Une vingtaine d'associations ont interpellé les autorités algériennes après l'agression de plusieurs femmes à Hassi Messaoud.
"Nous dénonçons avec force ces crimes et interpellons les pouvoirs publics pour qu'ils réagissent en urgence en assurant la protection de ces femmes victimes", indiquent ces associations.
Selon le communiqué, plusieurs femmes ont été récemment agressées par des groupes d'inconnus qui, cagoulés et armés, "terrorisent chacune des victimes isolées et sans défense", les volant et les molestant après être entrés par effraction dans leur logement. .
"Les femmes agressées travaillent en majorité dans les bases vie des compagnies pétrolières étrangères. Elles sont femmes de ménage, repasseuses, cuisinières, et habitent seules dans un bidonville", selon cette responsable.
Les associations rappellent de graves incidents survenus en juillet 2001, lorsque des femmes vivant seules dans le bidonville d'El Haïcha d'Hassi Messaoud avaient été violemment agressées par des groupes d'hommes.
"Cette répétition d'actes odieux à l'encontre des femmes, qui semblent se perpétuer comme une « fatalité », n'est possible que parce qu'en 2001 le traitement de l'affaire de Hassi Messaoud s'est réduit à une parodie de justice reléguant cette tragédie au rang de vulgaire fait divers", écrivent les associations.
Elles dénoncent également "l'impunité des agresseurs" et "le silence des institutions et des autorités locales" ainsi que "le laxisme de la société" face aux violences faites aux femmes en général en Algérie.
El Khabar
"Nous dénonçons avec force ces crimes et interpellons les pouvoirs publics pour qu'ils réagissent en urgence en assurant la protection de ces femmes victimes", indiquent ces associations.
Selon le communiqué, plusieurs femmes ont été récemment agressées par des groupes d'inconnus qui, cagoulés et armés, "terrorisent chacune des victimes isolées et sans défense", les volant et les molestant après être entrés par effraction dans leur logement. .
"Les femmes agressées travaillent en majorité dans les bases vie des compagnies pétrolières étrangères. Elles sont femmes de ménage, repasseuses, cuisinières, et habitent seules dans un bidonville", selon cette responsable.
Les associations rappellent de graves incidents survenus en juillet 2001, lorsque des femmes vivant seules dans le bidonville d'El Haïcha d'Hassi Messaoud avaient été violemment agressées par des groupes d'hommes.
"Cette répétition d'actes odieux à l'encontre des femmes, qui semblent se perpétuer comme une « fatalité », n'est possible que parce qu'en 2001 le traitement de l'affaire de Hassi Messaoud s'est réduit à une parodie de justice reléguant cette tragédie au rang de vulgaire fait divers", écrivent les associations.
Elles dénoncent également "l'impunité des agresseurs" et "le silence des institutions et des autorités locales" ainsi que "le laxisme de la société" face aux violences faites aux femmes en général en Algérie.
El Khabar
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