Président de la République
Prions tous ensemble, mon Président, et formulant un vœu d’espérance pour notre mère patrie, afin que nous puissions avancer avec courage vers le futur, aux multiples défis, avec croyance, et fermeté
Mon Président,
Compte-tenu de la nature sensible du sujet, mon message va vous paraître sans doute différent des habituels, peut être même insolite. Je reste quand même confiant que votre analyse critique sans préjugés, témoignera en toute probabilité dans le sens réel.
Par Mohamed HAMIDA, Ancien Vice Président du Conseil National Economique et Social
J’exprime pour la première fois publiquement mes émotions, pour une prise de conscience en formulant un vœu et j’expose en même temps une réflexion, car je suis préoccupé par la situation politique que traverse mon pays.
Ce décrit est destiné à vous en particulier par courrier électronique, mais par mesure préventive, dans le cas ou il ne vous parviendra pas pour une raison ou une autre, j’en fais une lettre ouverte qui est transmise également à la presse nationale pour l’insérer dans ses pages et qui peut prendre forme de publication dans toute la transparence, sans omettre sa mise en ligne sur internet.
Sans grande expérience dans le domaine, je ne sais vraiment pas, par où commencer. Je considère que dans ce cas, l’articulation n’est pas grave. Donc, j’ose et je fonce, car il s’agit de mon pays. L’important c’est l’espoir que je formule tout en aspirant que mon raisonnement vous paraîtra juste ou tout au moins pertinent.
Vous avez bien lu mon Président, j’ai bien écrit : j’ose et je fonce ! Mais voilà, j’ai encore la frousse. Mais tant pis, je vous pose la question et je fonce vraiment cette fois-ci, sans m’arrêter et sans demander l’avis de personne, même pas à mon épouse, ni à mes enfants.
«Voilà, un simple citoyen très ordinaire que je suis, puis-je devenir un ami d’un Président de la République, de mon Président ? Car, la vérité, j’ai peur de vous et des éventuelles représailles. C’est pour cela que je veux devenir votre ami pour me permettre si j’ose dire, de m’exprimer sans angoisse et de vous contez tout ce que je peux imaginer de bien dans le rationnel nécessairement, pour notre pays. C’est un peu profiter de cette relation pour faire passer mes idées. Vous pouvez me rétorquer que c’est aussi de l’égoïme de ma part. C’est juste mon Président, sauf que dans ce cas, ce n’est pas pour moi, c’est pour tout un peuple, votre peuple. Pensez-vous mon Président que vos hommes pourrez me faire du mal pour vous avoir communiquer mes pensées, mon modèle de perfection pour notre nation. Mon écrit me portera t-il préjudice au point de me conduire auprès des tribunaux, si ce n’est vers les barreaux.»
Après cette confession, je ne peux pas débuter sans faire l’effort de m’identifier, quoique, qui « suis-je », n’est pas important, c’est surtout l’ensemble des points et des termes du contenu auquel il faut s’intéresser le plus, l’analyser et en faire des synthèses.
Par contre, comme dans mes pensées, prénommez-moi Dziri, car, j’adore sa consonance, empreinte de ma ville natale. C’est un petit caprice auquel, d’ailleurs, il faut passer dessous, c’est insignifiant. Donc, je me permets mon Président de prendre un peu d’espace dans ce composé pour parler un peu de moi afin d’éviter trop de questionnement.
Par circonstance d’événements, je me trouve depuis treize ans hors de nos frontières. Une authentique lutte pour la survie au même titre que les citoyens du pays d’accueil. Mais ce qui est bien en contrepartie, c’est que je profite aussi pour enrichir mon expérience du monde du travail et développer plus mes connaissances à 63 ans
Mon Président, j’ai toujours servi mon pays depuis mon très jeune âge avec naiveté et confiance, avec croyance et espérance et même au-delà de mes capacités avec force et détermination. Je suis ce qu’on appelle chez nous un enfant du peuple issu d’une famille très modeste, né dans un quartier d’Alger. Je n’ai pas eu la possibilité de côtoyer les bancs des Universités à cause de la nécessité et l’urgence du besoin vital.
