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RABAT (AP) — Un avis de recherche a été lancé contre un ressortissant français d'origine marocaine pour son implication présumée dans le réseau de 24 islamistes liés à Al-Qaïda récemment démantelé au Maroc, a annoncé mercredi le ministère marocain de l'Intérieur.
Ce réseau est "dirigé à partir de la France par un dénommé Ahmed Sehnouni, un Français d'origine marocaine recherché actuellement", selon la déclaration écrite du ministère transmise à l'Associated Press.
Le réseau terroriste présumé "avait des liens avec des réseaux spécialisés dans le recrutement et l'envoi de volontaires marocains pour des opérations de jihad en Afghanistan, en Irak, en Somalie et dans la région sahelo-saharienne", poursuit le communiqué.
Le démantèlement de ce réseau avait été annoncé lundi par le ministère de l'Intérieur, qui faisait état d'une série d'arrestations à Casablanca, Kenitra et Berrechid.
Ont notamment été interpellés "leur dirigeant au niveau national, le dénommé Youssef Tebai, ainsi que quatre anciens détenus qui avaient purgé des peines de prison pour appartenance au mouvement de la Salafiya Jihadiya", poursuit le texte diffusé mercredi.
On trouve également au sein de ce réseau "quelques membres de certaines cellules terroristes (...) démantelées entre 2002 et 2008 et qui ont essayé de reprendre leurs activités", selon cette même source.
Selon le communiqué diffusé lundi par la MAP, l'agence officielle marocaine, ces hommes "s'apprêtaient à commettre des assassinats et des actes de sabotage à l'intérieur du pays, notamment à l'encontre des services de sécurité et d'intérêts étrangers au Maroc".
Parmi les personnes arrêtées 12 avaient tenté "à plusieurs reprises" de partir pour l'étranger "pour des opérations de jihad", trois autres onbt été arrêtés à l'aéroport Mohammed V alors qu'elles s'apprêtaient à partir pour la Somalie, précise le texte.
"Les opérations de perquisistion ont permis la saisie d'un pistolet automatique de type Breta et de sept cartouches de 7,65 mm", volés à un agent de sécurité à Casablanca le 19 janvier, ainsi que lde la littérature jihadiste et "une importante quantité d'armes blanches", ajoute le communiqué.
Les groupes islamistes se réclamant d'Al-Qaïda Maghreb islamique (AQMI) sont particulièrement actifs dans cette immense région désertique couvrant le sud algérien, ainsi que le nord du Mali et du Niger, ainsi qu'une partie de la Mauritanie. AP
Ce réseau est "dirigé à partir de la France par un dénommé Ahmed Sehnouni, un Français d'origine marocaine recherché actuellement", selon la déclaration écrite du ministère transmise à l'Associated Press.
Le réseau terroriste présumé "avait des liens avec des réseaux spécialisés dans le recrutement et l'envoi de volontaires marocains pour des opérations de jihad en Afghanistan, en Irak, en Somalie et dans la région sahelo-saharienne", poursuit le communiqué.
Le démantèlement de ce réseau avait été annoncé lundi par le ministère de l'Intérieur, qui faisait état d'une série d'arrestations à Casablanca, Kenitra et Berrechid.
Ont notamment été interpellés "leur dirigeant au niveau national, le dénommé Youssef Tebai, ainsi que quatre anciens détenus qui avaient purgé des peines de prison pour appartenance au mouvement de la Salafiya Jihadiya", poursuit le texte diffusé mercredi.
On trouve également au sein de ce réseau "quelques membres de certaines cellules terroristes (...) démantelées entre 2002 et 2008 et qui ont essayé de reprendre leurs activités", selon cette même source.
Selon le communiqué diffusé lundi par la MAP, l'agence officielle marocaine, ces hommes "s'apprêtaient à commettre des assassinats et des actes de sabotage à l'intérieur du pays, notamment à l'encontre des services de sécurité et d'intérêts étrangers au Maroc".
Parmi les personnes arrêtées 12 avaient tenté "à plusieurs reprises" de partir pour l'étranger "pour des opérations de jihad", trois autres onbt été arrêtés à l'aéroport Mohammed V alors qu'elles s'apprêtaient à partir pour la Somalie, précise le texte.
"Les opérations de perquisistion ont permis la saisie d'un pistolet automatique de type Breta et de sept cartouches de 7,65 mm", volés à un agent de sécurité à Casablanca le 19 janvier, ainsi que lde la littérature jihadiste et "une importante quantité d'armes blanches", ajoute le communiqué.
Les groupes islamistes se réclamant d'Al-Qaïda Maghreb islamique (AQMI) sont particulièrement actifs dans cette immense région désertique couvrant le sud algérien, ainsi que le nord du Mali et du Niger, ainsi qu'une partie de la Mauritanie. AP
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