Les conflits politiques entre les deux pays s’élargissent au climat des affaires
Le gouvernement « remet en cause » l’installation d’une usine d’assemblage de voitures de Renault
Il semble que les conflits politiques existant entre l’Algérie et la France se répercutent sur le climat des affaires. En effet, selon une source bien informée, les pouvoirs publics ont émis des réserves sur tous les projets des entreprises françaises souhaitant investir sur le marché algérien, en cours d’étude au niveau de l’instance chargée de l’étude des dossiers d’investissements. Il y a lieu de citer, entre autres, le projet portant sur la réalisation d’une usine de montage de la marque au losange, Renault, inscrit parmi les priorités du gouvernement pour les quelques dernières années. Dans le même sillage, le gouvernement a fait énormément d’efforts afin de convaincre le constructeur d’automobiles français à élire domicile à son usine de montage en Algérie, au lieu du Maroc.
Selon une source officielle, « le gouvernement ne voit aucun intérêt dans la poursuite du débat autour de ce projet », ajoutant « qu’il est tributaire aux positions françaises sur des questions politiques ».
Il y a lieu de rappeler que le constructeur français, Renault, « espérait obtenir l’accord des pouvoirs publics, suite sa demande relative à l’assemblage de trois types différents destinés à la classe moyenne, en partenariat avec la Société nationale des véhicules industriels, SNVI, de Rouiba, conformément aux nouvelles mesures économiques incluses dans la LFC 2009.
En fait, parmi les réserves émises par le gouvernement, selon notre source, celle relative à la réalisation d’une usine par Renault au Maroc, en partenariat avec Nissan, considérée en étant l’une des plus grandes dans le monde, avec un capital d’investissement initial estimé à 600 millions d’euros, et une capacité de production de 200 mille unités/an. Par contre, le projet destiné pour l’Algérie est d’une capacité de production de 50 mille unités/an, alors que le marché automobile national nécessite un montant d’investissement de 3.5 milliards de dollars, soit 250 mille voitures/an, selon les statistiques de 2009.
El Khabar
Le gouvernement « remet en cause » l’installation d’une usine d’assemblage de voitures de Renault
Il semble que les conflits politiques existant entre l’Algérie et la France se répercutent sur le climat des affaires. En effet, selon une source bien informée, les pouvoirs publics ont émis des réserves sur tous les projets des entreprises françaises souhaitant investir sur le marché algérien, en cours d’étude au niveau de l’instance chargée de l’étude des dossiers d’investissements. Il y a lieu de citer, entre autres, le projet portant sur la réalisation d’une usine de montage de la marque au losange, Renault, inscrit parmi les priorités du gouvernement pour les quelques dernières années. Dans le même sillage, le gouvernement a fait énormément d’efforts afin de convaincre le constructeur d’automobiles français à élire domicile à son usine de montage en Algérie, au lieu du Maroc.
Selon une source officielle, « le gouvernement ne voit aucun intérêt dans la poursuite du débat autour de ce projet », ajoutant « qu’il est tributaire aux positions françaises sur des questions politiques ».
Il y a lieu de rappeler que le constructeur français, Renault, « espérait obtenir l’accord des pouvoirs publics, suite sa demande relative à l’assemblage de trois types différents destinés à la classe moyenne, en partenariat avec la Société nationale des véhicules industriels, SNVI, de Rouiba, conformément aux nouvelles mesures économiques incluses dans la LFC 2009.
En fait, parmi les réserves émises par le gouvernement, selon notre source, celle relative à la réalisation d’une usine par Renault au Maroc, en partenariat avec Nissan, considérée en étant l’une des plus grandes dans le monde, avec un capital d’investissement initial estimé à 600 millions d’euros, et une capacité de production de 200 mille unités/an. Par contre, le projet destiné pour l’Algérie est d’une capacité de production de 50 mille unités/an, alors que le marché automobile national nécessite un montant d’investissement de 3.5 milliards de dollars, soit 250 mille voitures/an, selon les statistiques de 2009.
El Khabar
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