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Agriculture: vers l'extension de la superficie des terres irriguées à 2 millions ha à

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  • Agriculture: vers l'extension de la superficie des terres irriguées à 2 millions ha à

    ALGER - Le ministre de l'Agriculture, Rachid Benaissa, a souligné jeudi que son département ministériel comptait étendre la superficie des terres agricoles irriguées à 2 millions d'hectares à long terme soit 25% des surfaces arables. Répondant à une question d'un membre du conseil de la Nation, le ministre a précisé que la superficie des terres agricoles irriguées estimée actuellement à 900 000 ha passera à 1,1 million d'ha à moyen terme grâce à une série de "mesures incitatives techniques, financières et scientifiques pour appuyer les systèmes d'irrigation économiques". M. Benaissa a précisé que l'aide accordée aux agriculteurs est passée de 30 à 50% par individu et à 60% par collectivité, affirmant que l'élargissement de la superficie des terres irriguées "permettra sur la base des expériences actuelles dans les régions sud d'économiser environ 3000 m3 pour un hectare irrigué soit l'économie de 2,4 milliards de m3".
    [Aps 23/4/10
    The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

  • #2
    Voila un projet intelligent ,ambitieux et profitable , en tout cas bonne chance dans sa réalisation

    L'agriculture est un domaine de developpement trés important
    "La mathématique est la reine des Sciences, mais la théorie des nombres est la reine des sciences mathématiques."

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    • #3
      Que veut dire terre irriguée, on ramène une canalisation à chaque
      exploitation ?
      Faute de grives , nous mangeons des Merles

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      • #4
        Aps
        deja c est l aps donc il faut prendre l info avec des pincettes...

        étendre la superficie des terres agricoles irriguées à 2 millions d'hectares à long terme
        il n y a aucun deadline ni rien...aucun programme structuré....aucune vision claire...comme pour tout ce qui se fait en algerie....c est dommage...lah ye3awenkoum.

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        • #5
          eagle19 ce n'est qu'un article qui ne dit pas tout , qu'est-ce que t'en sais qu'il n'y a pas de projet ?

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          • #6
            ça lui coute rien d'annoncer ça....de toute façon ça marche comme ça avec nos ministre ou bien ç nos journaliste ...
            précisé que l'aide accordée aux agriculteurs est passée de 30 à 50% par individu
            ça veut vraiment rien dire ça.......:
            tu tombe je tombe car mane e mane
            après avoir rien fait ...on a souvent le sentiment d'avoir faillie faire ....un sentiment consolateur

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            • #7
              A long terme comme c'est dit je pense que c'est possible financiérement mais aussi à condition que les besoins en eau puisse être disponibles.

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              • #8
                Le ministre de l'Agriculture, Rachid Benaissa, a souligné jeudi que son département ministériel comptait étendre la superficie des terres agricoles irriguées à 2 millions d'hectares à long terme


                On ne gère pas un pays comme on gère l’épicerie du coin.
                C pas les moyens qui manquent à l’Algérie, mais c l’homme qu’il faut, à la place qu’il faut (arrajoulou almounassibe fi almakane almounassibe)
                aucune vision et aucun planning...............

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                • #9
                  en 30 ans la surface irriguée à été multiplié par trois. avec moins de moyens qu aujourd'hui.
                  « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

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                  • #10
                    Je vous ai posé une question et personne ne m'a répondu, je n'ai pas compris le titre, que veut dire terre irriguée?
                    Faute de grives , nous mangeons des Merles

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                    • #11
                      vers l'extension à 2 millions ha ?

                      - Quelle est la situation actuelle


                      350 000 a 400 000 ha toutes irrigations confondues dans l’ensemble du territoire .

                      En comparaison avec les autres pays du Maghreb .

                      près de 1,5 million d’ha équipes au Maroc, 350 000 ha en Tunisie.

                      - Quels sont les objectifs pour le développement de l’irrigation `a long terme ?

                      Les potentialités en eau et en sol du pays permettront, sous réserve de la mise en œuvre d’une politique adéquate, d’atteindre dans une vingtaine d’années un million d’ha irrigues en Algérie, dont plus de 250 000 ha dans les régions sahariennes, o`u, selon la dernière expertise de l’OSS, il semblerait qu’une exploitation raisonnable des nappes fossiles permettrait d’extraire plus de 5 milliards de m3d’eau sans trop déséquilibrer cet écosystème fragile.

