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Le Bayern Munich écrase Lyon

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  • Le Bayern Munich écrase Lyon

    Le Bayern Munich a brisé sans la moindre pitié mardi le rêve de Lyon d'atteindre la finale de la Ligue des champions en venant imposer sa loi de manière implacable à Gerland avec un triplé d'Ivica Olic (3-0).

    Déjà battus 1-0 à l'aller, les Lyonnais ont été encore quasiment incapables de s'approcher du but bavarois. La détermination était pourtant bien présente cette fois mais rien n'a pu perturber un Bayern sûr de sa force.

    L'impuissance et la frustration lyonnaises se sont illustrées à l'heure de jeu quand le capitaine Cris a été expulsé pour s'être moqué de l'arbitre.

    Quadruple champion d'Europe, le Bayern va disputer une septième finale de C1, neuf ans après la dernière, qu'il a remportée.

    Le 22 mai à Madrid, il rencontrera le vainqueur de l'autre demi-finale entre le FC Barcelone, tenant du titre, et l'Inter Milan, vainqueur 3-1 du match aller.

    "Ils ont été plus forts. C'est dommage de ne pas avoir égalisé sur quelques occasions qui nous auraient remis dans le match", a dit Claude Puel à TF1.

    "Après l'exclusion de Cris, cela a été difficile, ils ont très bien maîtrisé. Le score est un peu lourd par rapport à l'investissement des joueurs. Il y a un petit goût d'inachevé."

    De leur propre aveu, les Lyonnais ont été quelque peu tétanisés par l'enjeu lors du match aller pour leur première apparition en demi-finale de la Ligue des champions. Ils avaient promis de laisser leur appréhension aux vestiaires cette fois et d'entrée de jeu, ils tiennent parole.

    Portés par un public enthousiaste chauffé par l'ancien buteur Sonny Anderson avant le match, ils tentent de presser les Bavarois dans leur camp et Maxime Gonalons, plein de culot, tente une frappe lointaine qui passe largement à côté.

    Le problème pour Lyon est que le Bayern est loin de se laisser impressionner. C'est même lui qui parvient progressivement à imprimer son rythme à la partie, à contrôler les débats sans être mis en danger.

    LYON AGACÉ PAR L'ARBITRE

    A la moindre récupération du ballon, il se projette rapidement vers l'avant et la menace ne cesse de se préciser au cours de la première période.

    Thomas Müller aurait même pu tuer quasiment tout suspense dès la deuxième minute si, seul face à Hugo Lloris, il avait cadré sa reprise, passée au ras du poteau, sur un centre d'Ivica Olic parti sur la droite.

    L'attaquant croate se charge d'assommer lui-même les Lyonnais en milieu de première période.

    Lancé dans la surface par Arjen Robben, Müller centre en retrait pour Olic, qui se retourne et trompe Lloris d'une frappe en pivot.

    Après avoir siroté quelques bières et dormi à l'ombre des arbres des parcs lyonnais dans l'après-midi, les supporters bavarois passent finalement une journée bien agréable et peuvent scander le nom du buteur en songeant déjà à une autre destination ensoleillée, Madrid.

    Surtout que, peu après, Michel Bastos éteint la seule lueur d'espoir apparue pour Lyon dans ces 45 premières minutes quand, démarqué au second poteau, il s'applique à envoyer une reprise du plat du pied à côté du but munichois.

    Devant son banc, Claude Puel s'agite, délivre des consignes à ses joueurs, s'agace contre des décisions arbitrales. Assis, son homologue bavarois Louis van Gaal observe sereinement la domination de ses troupes.

    L'entraîneur lyonnais tente bien un coup à la mi-temps. Il sort son défenseur gauche Aly Cissokho, Bastos reculant à sa place, et le remplace par Bafétimbi Gomis.

    L'attaquant manque de donner raison à Puel cinq minutes à peine après son entrée en jeu mais sa reprise s'envole dans le ciel lyonnais, comme celle, lointaine, de Bastian Schweinsteiger quelques instants plus tard.

    Comme en première période, les Lyonnais ne cessent de s'énerver contre les décisions de l'arbitre et, comme à l'aller, ils vont finir le match à 10 après l'exclusion du capitaine Cris, coupable d'avoir ironiquement applaudi Massimo Busacca.

    Déjà maître de la situation depuis le début, le Bayern ne peut plus trembler dans la dernière demi-heure et Lyon coule définitivement quand Olic, de près puis de la tête, s'offre un triplé.

    source : Reuters

  • #2
    j avais l'impression de voir jouer deux equipes à 3 divisions d'écart
    "En ces temps d'imposture universelle, dire la vérité est un acte révolutionnaire" (G. Orwell)

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    • #3
      Sallâm !

      Il y a rien a dire.....le Bayern était trop supérieur.....avec un jeu très propre, une leçon de foot pour tous !!!

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      • #4
        C'est bon c'est pas un lion non plus en face.

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        • #5
          c'est vrai y avait un grand écart entre les deux equipes,l'attaque lyonnaise est impuissante .seul bastos a couru un peut .
          espérons que le Barca passe ce soir

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