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Bonsoir, si la Tunisie n'arrive pas à attirer une part significative de ces capitaux flottant alors qu'en est-il des autres pays du Magreb et que faut-il faire pour attirer plus d'investisseurs arabes tout en sachant que la Tuniisie a une bien meilleur économie que ces voisins, un bureau aux Emirat c'est mieux que rien, mais est-ce suffisant.
La FIPA (Foreign Investment Promotion Agency) ouvrira prochainement un bureau à Dubaï avec pour objectif de drainer les investissements arabes vers la Tunisie, sachant qu’en 2004, les investissements de capitaux d’origine arabe dans le monde ce sont élevés à plus de 5 milliards de dollars, alors que la Tunisie n’en a attiré que 0,77%.
Toutefois, malgré la faible attraction de la Tunisie, ces capitaux arabes occupent la 2ème place après l’Union européenne avec 29,4% des investissements en 2005. Cette dynamique est issue du changement structurel dans le monde arabe après le 11 septembre 2001, et la montée du prix du pétrole, qui a créé une situation de surliquidité.
Il faut noter, également, que les capitaux arabes vont en premier lieu vers la Jordanie, l’Egypte, le Maroc et l’Arabie Saoudite, et à une moindre mesure vers la Tunisie avec une évolution de 11% du total des investissements pour la période 1997-2004. Dans le détail, on note que 55% de ces investissements sont d’origine koweitienne.La Libye vient en 2ème position avec des investissements de 124 millions de DT.
La suite...
http://www.webmanagercenter.com/mana...le.php?id=2075
La FIPA (Foreign Investment Promotion Agency) ouvrira prochainement un bureau à Dubaï avec pour objectif de drainer les investissements arabes vers la Tunisie, sachant qu’en 2004, les investissements de capitaux d’origine arabe dans le monde ce sont élevés à plus de 5 milliards de dollars, alors que la Tunisie n’en a attiré que 0,77%.
Toutefois, malgré la faible attraction de la Tunisie, ces capitaux arabes occupent la 2ème place après l’Union européenne avec 29,4% des investissements en 2005. Cette dynamique est issue du changement structurel dans le monde arabe après le 11 septembre 2001, et la montée du prix du pétrole, qui a créé une situation de surliquidité.
Il faut noter, également, que les capitaux arabes vont en premier lieu vers la Jordanie, l’Egypte, le Maroc et l’Arabie Saoudite, et à une moindre mesure vers la Tunisie avec une évolution de 11% du total des investissements pour la période 1997-2004. Dans le détail, on note que 55% de ces investissements sont d’origine koweitienne.La Libye vient en 2ème position avec des investissements de 124 millions de DT.
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