                      Par ailleurs, une gestion optimale de la demande en eau et une politique volontariste de la réutilisation des eaux usées, dans le respect des normes d’hygiène et avec les contrôles adéquats, permettront de disposer de ressources en eau complémentaires importantes.

                      – Répartition prévisionnelle d’1 million d’ha irrigues dont pourrait disposer l’Algérie `a l’horizon
                      2020.

                      ---------------------------------------Superficie (ha) ---------- Besoins moyens en eau (millions de m3)

                      Grands périmètres irrigues --------500 000 ------------------3.100

                      Petite et moyenne hydraulique ---240 000 -------------------1.150

                      Régions sahariennes -------------- 260 000 ------------------ 4.155

                      Total = ------------------------------ 1 000 000 ha - --- -------8 405 millions de m3

                      L’eau n’est-elle pas source de toute vie et de tout développement durable ?

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                      • #12
                        c'est malheureux à dire

                        mais les choix qui ont été faits juste après la création de l'algérie n'étaient pas les bons

                        en effet, un pays n'est riche que grace à son agriculture, et celle ci a été délaissée au profit du développent de certaines industries lourdes.

                        C'est dommage, car je pense qu'en algérie il y a beaucoup de ressources hydrauliques mais qu'on a oublié de capter et stocker

                        Mais comme on dit il n'est jamais trop tard pour bien faire

                        Commentaire


                        • #13
                          C'est dommage, car je pense qu'en algérie il y a beaucoup de ressources hydrauliques mais qu'on a oublié de capter et stocker
                          Au contraire l'Algérie à peu de ressource hydrique en plus de son retard dans l'équiepement de barrage et de transfert d'eau.

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                          • #14
                            Plus sérieusement !

                            Ressources en eau : http://www.mre.gov.dz/eau/ressources_mre.htm

                            __________________________________________________ __________________________________________________ ___________


                            L'Aménagement de Beni Haroun : Atout-maître pour le Constantinois et les Aurès
                            Pour le Constantinois, l'aménagement Beni Haroun est le principal système fde la région. Il permettra d'assurer à l'horizon 2008 un volume annuel de 504 millions de m3:
                            • 242 millions de m3 pour l'A.E.P de 4 620 000 habitants de Jijel, Mila, Oum El Bouaghi, Batna, Constantine, Ain M'lila et Khenchela.

                            • 262 millions de m3 pour l'irrigation de 30 000 Ha.


                            Pour le transfert des eaux :



                            Le Complexe Hydraulique Setif - Hodna :
                            (Systèmes Est et Ouest)
                            Un ensemble bicéphale Pour le transfert de Setif - Hodna - El Eulma, l'aménagement est constitué de deux systèmes :
                            Systèmes Ouest:
                            Ce système permettra d'assurer un volume annuel de 122 millions de m3 dont 31 millions de m3 pour l'A.E.P de 566 000 habitants de la ville de Sétif et des agglomérations avoisinantes et 91 millions de m3 pour l'irrigation d'une superficie de 13 000 Ha des hautes plaines sétifiennes.

                            Systèmes Est:
                            Ce système mobilisera un volume annuel de 190.5 millions de m3 dont 38 millions de m3 pour l'A.E.P de 694 000 habitants de la ville d'El Eulma et des agglomérations avoisinantes et 152.5 millions de m3 pour l'irrigation d'une superficie de 30 000 Ha.

                            Mobilisation des ressources en eau dans l'Algérois
                            Un approvisionnement plus régulier Un ensemble de projets à réaliser permettra d'assurer un volume annuel de 595 millions de m3.
                            • 435 millions de m3/an pour l'A.E.P de 7 950 000 habitants.

                            • 160 millions de m3/an pour l'irrigation d'une superficie d'environs 30 000 Ha.
                            Ces projets nécessitent de 5 ans pour leur mise en service, à compter du lancement des travaux.


