la préface:
Toute littérature est la parabole d'une situation interne, lui est propre et expressive, où le métissage de différentes écoles d'une même nation reprend sous les différents angles la problématique qui ne cesse de leur échauffer les esprits. Et où le dialogue même ce se n'était pas dit en claire fait parler de lui. Comme tout les types de littérature. La littérature algérienne est à l'image de cet échange complexe qui surpasse tout obstacle est sans cesse obligée de s'arrêter, de revenir sur ses pas, de se frayer un nouveau passage à travers l'art littéraire. À la quête d'une véritable éthique du dialogue entre les différentes souches de la société et qui ne laisse pas la place au silence et ne reconnait pas de limités à la compréhension, voir l'échec de quelque débat, par ici ou par là. Cependant, tout au fond, il y a la volonté de communiquer et d'en être responsable, de se faire attribuer un genre marqué par un style propre à notre littérature. Loin du schéma simpliste qui règne sur les autres types littéraires. Sortant de l'air colonial et pénétrant l'air de ce qu'il est convenu d'appeler (la liberté) où la création est de façon générale (originale), où la pensée traditionnelle qui ne sera pas occultée dans une grande partie d'œuvres fera parler d'elle, où notre origine orientale, est imprégnée d'une touche occidentale fera parler d'elle outre-mer aussi, par la traduction à des nombreuses langues. Le tout est soutenu par un style, où l'érudition ne pourra que être qualifiée de rebelle, mélancolique et sans sarcasme, où la recherche de la distance par rapport aux autres types est bien claire et marquée. Même le lecteur Algérien, y retrouve ses propres repères par rapport aux autres. La littérature des Algérien est tenace et conservatrice, répétitive jusqu'à devenir une obsession, avec de longue périodes qui enchâssent des qualifications et des chaines de créativité, avec des métaphores, des ellipses. Enfin ! des œuvres sublimes qui ne relèvent que des esprits fidèles et forgés par leur milieu. Le prof: Mr : George Mounin, avait mentionné dans son ouvrage ; les clefs de la linguistique: l’écrivain écrit pour exprimer le réel absolu, etc.( réponse morale, sociologique, psychologiques). L’écrivain écrit pour aider les hommes ou les peuples, ou pour peindre l’homme, etc. (réponse psychanalytiques). L’écrivain écrit (pour se délivrer de ses phantasmes). Réponse esthétique (art pour l’art), etc. toutes ces réponses ne sont pas à rejeter : a-t-il dit aussi; aujourd’hui dans les ténèbres extérieures. Il faut toujours les mentionner, elles sont toujours nécessaires à qui veut réfléchir au pourquoi de l’œuvre d’art littéraire et persiste à mettre cette question au point de départ de sa réflexion.Monsieur ceci dit que, l’homme est avant tout, est un œuvrant pour rendre sa pensée plus adéquate avec son milieu. Cela dit aussi un point de vue qui mérite toujours être pris en considération et qui aide certainement encore à comprendre le comment et pourquoi de la littérature.L'écrivain est le style de son œuvre, toute œuvre est l’être de son style.N’est il pas dit par Sartre, que l’homme s’exprime tout entier dans la plus insignifiante et la plus superficielles de ses conduites. Octav Mirbeau avait dit lui aussi:
Toute littérature est la parabole d'une situation interne, lui est propre et expressive, où le métissage de différentes écoles d'une même nation reprend sous les différents angles la problématique qui ne cesse de leur échauffer les esprits. Et où le dialogue même ce se n'était pas dit en claire fait parler de lui. Comme tout les types de littérature. La littérature algérienne est à l'image de cet échange complexe qui surpasse tout obstacle est sans cesse obligée de s'arrêter, de revenir sur ses pas, de se frayer un nouveau passage à travers l'art littéraire. À la quête d'une véritable éthique du dialogue entre les différentes souches de la société et qui ne laisse pas la place au silence et ne reconnait pas de limités à la compréhension, voir l'échec de quelque débat, par ici ou par là. Cependant, tout au fond, il y a la volonté de communiquer et d'en être responsable, de se faire attribuer un genre marqué par un style propre à notre littérature. Loin du schéma simpliste qui règne sur les autres types littéraires. Sortant de l'air colonial et pénétrant l'air de ce qu'il est convenu d'appeler (la liberté) où la création est de façon générale (originale), où la pensée traditionnelle qui ne sera pas occultée dans une grande partie d'œuvres fera parler d'elle, où notre origine orientale, est imprégnée d'une touche occidentale fera parler d'elle outre-mer aussi, par la traduction à des nombreuses langues. Le tout est soutenu par un style, où l'érudition ne pourra que être qualifiée de rebelle, mélancolique et sans sarcasme, où la recherche de la distance par rapport aux autres types est bien claire et marquée. Même le lecteur Algérien, y retrouve ses propres repères par rapport aux autres. La littérature des Algérien est tenace et conservatrice, répétitive jusqu'à devenir une obsession, avec de longue périodes qui enchâssent des qualifications et des chaines de créativité, avec des métaphores, des ellipses. Enfin ! des œuvres sublimes qui ne relèvent que des esprits fidèles et forgés par leur milieu. Le prof: Mr : George Mounin, avait mentionné dans son ouvrage ; les clefs de la linguistique: l’écrivain écrit pour exprimer le réel absolu, etc.( réponse morale, sociologique, psychologiques). L’écrivain écrit pour aider les hommes ou les peuples, ou pour peindre l’homme, etc. (réponse psychanalytiques). L’écrivain écrit (pour se délivrer de ses phantasmes). Réponse esthétique (art pour l’art), etc. toutes ces réponses ne sont pas à rejeter : a-t-il dit aussi; aujourd’hui dans les ténèbres extérieures. Il faut toujours les mentionner, elles sont toujours nécessaires à qui veut réfléchir au pourquoi de l’œuvre d’art littéraire et persiste à mettre cette question au point de départ de sa réflexion.Monsieur ceci dit que, l’homme est avant tout, est un œuvrant pour rendre sa pensée plus adéquate avec son milieu. Cela dit aussi un point de vue qui mérite toujours être pris en considération et qui aide certainement encore à comprendre le comment et pourquoi de la littérature.L'écrivain est le style de son œuvre, toute œuvre est l’être de son style.N’est il pas dit par Sartre, que l’homme s’exprime tout entier dans la plus insignifiante et la plus superficielles de ses conduites. Octav Mirbeau avait dit lui aussi:
- "En art, l’exactitude est la déformation et la vérité est le mensonge. Il n’y a rien là d’absolument vrai, ou plutôt il existe autant de vérités humaines que d’individus." (3 novembre 1884)
- Alors cher Frère EL-bahar. où sommes nous en tant que Algérien coeur et ame de tout ça?
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