Capacités.Non content de son installation en Roumanie, Renault se prépare à muscler ses moyens de production au Maroc, pour créer une seconde base low cost, à portée de bateau celle-là des côtes européennes. « Ce que l'on veut faire au Maroc, c'est un volume de 400.000 voitures par an », selon Gérard Detourbet, le patron de l'entrée de gamme de RenaultDacia.
Soit un peu plus qu'à Pitesti (Roumanie), qui tourne à 350.000 unités. Au-delà de l'usine existante de Casablanca (Somaca), qui assemble déjà jusqu'à 70.000 unités, Renault a lancé la construction de son usine de Tanger (600 millions d'investissement). Elle démarrera au début de 2012, avec une capacité de quelque 170.000 autos par an, destinée à passer plus tard à 400.000 exemplaires.
Les deux premiers modèles seront deux compléments de la gamme Dacia, encore non dévoilés. Ils seront exportés à 95 % vers d'autres pays. Outre les économies sur la TVA, grâce au statut de zone franche, et sur la main-d'oeuvre, Renault cherche à favoriser les fournisseurs locaux, pour toutes les grosses pièces. Ce qui va abaisser les coûts de production, y compris par ricochet pour le site de Casablanca.
Les Echos 15/04/10
Soit un peu plus qu'à Pitesti (Roumanie), qui tourne à 350.000 unités. Au-delà de l'usine existante de Casablanca (Somaca), qui assemble déjà jusqu'à 70.000 unités, Renault a lancé la construction de son usine de Tanger (600 millions d'investissement). Elle démarrera au début de 2012, avec une capacité de quelque 170.000 autos par an, destinée à passer plus tard à 400.000 exemplaires.
Les deux premiers modèles seront deux compléments de la gamme Dacia, encore non dévoilés. Ils seront exportés à 95 % vers d'autres pays. Outre les économies sur la TVA, grâce au statut de zone franche, et sur la main-d'oeuvre, Renault cherche à favoriser les fournisseurs locaux, pour toutes les grosses pièces. Ce qui va abaisser les coûts de production, y compris par ricochet pour le site de Casablanca.
Les Echos 15/04/10
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