Le comportement maternel pendant la petite enfance a des conséquences sur les gènes et sur l'attitude durant toute la vie d'une personne.
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Les résultats obtenus par une équipe de chercheurs de l'Université McGill montrent que les conséquences liées au mauvais comportement de rates envers leurs petits sont réversibles.
L'équipe du Dr Moshe Szyf a découvert que les répercussions sur l'expression génétique et la réponse au stress au cours de la vie adulte se résorbent par des traitements agissant sur le marquage génomique.
Des rates et des hommes
Les travaux publiés dans les Proceedings of the National Academy of Sciences montrent que le comportement maternel de rates auprès de leurs bébés entraîne des répercussions permanentes quant à la réponse au stress chez ces derniers devenus adultes.
Les jeunes de mères attentionnées se révèlent moins craintifs et ont une réponse au stress moins marquée, comparativement aux rejetons de mères moins prévenantes.
Ainsi, les chercheurs affirment que le fait d'adopter un comportement maternel relativement simple au cours de la petite enfance a d'importantes conséquences sur l'expression génétique dans le cerveau des ratons une fois adultes.
Les chercheurs ont découvert plus de 900 gènes régulés par le comportement maternel, dont plusieurs sont spécifiquement liés au niveau d'attention de la mère.
Radio-canada
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Les résultats obtenus par une équipe de chercheurs de l'Université McGill montrent que les conséquences liées au mauvais comportement de rates envers leurs petits sont réversibles.
L'équipe du Dr Moshe Szyf a découvert que les répercussions sur l'expression génétique et la réponse au stress au cours de la vie adulte se résorbent par des traitements agissant sur le marquage génomique.
Des rates et des hommes
Les travaux publiés dans les Proceedings of the National Academy of Sciences montrent que le comportement maternel de rates auprès de leurs bébés entraîne des répercussions permanentes quant à la réponse au stress chez ces derniers devenus adultes.
Les jeunes de mères attentionnées se révèlent moins craintifs et ont une réponse au stress moins marquée, comparativement aux rejetons de mères moins prévenantes.
Ainsi, les chercheurs affirment que le fait d'adopter un comportement maternel relativement simple au cours de la petite enfance a d'importantes conséquences sur l'expression génétique dans le cerveau des ratons une fois adultes.
Les chercheurs ont découvert plus de 900 gènes régulés par le comportement maternel, dont plusieurs sont spécifiquement liés au niveau d'attention de la mère.
Radio-canada
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