RER C Juvisy
je vous croise souvent dans le RER C. Nous prenons tous les 2 les RER C KEMA de 8h24 environ, nous montons à l'avant de la rame. Vous avez des yeux bleus charmants qui captivent mon regard, je n'arrive pas à m'en détourner. J'ai souvent mon ordinateur portable en bandoulière, une veste marron. Vous prenez ensuite la ligne 14 tout comme moi, mais je descends à Chatelet ou gare de lyon, alors que vous poursuivez votre chemin. J'aimerais vous rencontrer mais je n'ose pas vous aborder, faites-moi signe :-)
doux calins?
Moi sur la ligne 8 se matin (le 12 avril à 8h20 environs), blinder comme à son habitude je t'ai vu. Je ne sais pas si c'est la proximité mais j'avais l'impression de te caliner. Tu posais ta tête sur mon bras, j'aurais voulu faire toute la ligne comme cela. J'étais vétu d'un Gilet Puma bleu gris. Sache que je t'ai trouvé charmante. Je croise les doigts pour te revoir à nouveau.... Si tu te reconnais dans se message, il y a surement moyen pour que tu ais mes coordonnées par métro
mon soleil de 8H
vous prenez le RER B vers 8H tous les matins à Bourg-la-Reine, puis le A à Chatelet et vous descendez Gare de Lyon. Vous lisez Métro, tout comme moi, aussi j'espére que vous me lirez....
Vous, charmante femme de couleur, moi brun, européen, avec un bouc et des écouteurs. J'aimerais effectuer mon trajet à vos côtés plutôt qu'en solitaire. Encouragez moi...
Toi sublime blonde aux origines espagnoles
Bonsoir miss,
Je suis monté dans le RER D à Gare de Lyon en direction de Corbeille Essonne, je me suis assis à coté de toi, très belle blonde, je te regardais, tu lisais un article en anglais.. je n'ai pas osé te parler, j'ai fini par demander si je pouvais rectifier une petite erreur en anglais... on a pu par la suite échanger un peu, tu t'es mise en face de moi, on a parlé de l'anglais, de l'espagnol, tu me disais que tu es en alternance RH en réponse à ma devinette, je t'ai demandé si tu avais des origines espagnoles, chose confirmée...j'étais sous le charme...
Dommage, le temps est passé trop vite, je suis descendu à Evry en te disant "Au revoir" avec un grand sourire de façade et un énorme déchirement car je n'ai pas pu ni te fournir un numéro de téléphone, un mail ni en recevoir...
Si tu lis ces mots, merci de m'écrire SOS..
Bien cordialement,
Gentelman maghrébin
et ma préférée
Merci.
Vingt,
peut être trente personnes dans le wagon, mais seulement deux yeux. Tes parents t’ont donné un nom, Nathalie, Chloé, Vanessa, Rachel ou Laure, je ne sais pas.
Ce que je sais c’est que tu m’as offert un regard timide, puis un seconde
interrogateur, puis un troisième complice, puis un quatrième, un cinquième, un sixième, je ne compte plus, je suis occuper à t’observer. Un sourire, puis un second, puis un troisième, je ne sais pas ou j’en étais. Ta nuque, claire,
aucune perle n’en serait digne. Non je regardais t’es cheveux, mes mains
jalousent la brosse qui les ordonne. Non, je m’en souviens, tes yeux, je
regardais tes yeux. Le vocabulaire me manque pour les décrire, il faut les voir
pour les croire. Je vivais une journée normale jusqu’à toi. Tu n’es pas une
personne mais un moment, le moment où le métro est devenu beau. Merci.
(petits billets trouvés sur le site du journal metro)
voila un petit échantillon de petit courrier du coeur que j'ai trouvé, je trouve sa follement romantique.
Seriez vous capable de faire de même si vous aussi étiez foudroyer dans le bus ou le metro .
je vous croise souvent dans le RER C. Nous prenons tous les 2 les RER C KEMA de 8h24 environ, nous montons à l'avant de la rame. Vous avez des yeux bleus charmants qui captivent mon regard, je n'arrive pas à m'en détourner. J'ai souvent mon ordinateur portable en bandoulière, une veste marron. Vous prenez ensuite la ligne 14 tout comme moi, mais je descends à Chatelet ou gare de lyon, alors que vous poursuivez votre chemin. J'aimerais vous rencontrer mais je n'ose pas vous aborder, faites-moi signe :-)
doux calins?
Moi sur la ligne 8 se matin (le 12 avril à 8h20 environs), blinder comme à son habitude je t'ai vu. Je ne sais pas si c'est la proximité mais j'avais l'impression de te caliner. Tu posais ta tête sur mon bras, j'aurais voulu faire toute la ligne comme cela. J'étais vétu d'un Gilet Puma bleu gris. Sache que je t'ai trouvé charmante. Je croise les doigts pour te revoir à nouveau.... Si tu te reconnais dans se message, il y a surement moyen pour que tu ais mes coordonnées par métro
mon soleil de 8H
vous prenez le RER B vers 8H tous les matins à Bourg-la-Reine, puis le A à Chatelet et vous descendez Gare de Lyon. Vous lisez Métro, tout comme moi, aussi j'espére que vous me lirez....
Vous, charmante femme de couleur, moi brun, européen, avec un bouc et des écouteurs. J'aimerais effectuer mon trajet à vos côtés plutôt qu'en solitaire. Encouragez moi...
Toi sublime blonde aux origines espagnoles
Bonsoir miss,
Je suis monté dans le RER D à Gare de Lyon en direction de Corbeille Essonne, je me suis assis à coté de toi, très belle blonde, je te regardais, tu lisais un article en anglais.. je n'ai pas osé te parler, j'ai fini par demander si je pouvais rectifier une petite erreur en anglais... on a pu par la suite échanger un peu, tu t'es mise en face de moi, on a parlé de l'anglais, de l'espagnol, tu me disais que tu es en alternance RH en réponse à ma devinette, je t'ai demandé si tu avais des origines espagnoles, chose confirmée...j'étais sous le charme...
Dommage, le temps est passé trop vite, je suis descendu à Evry en te disant "Au revoir" avec un grand sourire de façade et un énorme déchirement car je n'ai pas pu ni te fournir un numéro de téléphone, un mail ni en recevoir...
Si tu lis ces mots, merci de m'écrire SOS..
Bien cordialement,
Gentelman maghrébin
et ma préférée
Merci.
Vingt,
peut être trente personnes dans le wagon, mais seulement deux yeux. Tes parents t’ont donné un nom, Nathalie, Chloé, Vanessa, Rachel ou Laure, je ne sais pas.
Ce que je sais c’est que tu m’as offert un regard timide, puis un seconde
interrogateur, puis un troisième complice, puis un quatrième, un cinquième, un sixième, je ne compte plus, je suis occuper à t’observer. Un sourire, puis un second, puis un troisième, je ne sais pas ou j’en étais. Ta nuque, claire,
aucune perle n’en serait digne. Non je regardais t’es cheveux, mes mains
jalousent la brosse qui les ordonne. Non, je m’en souviens, tes yeux, je
regardais tes yeux. Le vocabulaire me manque pour les décrire, il faut les voir
pour les croire. Je vivais une journée normale jusqu’à toi. Tu n’es pas une
personne mais un moment, le moment où le métro est devenu beau. Merci.
(petits billets trouvés sur le site du journal metro)
voila un petit échantillon de petit courrier du coeur que j'ai trouvé, je trouve sa follement romantique.
Seriez vous capable de faire de même si vous aussi étiez foudroyer dans le bus ou le metro .
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