Je ne suis ni philosophe ni politique. J’ai grandi dans l’espace de nos entreprises nationale et je me suis forgé entre les managers de différentes sociétés de 1968 à 1987. Cela à été un point de passage essentiel dans mon évolution et surtout ma capacité à m’adapter et prendre en charge des responsabilités afin de faire face efficacement aux contraintes de l’environnement.
Avec le recul et quoi qu’on puisse dire sur nos Cadres Supérieurs, j’avoue personnellement que j’étais encadré par des gens fantastiques, intélligents et compétents. La bonne et ancienne école, qui ne perdra jamais ni de sa qualité ni de sa richesse. Avec la grave catastrophe engendrée par le système et la multitude des accidents de parcours traversé par notre pays à partir de 1988, j’ai subi le désastre au même titre que l’ensemble ou tout au moins la plus grande partie de mes concitoyens.
En 1994, grâce à ma persévérance et mon endurance au travail, j’ai élevé mon rang au milieu de mes pairs au seuil du maximum du prodige au sein d’une Institution de notre pays jusqu’en 1996, date de mon départ de ma terre natale. J’ai accompli ma charge avec respect et décence.
Sachez mon Président, que je n’ai jamais fait partie d’aucune organisation partisane. Je n’ai jamais eu de carte, et aucun membre de ma famille n’à atteint à la date de ce jour, un niveau supérieur dans la hiérarchie de l’Etat. Vous allez peut être trouver cela étrange, mais c’est la vérité. Mais cela, ne m’à jamais empêché d’être un bon citoyen, et un citoyen discipliné et respectueux de l’Etat et de ses Institutions.
J’ai toujours œuvré dans l’équité, le bon sens et la sagesse. J’ai de la considération et le respect pour tous mes compatriotes sans aucune distinction, à l’exception des idées extrêmistes d’où qu’elles viennent. C’est pour dire que j’ai réussi à atteindre ce niveau, à la faveur de mon labeur sans avoir bénéficié d’aucun passe droit. J’espère que vous sachiez me lire et mieux encore, me comprendre.
Pour revenir à ma préoccupation majeure, c’est à travers l’internet et grâce à notre presse nationale, cette énergie communicative, que je prends connaissance journalièrement sur ce qui se passe dans mon pays. Les réactions des lecteurs sont très sévères vis-à-vis de votre politique mon Président suite aux incommodités annoncées par les rédacteurs et autres intervenants de la société civile ! Tout à l’air de ce concentrer autour d’un seul et unique sentiment la confiance qui est la base essentielle de votre relation avec votre peuple.
Compte-tenu des multitudes situations désagréables et perturbentes qu’il rencontre au quotidien, ce dernier semble remettre en cause cet attachement en instaurant un nouveau sentiment de méfiance qui vous impose de nouvelles preuves.
Vous ne mesurez peut-être pas la défiance unanimement partagée à votre égard qui semble s’installer dans l’esprit du peuple d’après la lecture que j’en fais. Il apparaît que vos hommes sont aussi responsables de ce manque de confiance massif dans lequel se trouve aujourd’hui notre pays. Coincé entre cette crise de confiance et de la probabilité du bon fonctionnement du politique, je crois qu’il est temps, mon Président, de réagir, en établissant un pont direct avec votre peuple dans la plus grande transparence. Il paraît que vous n’êtes pas très communicatif depuis votre troisième mandat mon Président. Si c’est le cas, vous devez relevez le défi du dialogue, car à travers votre silence, il conquit de l’espace pour dialoguer et même délibérer.
Il n’insistera pas longtemps pour vous dissuader, il perdra de sa patience et de sa foi. Vous devez accéder par une prise de conscience, sinon, vous aurez entre les mains un peuple sans feuille de route, il vacillera vers l’inconnu car, il refuse de se laisser enfermer dans un ensemble de conditions et de circonstances inextricables.