                            Mobilisation des ressources en eau dans l'Ouest algérien
                            Un outil décisif pour alimenter l'Oranie
                            L'aménagement du système de production d'eau Chéliff-Kerrada dénommé M.A.O assurera 155 millions de m3/an destinés à lA.E.P du couloir Mostaganem-Arzew-Oran.
                            Cet aménagement peut être réalisé simultanément en un délai exceptionnel de 36 mois à compter du lancement des travaux.


                            Transfert des eaux du Sahara Septentrional vers les régions du Nord de l'Algérie

                            Cette étude actuellement en cours de lancement porte sur :

                            * L’identification des zones aux fortes potentialités en eau, avec des excédents permettant des transferts vers le nord ;
                            * L’identification des zones à desservir en priorité ;
                            * L’identification et l’étude des infrastructures de transfert ;
                            * L’étude économique des transferts : coût du m3 d’eau fourni, rentabilité du projet ;
                            * L’étude d’impact.



                            Le programme de dessalement de l'eau de mer en Algérie conduit par le Ministère des Ressources en Eau se présente comme suit :
                            • 23 petites stations mobiles monobloc, d'une capacité totale de 57 500 m3/jour sont en cours d'installation, dans le cadre d'un programme d'urgence, dans sept (07) wilayas de la bande côtière;

                            • 04 grandes stations (capacité totale de production: 360 000 m3/jour) sont retenues pour 2003 et concernant cinq grandes villes en situation de stress hydrique : Alger (200 000 m3/j), Ain Temouchent, Bejaia, Annaba (100 000 m3/j) et Ténès (60 000 m3/j).

                            • Prise en compte de 42 agglomérations côtières (06 six millions d'habitans), soit 16 stations modulables. Besoins totaux en 2010 : 1 200 000 m3/j;

                            • 193 agglomérations à moins de 30 km de la mer et avec une altitude de 300 m (9,75 millions d'habitants), soit 28 stations modulables. Besoins totaux : 1 950 000 m3/j;
                            • 235 agglomérations à 60 km de la mer et avec une altitude de -300 m (10 millions d'habitants), soit 34 stations modulables. Besoins totaux : 2 000 000 m3/j.



                            En situation de crise, le dessalement est un atout qui renforce le volant de manoeuvre disponible entre les mains des responsables en charge du secteur.
                            Dernière modification par jawzia, 26 avril 2010, 09h28.

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                            • #15
                              Très important .... l'assainissement

                              Assainissement

                              Dans le cadre de l’actualisation périodique de l’inventaire du réseau d’assainissement à travers le territoire national, la Direction de l’Assainissement et de la Protection de l’Environnement a lancé une enquête portant sur l’évaluation du linéaire de réseau existant à travers les 48 wilaya du pays.

                              Cette enquête a été lancée au courant de l’année 2006 sur la base d’un questionnaire type adressé à toutes les Directions de l’hydraulique de Wilaya. Les questionnaires ont été renseignés et retournés à la DAPE pour traitement et consolidation. Parmi les informations demandées à travers le questionnaire, figurent le linéaire du réseau primaire et secondaire ainsi que le taux de raccordement au réseau d’assainissement et ce, pour chaque agglomération de la wilaya.

                              Il convient de signaler à ce titre que les localités rurales et les zones éparses ne sont pas concernées par cette enquête.

                              Résultat de l’enquête :

                              Le résultat de l’enquête sur le réseau d’assainissement, arrêté à la fin du deuxième semestre 2006 (tableau ci-joint) fait état de 38.000 Kilomètres linéaire de réseau en service, dont 12 300 Kml de réseau primaire (collecteurs) et 25 700 Kml de réseau secondaire.

                              Le taux de raccordement moyen national calculé sur la base de la moyenne des taux de raccordement des 48 wilayas est de 86 %, pour un volume total d’eau usée rejetée annuellement de 900 Hm3.

                              Parc des stations d’épuration


                              o En exploitation (nombre et capacité d’épuration) : 65 pour un volume de 365 hm3/an et une capacité de 6 168 592 EQ.H
                              o En cours de réhabilitation (nombre et capacité d’épuration) : 02, volume 19 millions m3/an
                              o A réhabiliter (nombre et capacité d’épuration) : 06, volume 6 HM3/an
                              o En cours de réalisation (nombre et capacité d’épuration) : 34 volume 400 HM3/an

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