Le temps d'Algérie, le 12.04.2010
Rebrab s’intéresse au parc de loisirs de Bordj
Décidément, l'homme d'affaires algérien Rebrab touche à tous les domaines et même toutes les régions du pays. Après la sidérurgie, la concession automobile, l'industrie agroalimentaire, la presse et l'électronique avec l'usine construite à Sétif avec le géant coréen Samsung, l'homme s'intéresse à l'industrie des loisirs.
Il a contacté l'APC de Bordj Bou Arréridj pour la location du parc d'attractions. Ce parc qui représente le poumon de la capitale de l'électronique a été cédé en concession à un investisseur émigré. Mais l'activité de ce dernier n'a pas plu aux élus locaux et même aux autorités de la wilaya. Non seulement il n'a pas procédé au renouvellement et à la réhabilitation des jeux, mais il réclame le paiement de ses services. Pourtant, l'APC l'a aidé en aménageant le parc pour une somme de 2 milliards et demi.
Les élus crient à la mauvaise foi de l'investisseur qui n'a même pas payé les redevances annuelles de la concession. Cette situation qui casse avec l'espoir créé par cette opération a amené les responsables locaux à envisager la rupture de la convention qui ne serait même pas signée officiellement. Une consultation va être ouverte pour trouver un repreneur du lieu qui peut apporter beaucoup pour le divertissement de la population.
Il est d'autant plus important qu'il est le seul dans toute la wilaya. Les citoyens ont du mal à trouver un endroit où ils peuvent emmener leurs enfants. Ces autorités voient d'un bon œil la proposition faite par l'homme d'affaires kabyle qui a les moyens financiers et les capacités managériales pour mener à bien un projet qui tarde à donner les résultats escomptés.
On ne sait pas encore la formule désirée par M. Rebrab pour gérer le parc. Mais ce qui est sûr, c'est que la concrétisation de cette intention d'investissement sera un tournant pour la région qui n'a connu que des initiatives locales.
Rebrab s’intéresse au parc de loisirs de Bordj
Décidément, l'homme d'affaires algérien Rebrab touche à tous les domaines et même toutes les régions du pays. Après la sidérurgie, la concession automobile, l'industrie agroalimentaire, la presse et l'électronique avec l'usine construite à Sétif avec le géant coréen Samsung, l'homme s'intéresse à l'industrie des loisirs.
Il a contacté l'APC de Bordj Bou Arréridj pour la location du parc d'attractions. Ce parc qui représente le poumon de la capitale de l'électronique a été cédé en concession à un investisseur émigré. Mais l'activité de ce dernier n'a pas plu aux élus locaux et même aux autorités de la wilaya. Non seulement il n'a pas procédé au renouvellement et à la réhabilitation des jeux, mais il réclame le paiement de ses services. Pourtant, l'APC l'a aidé en aménageant le parc pour une somme de 2 milliards et demi.
Les élus crient à la mauvaise foi de l'investisseur qui n'a même pas payé les redevances annuelles de la concession. Cette situation qui casse avec l'espoir créé par cette opération a amené les responsables locaux à envisager la rupture de la convention qui ne serait même pas signée officiellement. Une consultation va être ouverte pour trouver un repreneur du lieu qui peut apporter beaucoup pour le divertissement de la population.
Il est d'autant plus important qu'il est le seul dans toute la wilaya. Les citoyens ont du mal à trouver un endroit où ils peuvent emmener leurs enfants. Ces autorités voient d'un bon œil la proposition faite par l'homme d'affaires kabyle qui a les moyens financiers et les capacités managériales pour mener à bien un projet qui tarde à donner les résultats escomptés.
On ne sait pas encore la formule désirée par M. Rebrab pour gérer le parc. Mais ce qui est sûr, c'est que la concrétisation de cette intention d'investissement sera un tournant pour la région qui n'a connu que des initiatives locales.
H. N
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