Pour investir dans la sidérurgie à Jijel, Ahmed Ezz attendait de très gros avantages et privilèges. Les opérateurs algériens n'oseraient même pas en rêver.
Le groupe industriel égyptien El Ezz Steel qui devait investir 1,25 milliard de dollars pour la construction d'un complexe sidérurgique à Jijel ne viendra pas en Algérie. Ni le gouvernement algérien, ni le changement de cadre des investissements et encore moins les retombées des disputes footballistiques ne sont à l'origine de ce renoncement. Le groupe El Ezz Steel - dont le patron est n'est autre qu'Ahmed Ezz, haut dirigeant du Parti national démocratique (PND) de Hosni Moubarak et président de la commission du plan et du budget au parlement – a présenté des exigences exorbitantes au gouvernement algérien.
Par Yassine Sakene
Selon des informations de bonnes sources, «l'homme au 50 milliards de livres», comme l'appellent les Egyptiens, estimait insuffisantes les facilités fiscales et parafiscales offertes par l'Algérie ainsi que les avantages spécifiques accordés par le Conseil national des investissements (CNI). Le patron et homme de pouvoir égyptien a exigé que l'Algérie lui construise un quai à Bellara et lui garantisse du gaz à prix subventionné pour une durée de 25 ans. Le groupe El Ezz a également conditionné le démarrage du projet par la construction – par l'Etat algérien – d'une centrale électrique. Le groupe égyptien a estimé que cette demande était « logique » pour la simple raison que le groupe ArcelorMittal s'est trouvé en possession d'une centrale électrique en rachetant 70% du capital du complexe sidérurgique d'El Hadjar.
Le Quotidien d'Oran
Le groupe industriel égyptien El Ezz Steel qui devait investir 1,25 milliard de dollars pour la construction d'un complexe sidérurgique à Jijel ne viendra pas en Algérie. Ni le gouvernement algérien, ni le changement de cadre des investissements et encore moins les retombées des disputes footballistiques ne sont à l'origine de ce renoncement. Le groupe El Ezz Steel - dont le patron est n'est autre qu'Ahmed Ezz, haut dirigeant du Parti national démocratique (PND) de Hosni Moubarak et président de la commission du plan et du budget au parlement – a présenté des exigences exorbitantes au gouvernement algérien.
Par Yassine Sakene
Selon des informations de bonnes sources, «l'homme au 50 milliards de livres», comme l'appellent les Egyptiens, estimait insuffisantes les facilités fiscales et parafiscales offertes par l'Algérie ainsi que les avantages spécifiques accordés par le Conseil national des investissements (CNI). Le patron et homme de pouvoir égyptien a exigé que l'Algérie lui construise un quai à Bellara et lui garantisse du gaz à prix subventionné pour une durée de 25 ans. Le groupe El Ezz a également conditionné le démarrage du projet par la construction – par l'Etat algérien – d'une centrale électrique. Le groupe égyptien a estimé que cette demande était « logique » pour la simple raison que le groupe ArcelorMittal s'est trouvé en possession d'une centrale électrique en rachetant 70% du capital du complexe sidérurgique d'El Hadjar.
Le Quotidien d'Oran
Et depuis quand a-t-on besoin d'un pouill.. d'égyptien pour investir en Algérie. Les égyptiens feraient mieux d'investi chez eux dans l'immobilier pour loger ceux qui habitent dans les cimétières..
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