Prions tous ensemble, mon Président, et formulant un vœu d’espérance pour notre mère patrie, afin que nous puissions avancer avec courage vers le futur, aux multiples défis, avec croyance, et fermeté
Mon Président,
Compte-tenu de la nature sensible du sujet, mon message va vous paraître sans doute différent des habituels, peut être même insolite. Je reste quand même confiant que votre analyse critique sans préjugés, témoignera en toute probabilité dans le sens réel.
Par Mohamed HAMIDA, Ancien Vice Président du Conseil National Economique et Social
J’exprime pour la première fois publiquement mes émotions, pour une prise de conscience en formulant un vœu et j’expose en même temps une réflexion, car je suis préoccupé par la situation politique que traverse mon pays.
Ce décrit est destiné à vous en particulier par courrier électronique, mais par mesure préventive, dans le cas ou il ne vous parviendra pas pour une raison ou une autre, j’en fais une lettre ouverte qui est transmise également à la presse nationale pour l’insérer dans ses pages et qui peut prendre forme de publication dans toute la transparence, sans omettre sa mise en ligne sur internet.
Sans grande expérience dans le domaine, je ne sais vraiment pas, par où commencer. Je considère que dans ce cas, l’articulation n’est pas grave. Donc, j’ose et je fonce, car il s’agit de mon pays. L’important c’est l’espoir que je formule tout en aspirant que mon raisonnement vous paraîtra juste ou tout au moins pertinent.
Vous avez bien lu mon Président, j’ai bien écrit : j’ose et je fonce ! Mais voilà, j’ai encore la frousse. Mais tant pis, je vous pose la question et je fonce vraiment cette fois-ci, sans m’arrêter et sans demander l’avis de personne, même pas à mon épouse, ni à mes enfants.
«Voilà, un simple citoyen très ordinaire que je suis, puis-je devenir un ami d’un Président de la République, de mon Président ? Car, la vérité, j’ai peur de vous et des éventuelles représailles. C’est pour cela que je veux devenir votre ami pour me permettre si j’ose dire, de m’exprimer sans angoisse et de vous contez tout ce que je peux imaginer de bien dans le rationnel nécessairement, pour notre pays. C’est un peu profiter de cette relation pour faire passer mes idées. Vous pouvez me rétorquer que c’est aussi de l’égoïme de ma part. C’est juste mon Président, sauf que dans ce cas, ce n’est pas pour moi, c’est pour tout un peuple, votre peuple. Pensez-vous mon Président que vos hommes pourrez me faire du mal pour vous avoir communiquer mes pensées, mon modèle de perfection pour notre nation. Mon écrit me portera t-il préjudice au point de me conduire auprès des tribunaux, si ce n’est vers les barreaux.»
Après cette confession, je ne peux pas débuter sans faire l’effort de m’identifier, quoique, qui « suis-je », n’est pas important, c’est surtout l’ensemble des points et des termes du contenu auquel il faut s’intéresser le plus, l’analyser et en faire des synthèses.
Par contre, comme dans mes pensées, prénommez-moi Dziri, car, j’adore sa consonance, empreinte de ma ville natale. C’est un petit caprice auquel, d’ailleurs, il faut passer dessous, c’est insignifiant. Donc, je me permets mon Président de prendre un peu d’espace dans ce composé pour parler un peu de moi afin d’éviter trop de questionnement.
Par circonstance d’événements, je me trouve depuis treize ans hors de nos frontières. Une authentique lutte pour la survie au même titre que les citoyens du pays d’accueil. Mais ce qui est bien en contrepartie, c’est que je profite aussi pour enrichir mon expérience du monde du travail et développer plus mes connaissances à 63 ans
Mon Président, j’ai toujours servi mon pays depuis mon très jeune âge avec naiveté et confiance, avec croyance et espérance et même au-delà de mes capacités avec force et détermination. Je suis ce qu’on appelle chez nous un enfant du peuple issu d’une famille très modeste, né dans un quartier d’Alger. Je n’ai pas eu la possibilité de côtoyer les bancs des Universités à cause de la nécessité et l’urgence du besoin vital.
