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Alors qu'il se plaignait de sa pauvreté, Djeha donna chez lui, un soir, un tel festin, que l'echo en parvient aux oreilles du khalife.
Celui-ci le fit convoquer et lui demanda d'où il tenait l'argent pour donner une pareille fête.
-Je fais des paris repondit Djeha , et je gagne.
-Mais tu paries quoi ?
-N'importe quoi.
-Serais-tu prêt à parier avec moi ?
-Sur-le-champs, repondit Djeha
-Dix piéces d'or?
-Dix piéces d'or
-Et que parties-tu?
-Je parie que demain matin à ton lever tu auras un gros bouton sur la f.esse droite.
Pari tenu.Le lendemainmatin, aprés une nuit d'agacement, le khalife se reveilla et constata qu'il n'avait rien sur la f.esse droite, ni d'ailleurs sur la gauche.Il fit appeler Djeha et lui annonça qu'il avait perdu son pari .
Djeha demanda à vérifier, ce qui fut fait.Le khalife baissa rapidement son pantalon et montra son postérieur à Djeha, qui dut reconnaitre qu'il avait perdu, et se retira modestement.
Le soirmême le khalife apprit que Djeha donnait une fête plus somptueuse encore que la premiére.
Il le convoqua et lui demada, assez mécontent, les raisons de cette surprenante réjouissance./
-Oh, c'est trés simple, lui repondit Djeha.J'avais parié cent piéces d'or avec ton vizir et j'ai gagné.
-Et qu'avais-tu parié ?
-Que ce matin, s'il venait assez tôt et se cachait derriére une tenture, il verrait le khalife me montrant son Q .
Celui-ci le fit convoquer et lui demanda d'où il tenait l'argent pour donner une pareille fête.
-Je fais des paris repondit Djeha , et je gagne.
-Mais tu paries quoi ?
-N'importe quoi.
-Serais-tu prêt à parier avec moi ?
-Sur-le-champs, repondit Djeha
-Dix piéces d'or?
-Dix piéces d'or
-Et que parties-tu?
-Je parie que demain matin à ton lever tu auras un gros bouton sur la f.esse droite.
Pari tenu.Le lendemainmatin, aprés une nuit d'agacement, le khalife se reveilla et constata qu'il n'avait rien sur la f.esse droite, ni d'ailleurs sur la gauche.Il fit appeler Djeha et lui annonça qu'il avait perdu son pari .
Djeha demanda à vérifier, ce qui fut fait.Le khalife baissa rapidement son pantalon et montra son postérieur à Djeha, qui dut reconnaitre qu'il avait perdu, et se retira modestement.
Le soirmême le khalife apprit que Djeha donnait une fête plus somptueuse encore que la premiére.
Il le convoqua et lui demada, assez mécontent, les raisons de cette surprenante réjouissance./
-Oh, c'est trés simple, lui repondit Djeha.J'avais parié cent piéces d'or avec ton vizir et j'ai gagné.
-Et qu'avais-tu parié ?
-Que ce matin, s'il venait assez tôt et se cachait derriére une tenture, il verrait le khalife me montrant son Q .