Ma maladie
Je suis assis autour du feu, la
Lumière s’enfuir dans les ténèbres.
Je plaçai mon pas dans l’ombre,
Le cœur se brisa, l’âme fascina
Devant cette maladie qui s’habit
En noir et en affliction profonde.
Le silence est trahit par les représailles,
Une voix tremblante abîmée par le bruit.
Ma peau est ambrée par des fragrances
Des fleurs qui dansent au printemps.
La flamme brûle mes viscères,
S’expose au vent de stresse, et s’éteint.
Que de bois sauvage et des îles vierges,
Infestent ce bon paysage dans le cœur alité.
Le soleil se couche, la nuit approche,
Le silence ce fait entendre.
Il me fait courber en dent
De scie, qui me fait pleurer.
Ce n'est pas la tristesse c’est
La souffrance qui dessert la cure.
Je voulais chanter ton nom aujourd'hui,
La romance t’attiser pour toute la vie, et
Me faisant oublier ma maladie endormie,
M’entraînant a voyager dans cet univers.
La pire des pensés est elle de l’avenir, ou la gaieté
Et l’angoisse sont dans le même navire.
Ta lumière m’a donné l’ombre
Mon ombre t’a donné la lumière.
J’ai passé du grave à l’aigu,
Et de la haine a l’amour.
Suis-je malade ? Eh oui je le suis.
Mais différent des autres.
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