Je ne suis ni philosophe ni politique. J’ai grandi dans l’espace de nos entreprises nationale et je me suis forgé entre les managers de différentes sociétés de 1968 à 1987. Cela à été un point de passage essentiel dans mon évolution et surtout ma capacité à m’adapter et prendre en charge des responsabilités afin de faire face efficacement aux contraintes de l’environnement.
Avec le recul et quoi qu’on puisse dire sur nos Cadres Supérieurs, j’avoue personnellement que j’étais encadré par des gens fantastiques, intélligents et compétents. La bonne et ancienne école, qui ne perdra jamais ni de sa qualité ni de sa richesse. Avec la grave catastrophe engendrée par le système et la multitude des accidents de parcours traversé par notre pays à partir de 1988, j’ai subi le désastre au même titre que l’ensemble ou tout au moins la plus grande partie de mes concitoyens.
En 1994, grâce à ma persévérance et mon endurance au travail, j’ai élevé mon rang au milieu de mes pairs au seuil du maximum du prodige au sein d’une Institution de notre pays jusqu’en 1996, date de mon départ de ma terre natale. J’ai accompli ma charge avec respect et décence.
Sachez mon Président, que je n’ai jamais fait partie d’aucune organisation partisane. Je n’ai jamais eu de carte, et aucun membre de ma famille n’à atteint à la date de ce jour, un niveau supérieur dans la hiérarchie de l’Etat. Vous allez peut être trouver cela étrange, mais c’est la vérité. Mais cela, ne m’à jamais empêché d’être un bon citoyen, et un citoyen discipliné et respectueux de l’Etat et de ses Institutions.
J’ai toujours œuvré dans l’équité, le bon sens et la sagesse. J’ai de la considération et le respect pour tous mes compatriotes sans aucune distinction, à l’exception des idées extrêmistes d’où qu’elles viennent. C’est pour dire que j’ai réussi à atteindre ce niveau, à la faveur de mon labeur sans avoir bénéficié d’aucun passe droit. J’espère que vous sachiez me lire et mieux encore, me comprendre.
Pour revenir à ma préoccupation majeure, c’est à travers l’internet et grâce à notre presse nationale, cette énergie communicative, que je prends connaissance journalièrement sur ce qui se passe dans mon pays. Les réactions des lecteurs sont très sévères vis-à-vis de votre politique mon Président suite aux incommodités annoncées par les rédacteurs et autres intervenants de la société civile ! Tout à l’air de ce concentrer autour d’un seul et unique sentiment la confiance qui est la base essentielle de votre relation avec votre peuple.
Compte-tenu des multitudes situations désagréables et perturbentes qu’il rencontre au quotidien, ce dernier semble remettre en cause cet attachement en instaurant un nouveau sentiment de méfiance qui vous impose de nouvelles preuves.
Vous ne mesurez peut-être pas la défiance unanimement partagée à votre égard qui semble s’installer dans l’esprit du peuple d’après la lecture que j’en fais. Il apparaît que vos hommes sont aussi responsables de ce manque de confiance massif dans lequel se trouve aujourd’hui notre pays. Coincé entre cette crise de confiance et de la probabilité du bon fonctionnement du politique, je crois qu’il est temps, mon Président, de réagir, en établissant un pont direct avec votre peuple dans la plus grande transparence. Il paraît que vous n’êtes pas très communicatif depuis votre troisième mandat mon Président. Si c’est le cas, vous devez relevez le défi du dialogue, car à travers votre silence, il conquit de l’espace pour dialoguer et même délibérer.
Il n’insistera pas longtemps pour vous dissuader, il perdra de sa patience et de sa foi. Vous devez accéder par une prise de conscience, sinon, vous aurez entre les mains un peuple sans feuille de route, il vacillera vers l’inconnu car, il refuse de se laisser enfermer dans un ensemble de conditions et de circonstances inextricables.
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