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Drôme. Meurtre de l'auto-stoppeuse : le suspect mis en examen

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  • Drôme. Meurtre de l'auto-stoppeuse : le suspect mis en examen



    Le berger de 44 ans soupçonné d'avoir tué une jeune auto-stoppeuse, samedi, dans la Drôme a été mis en examen ce soir pour meurtre. Placé en détention provisoire, il a rejoint le service médico-psychiatrique régional de la maison d'arrêt de Lyon-Corbas.

    Mis en examen pour homicide volontaire, ce berger de 44 ans s'en serait pris à l'auto-stoppeuse à la suite d'une "dispute futile". "Il a reconnu l'avoir tuée par asphyxie" à la suite d'une conversation qui l'a "énervé", la jeune femme lui ayant fait "une remarque désagréable sur l'odeur de son camion qui transportait des animaux", a précisé le procureur de Valence Antoine Paganelli.

    La victime qui se rendait à Rousset-les-Vignes a été retrouvée morte samedi après-midi dans un ruisseau . Cette baby-sitter de 24 ans aurait été étranglée puis jetée dans le cours d'eau. Le médecin légiste n'a pas constaté de traces laissant penser à une agression sexuelle. Le corps de la victime doit être autopsié mercredi.

    Ecroué à Lyon

    L'homme soupçonné de l'avoir tuée a été mis en examen ce soir pour homicide volontaire. Placé en détention provisoire, il a été conduit au service médico-psychiatrique régional de la maison d'arrêt de Lyon-Corbas.

    La justice l'a déjà condamné à trois reprises pour des viols, soit un total de 28 ans de prison. Il avait été libéré le 24 octobre 2009 de la prison de Valence.

    "Je sais que je ne vais pas ressortir"

    Après avoir parlé du meurtre à sa compagne samedi, le suspect et cette dernière se sont rendus le jour même au Centre hospitalier de Montfavet (Vaucluse), près d'Avignon, établissement spécialisé dans les soins en santé mentale. Là, le berger a confié au médecin qui suivait sa compagne avoir "tué une jeune femme", a révélé Antoine Paganelli.

    Devant le juge, le suspect a déclaré qu'il y avait un "bon" et un "mauvais" en lui. "Le bon arrive des fois à tenir le mauvais mais là, il n'a rien pu faire", a-t-il regretté. "Je sais que je ne vais pas ressortir et de toute façon, je ne veux pas. Dans l'état où je suis, je ne veux pas refaire du mal", a-t-il ajouté, prévenant qu'il se contrôlait difficilement et craignait "de refaire une connerie" avec un détenu ou un gardien.

    googleactualité.
    «Une journée bien employée donne un bon sommeil, une vie bien employée procure une mort tranquille...»

  • #2
    Pas de psychologie a deux francs pendez le haut et court !
    Je n'ai que mes mots pour pleurer...

    Commentaire


    • #3
      j'espère que la justice ne va pas croire aux âneries que raconte le berger.
      il a vu la fille au bord de la route et la suite était dans sa sale tête.
      La pauvre a dû se battre en vain.
      Le seul échappatoire pour lui c'est de jouer sur la psychologie avec les enquêteurs et la justice.
      Je suis d'accord avec toi Chaarar, la pendaison est son sort mérité ou retour à la case prison à vie.
      «Une journée bien employée donne un bon sommeil, une vie bien employée procure une mort tranquille...»

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