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Le Maroc prépare la voie à une "révolution industrielle" fondée sur les nouvelles tec
Madrid- La vision stratégique du Maroc à l'horizon 2015 prépare la voie à une "révolution industrielle" fondée sur l'introduction des nouvelles technologies et une participation active des investissements étrangers, écrit mardi le journal espagnol "El Periodico".
Le plan marocain pour l'émergence industrielle lancée en 2009 prévoit la création de 220.000 emplois d'ici cinq ans, un effort qui requiert une implication des investisseurs étrangers, notamment dans les secteurs de l'automobile, l'aéronautique, l'offshoring, le textile, les composants électroniques et l'agroalimentaire, souligne le quotidien espagnol.
"El Periodico" relève que l'Espagne dispose d'un potentiel important dans chacun de ces secteur, ajoutant que ce pays peut devenir un acteur principal dans cette stratégie industrielle engagée par le Royaume.
Aux yeux des spécialistes, le marché marocain offre des opportunités intéressantes pour l'économie espagnole, notamment en cette période de crise et ce, à la faveur d'une main-d'œuvre de plus en plus qualifiée, ainsi que d'une logistique très rentable grâce à sa proximité géographique et ses accords de libre-échange avec les Etats-Unis et l'Europe, ajoute le journal.
"El Periodico" fait remarquer que le Maroc encourage les investisseurs espagnols à s'y installer, mettant l'accent sur les divers avantages offerts par le Royaume dans ce sens.
Le Maroc prépare une stratégie visant à se présenter auprès des investisseurs espagnols comme étant l'un des pays émergents avec des secteurs d'activité à forte valeur ajoutée, souligne la même source.
Cité par "El Periodico", le président du Comité hispano-marocain de la Confédération espagnole des organisations d'entreprises (CEOE), José Miguel Zaldo, a souligné que les entrepreneurs espagnols "doivent être présents" au Maroc "pour survire à la crise économique", mettant l'accent sur les facilités accordées par le Royaume aux investisseurs étrangers.
Joan Canals, un entrepreneur catalan, voit dans le Maroc une locomotive de développement, surtout après l'impulsion donnée au plan industriel national dans des secteurs aussi importants comme l'automobile ou l'aréopagitique, comme en témoigne le projet de construction de l'usine du groupe Renault-Nissan à Tanger.
"Nous avons beaucoup à gagner en compétitivité conjointement", a affirmé, pour sa part, le directeur de l'Agence marocaine de développement des investissements (AMDI), Fathallah Sijilmassi, cité par la publication.
MAP
Le plan marocain pour l'émergence industrielle lancée en 2009 prévoit la création de 220.000 emplois d'ici cinq ans, un effort qui requiert une implication des investisseurs étrangers, notamment dans les secteurs de l'automobile, l'aéronautique, l'offshoring, le textile, les composants électroniques et l'agroalimentaire, souligne le quotidien espagnol.
"El Periodico" relève que l'Espagne dispose d'un potentiel important dans chacun de ces secteur, ajoutant que ce pays peut devenir un acteur principal dans cette stratégie industrielle engagée par le Royaume.
Aux yeux des spécialistes, le marché marocain offre des opportunités intéressantes pour l'économie espagnole, notamment en cette période de crise et ce, à la faveur d'une main-d'œuvre de plus en plus qualifiée, ainsi que d'une logistique très rentable grâce à sa proximité géographique et ses accords de libre-échange avec les Etats-Unis et l'Europe, ajoute le journal.
"El Periodico" fait remarquer que le Maroc encourage les investisseurs espagnols à s'y installer, mettant l'accent sur les divers avantages offerts par le Royaume dans ce sens.
Le Maroc prépare une stratégie visant à se présenter auprès des investisseurs espagnols comme étant l'un des pays émergents avec des secteurs d'activité à forte valeur ajoutée, souligne la même source.
Cité par "El Periodico", le président du Comité hispano-marocain de la Confédération espagnole des organisations d'entreprises (CEOE), José Miguel Zaldo, a souligné que les entrepreneurs espagnols "doivent être présents" au Maroc "pour survire à la crise économique", mettant l'accent sur les facilités accordées par le Royaume aux investisseurs étrangers.
Joan Canals, un entrepreneur catalan, voit dans le Maroc une locomotive de développement, surtout après l'impulsion donnée au plan industriel national dans des secteurs aussi importants comme l'automobile ou l'aréopagitique, comme en témoigne le projet de construction de l'usine du groupe Renault-Nissan à Tanger.
"Nous avons beaucoup à gagner en compétitivité conjointement", a affirmé, pour sa part, le directeur de l'Agence marocaine de développement des investissements (AMDI), Fathallah Sijilmassi, cité par la publication.
MAP
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