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Le Département d'Etat américains a retiré l'Algérie de la liste des pays à risque à l'attention de leurs ressortissants désirant se rendre à l'étranger. L'Algérie est donc désormais plus sure et les menaces terroristes restent confiné à des zones qui sont déconseillés.
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L’Algérie est quasiment un pays sûr pour les touristes américains. Le département d’Etat américain ne décourage plus les éventuels touristes américains désireux de se rendre en Algérie. C’est ce qu’indique la nouvelle note de voyage (travel warning) publiée avant-hier par le département d’Etat américain.
Une version de moins en moins restrictive et tout à fait plus souple par rapport aux précédentes mises en garde lancées chaque semestre depuis 1998 par les autorités américaines . Elle vient, notamment, en contradiction avec la note du ministère britannique des Affaires étrangères, publiée le 14 février, qui considérait le Sud algérien comme une région potentiellement dangereuse pour les étrangers.
Selon la note qui remplace celle publiée le 21 juillet 2005, la menace terroriste en Algérie se confine désormais aux régions rurales et hameaux isolés. Le département de Mme Condoleeza Rice souligne qu’Alger, la capitale, et les principales villes sont pratiquement sûres, étant donné qu’elles n’ont pas connu d’actes de violence ces dernières années.
Il exhorte toutefois ses citoyens à faire preuve de vigilance lorsqu’ils se retrouvent en Algérie et de prendre les précautions d’usage. La publication relève que les actes de violence en Algérie se résument désormais à de petites actions sporadiques comme les faux barrages, les rapts et les assassinats.
Le département recommande, dès lors, aux touristes américains de supprimer les déplacements de nuit entre les grandes villes afin de supprimer ce risque. Il recommande également aux citoyens américains qui voyagent en Algérie ou résident dans le pays de recourir à des agents ou à des guides réputés pour leur professionnalisme lorsqu’ils effectuent des déplacements dans les régions montagneuses du nord du pays ou dans le Sud, notamment sur les sites touristiques situés en dehors de Tamanrasset.
A ceux parmi les ressortissants américains qui effectuent des voyages en Algérie, la note rappelle aussi les mesures de précaution à prendre, notamment recourir pendant la durée du séjour à des accompagnateurs, résider de préférence dans les grands hôtels internationaux où la sécurité est convenablement assurée.
Elle leur demande aussi de s’assurer que les tours opérateurs ou les organismes qui les accueillent ont coordonné avec les services de police toutes les démarches nécessaires pour garantir un meilleur déroulement de leur séjour. La note américaine contraste avec celle du ministère britannique des Affaires étrangères qui avait déconseillé vivement aux ressortissants britanniques de voyager dans le Sud algérien.
La note britannique avait estimé «jusqu’à nouvel ordre» que la région du sud de l’Algérie était dangereuse pour les touristes étrangers que ce soit en raison de la présence supposée de groupes armés ou de bandes de malfaiteurs. Le Foreign Office mettait en garde les ressortissants britanniques de faire du tourisme notamment dans les villes de Tamanarasset, Djanet et Illizi, estimant que l’enlèvement en 2003 de touristes européens laissait planer le risque de récidive d’une telle opération dans le désert et dans les régions montagneuses de ces wilayas du sud algérien.
Par Le Jeune Indépendant
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L’Algérie est quasiment un pays sûr pour les touristes américains. Le département d’Etat américain ne décourage plus les éventuels touristes américains désireux de se rendre en Algérie. C’est ce qu’indique la nouvelle note de voyage (travel warning) publiée avant-hier par le département d’Etat américain.
Une version de moins en moins restrictive et tout à fait plus souple par rapport aux précédentes mises en garde lancées chaque semestre depuis 1998 par les autorités américaines . Elle vient, notamment, en contradiction avec la note du ministère britannique des Affaires étrangères, publiée le 14 février, qui considérait le Sud algérien comme une région potentiellement dangereuse pour les étrangers.
Selon la note qui remplace celle publiée le 21 juillet 2005, la menace terroriste en Algérie se confine désormais aux régions rurales et hameaux isolés. Le département de Mme Condoleeza Rice souligne qu’Alger, la capitale, et les principales villes sont pratiquement sûres, étant donné qu’elles n’ont pas connu d’actes de violence ces dernières années.
Il exhorte toutefois ses citoyens à faire preuve de vigilance lorsqu’ils se retrouvent en Algérie et de prendre les précautions d’usage. La publication relève que les actes de violence en Algérie se résument désormais à de petites actions sporadiques comme les faux barrages, les rapts et les assassinats.
Le département recommande, dès lors, aux touristes américains de supprimer les déplacements de nuit entre les grandes villes afin de supprimer ce risque. Il recommande également aux citoyens américains qui voyagent en Algérie ou résident dans le pays de recourir à des agents ou à des guides réputés pour leur professionnalisme lorsqu’ils effectuent des déplacements dans les régions montagneuses du nord du pays ou dans le Sud, notamment sur les sites touristiques situés en dehors de Tamanrasset.
A ceux parmi les ressortissants américains qui effectuent des voyages en Algérie, la note rappelle aussi les mesures de précaution à prendre, notamment recourir pendant la durée du séjour à des accompagnateurs, résider de préférence dans les grands hôtels internationaux où la sécurité est convenablement assurée.
Elle leur demande aussi de s’assurer que les tours opérateurs ou les organismes qui les accueillent ont coordonné avec les services de police toutes les démarches nécessaires pour garantir un meilleur déroulement de leur séjour. La note américaine contraste avec celle du ministère britannique des Affaires étrangères qui avait déconseillé vivement aux ressortissants britanniques de voyager dans le Sud algérien.
La note britannique avait estimé «jusqu’à nouvel ordre» que la région du sud de l’Algérie était dangereuse pour les touristes étrangers que ce soit en raison de la présence supposée de groupes armés ou de bandes de malfaiteurs. Le Foreign Office mettait en garde les ressortissants britanniques de faire du tourisme notamment dans les villes de Tamanarasset, Djanet et Illizi, estimant que l’enlèvement en 2003 de touristes européens laissait planer le risque de récidive d’une telle opération dans le désert et dans les régions montagneuses de ces wilayas du sud algérien.
Par Le Jeune Indépendant