PME du secteur concerné l'opportunité de mieux comprendre les enjeux des filières sur des marchés d'exportation.
    Samira H.

  • #2
    en france pas besoin de marketing pour les produits agro algériens. Tu les ramenes sur le marché ils s arrachent.

    Faut juste virer les parasites qui ont infesté la filière depuis la disparition du monopole d état.
    « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

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    • #3
      en france pas besoin de marketing pour les produits agro algériens. Tu les ramenes sur le marché ils s arrachent.
      waw une nouvelle théorie en marketing !!


      et c'est quoi le secret?
      .
      .
      ''La pauvreté ne sera plus séditieuse, lorsque l'opulence ne sera plus oppressive''
      Napoléon III

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      • #4
        les produits bio ca te dit quelque chose ?

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        • #5
          parceque tous ce qui est produit en algérie est bio?

          waw cela doit être une nouvelle définition du produit BIO sans que je le sache

          nawarna allah y hafdek
          .
          .
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          Napoléon III

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          • #6
            pihman

            C pas une théorie. Des huiles d olives mal emballees plus cheres algériennes, s installent dans les étals des épiceries à la place des huiles tunisiennes.

            C du commerce communautaire, j achète algérien les gens sont comme ça.
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            • #7
              il vaut mieux parler dans ce cas de la notion de "BELDI" vs "ROUMI"

              c plus des produits de terroire que de bio

              le label bio est strictement reglementé avec des cahiers de charge bien défini
              .
              .
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              • #8
                écoute bio commerce équitable et autre attrape nigauds ça reste un marché de niche pour l authentique et de l arnaque pour le reste.

                Tiens il y a un congrés qui vient de clore à ,marrakech sur les engrais en afrique très intéressant
                « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

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                • #9
                  le bio pour moi est tout ce qui pousse a l'ancienne, et je te garantis qu'en algerie la quasi-totalité des produits agricoles poussent a l'ancienne.

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                  • #10
                    c'est quoi ce cahier des charges à l'occidental ! le bio c'est la culture de nos anciens ! pas d'engrais chimiques et autres produits à accélérer la croissance

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                    • #11
                      g pas besoin de pub pour acheter
                      du selecto
                      nous sommes la meilleure publicite
                      a l auchan ou je vais
                      le coin ifri -selecto se vide malgre que cela soit plus cher que coca ou pepsi
                      eh bien le roumi qui est dote d un cerveau
                      se demande pourquoi c produits la s arrachent
                      par mimetisme il prend il goute puis reprend

                      pour le bio c quoi le bio
                      l agriculture a 80% est biologique malheuresement
                      The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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