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Il est temps pour le Conseil de sécurité Nations unies d'adopter le plan d'autonomie

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  • Il est temps pour le Conseil de sécurité Nations unies d'adopter le plan d'autonomie

    Ould Souilem dans une déclaration a Global Post il dit :

    Il est temps pour le Conseil de sécurité d'adopter le plan d'autonomie proposé par le Maroc le Conseil de sécurité a devant lui une option que je considère comme la solution optimale à la question du Sahara", à savoir l'initiative marocaine d'autonomie.

    En adoptant le plan d'autonomie proposé par le Maroc, cette instance onusienne "mettra ainsi fin à la misère des populations de ces camps et donnera
    une chance aux familles séparées de se retrouver", a-t-il soutenu, dénonçant les conditions de vie abjectes qui prévalent dans les camps de Tindouf.
    Plusieurs sahraouis choisissent de braver les dangers du désert au péril de leurs vies plutôt que de dépérir dans ces camps, a-t-il ajouté, rappelant le cas des dizaines de sahraouis qui ont fui récemment les camps de Tindouf pour regagner la mère-patrie.

    "La vie à Tindouf est tellement insupportable, qu'ils étaient prêts à risquer leurs vies pour y échapper", a-t-il expliqué.
    "Pendant plus de 30 ans, des dizaines de milliers de sahraouis vivant dans les camps de Tindouf ont été séparés de leurs familles au Maroc et privés de leurs droits et leurs libertés les plus fondamentaux", écrit Ould Souilem dans cette tribune.
    Revenant sur son retour au Maroc, l'ex-dirigeant du "polisario" affirme que cette décision était motivée par sa "profonde conviction" que "le temps était venu pour mettre fin au conflit inutile" autour du Sahara et pour que "l'Algérie cesse de s'immiscer dans nos affaires".
    Pour Ould Souilem, le "polisario" et son mentor l'Algérie ont "utilisé les sahraouis pendant plus de 34 ans comme des pions dans un jeu géopolitique où les réalités sont déformées".
    "Le +polisario+ refuse de permettre un recensement de la population de Tindouf", a noté M. Ould Souilem, affirmant que le mouvement des populations sahraouies en dehors des ces camps est strictement limité.
    Les populations de ces camps "ne peuvent ni voter, ni trouver un emploi pour améliorer leurs conditions de vie", alors que les sahraouis qui vivent au Maroc jouissent pleinement de leurs droits dans la stabilité et la sécurité, a-t-il noté.

    Texte original

    Western Sahara refugees should return to Morocco.


    By Ahmadou Souilem — Special to GlobalPostPublished: April 22, 2010 09:24 ET

    A Sahrawi refugee and her daughter collect water at a camp in Tindouf, south of Algiers, Dec. 19, 2009. (Louafi Larbi/Reuters)

    DAKHLA, Morocco — Reading recently about the remarkable journey of 13 Western Saharan (Sahrawi) refugees from the camps of Tindouf in Algeria to their homeland in Morocco reminded me of the same journey I myself made a few months ago.
    What would make these people risk death under the unforgiving sun of the Sahara rather than remain in the Polisario-controlled camps in southern Algeria? The answer is all too obvious: Life in Tindouf is so unbearable, and disillusionment with the Polisario so bitter, that they were prepared to risk their lives to escape.
    I understand this because I know it first hand. Before my own return home to Morocco, I was a senior leader of the Polisario for decades. I began my mental and intellectual return years before my actual escape from Tindouf — at the point when I became convinced that the Polisario has not been protecting the real interests of the Sahrawis people whom they claim to represent. On the contrary, for 34 years the Polisario and Algeria have used refugees like those 13 escapees as pawns in a geopolitical game that distorts reality and opportunity for the Sahrawis in the camps.

    For more than 30 years, tens of thousands of Sahrawis in the Tindouf camps have been separated from their families in Morocco and deprived of basic human rights and freedoms. The Polisario refuses to allow the accountability provided by a census in the camps; refugees’ movement outside the camps is strictly limited; they have been prevented from integrating into the society around them, which means, obviously, they can’t vote, or even find work to improve their own lives. Sahrawis in Morocco, on the other hand, live in a healthy economy with a broad range of services and protections.
    Returning home to Morocco was a decision I took neither lightly nor casually. Returning home was a very personal act years in the making, taken out of deep conviction and profound belief that the time has come for the unnecessary conflict in the Western Sahara to end; for Algeria to cease its destructive meddling in our affairs; and for Polisario’s current leadership to wake up from its 30-year nap and to look after our people responsibly.
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