Déterres moi
Déterres moi, déchaine moi
Absout moi de mes doutes
Parle de moi aux volcans
Que leur magma, me dissoude
Que leur sagesse, me désenvoute
Déterres moi, je ne suis pas mort,
Et même si le cœur ne bat pas
Que le sang ne brûle pas...
Que mon âme arrache ma peau
Je ne t'ai pas oublier...
Déterres moi, ils sont tous parti
Les chialeuses, et les gens de Dieu
Plonges tes doigts dans ce sol
Mon odeur est toute fraiche,
Et ne s'est pas encore mélanger
A viande pourrie de mes voisins...
Déterres moi, de cette ombre
De ces eaux ténébreuses et froide
Sur ma peau est gravé un testament
Mes mots d'amour et un peu d'argent
Propulses mon corps, et embrasse moi
Déterres moi j'ai peur tout seul
Et je ne sais pas qui craindre
Lucifer et ses gencives puantes ?
Ou de ne plus jamais te revoir ?
Mon corps est lourd, tends moi ta main !
Déterres moi, je n'ai rien d'un mort
J'ai encore du soleil dans la tête
Dans le cœur ton image éternelle
Dans mes mains de l'espace pour toi
Et des envies de voyages intense
Déterres moi bon sang ! tu tourne déjà
De quel épaule espères tu le réconfort ?
Il te dirons du mal de moi !
Pour alléger ton deuil, pour diluer tes larmes
Il dirons que tu était trop belle pour moi
Déterres moi, juste une heure
Il me reste des chemins a parcourir
Mains dans la main, des rivières
Des livres a lire a tes yeux
Des paysages a te montrer du doigt
Déterres moi, toi qui ne crois pas en Dieu
Arrache tes ongles, brise tes dents
Comme on creuse pour les trésor
Le tiens sera a la hauteur
J'ai emprunté au diable sa douceur.
Déterres moi, je suis l'ange enseveli
C'est une tremblement de terre
Qui m'a mis si profondément en sépulture
Six pied sous terre, je rêve encore
De te voir déterrer mon corps...
Chaarar,
Déterres moi, déchaine moi
Absout moi de mes doutes
Parle de moi aux volcans
Que leur magma, me dissoude
Que leur sagesse, me désenvoute
Déterres moi, je ne suis pas mort,
Et même si le cœur ne bat pas
Que le sang ne brûle pas...
Que mon âme arrache ma peau
Je ne t'ai pas oublier...
Déterres moi, ils sont tous parti
Les chialeuses, et les gens de Dieu
Plonges tes doigts dans ce sol
Mon odeur est toute fraiche,
Et ne s'est pas encore mélanger
A viande pourrie de mes voisins...
Déterres moi, de cette ombre
De ces eaux ténébreuses et froide
Sur ma peau est gravé un testament
Mes mots d'amour et un peu d'argent
Propulses mon corps, et embrasse moi
Déterres moi j'ai peur tout seul
Et je ne sais pas qui craindre
Lucifer et ses gencives puantes ?
Ou de ne plus jamais te revoir ?
Mon corps est lourd, tends moi ta main !
Déterres moi, je n'ai rien d'un mort
J'ai encore du soleil dans la tête
Dans le cœur ton image éternelle
Dans mes mains de l'espace pour toi
Et des envies de voyages intense
Déterres moi bon sang ! tu tourne déjà
De quel épaule espères tu le réconfort ?
Il te dirons du mal de moi !
Pour alléger ton deuil, pour diluer tes larmes
Il dirons que tu était trop belle pour moi
Déterres moi, juste une heure
Il me reste des chemins a parcourir
Mains dans la main, des rivières
Des livres a lire a tes yeux
Des paysages a te montrer du doigt
Déterres moi, toi qui ne crois pas en Dieu
Arrache tes ongles, brise tes dents
Comme on creuse pour les trésor
Le tiens sera a la hauteur
J'ai emprunté au diable sa douceur.
Déterres moi, je suis l'ange enseveli
C'est une tremblement de terre
Qui m'a mis si profondément en sépulture
Six pied sous terre, je rêve encore
De te voir déterrer mon corps...
Chaarar,
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