Annonce

Réduire
Aucune annonce.

ASSASSINAT DE ALI TOUNSI: Trois psychiatres «sondent» Oultache

Réduire
Cette discussion est fermée.
X
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • ASSASSINAT DE ALI TOUNSI: Trois psychiatres «sondent» Oultache

    Le juge d’instruction chargé du dossier a instruit les experts de lui transmettre leurs conclusions dans les meilleurs délais.
    L’assassin présumé du défunt Ali Tounsi, le colonel Chouaib Oultache, est soumis à des examens psychiatriques à l’hôpital de Bab El Oued, à Alger. Selon le journal électronique, toutsurlalgerie, trois experts en psychiatrie ont été désignés par le juge d’instruction afin de compléter l’enquête sur les circonstances de l’assassinat du directeur général de la Sûreté nationale. Cette décision a été prise sachant que le mis en cause a été déclaré atteint «d’une crise de démence» par le ministère de l’Intérieur, dans son communiqué publié au lendemain du meurtre. Depuis, il a été procédé, sur décision du juge d’instruction, à la désignation d’une équipe d’experts pour examiner l’état de santé mental de l’assassin présumé. Cette éventualité a été, même, confirmée par le ministre de la Justice, garde des Sceaux, Tayeb Belaïz qui avait déclaré, dans une de ses sorties médiatiques, qu’«il est sûr qu’un expert psychiatrique sera désigné pour Oultache et aura à établir un rapport». C’est ainsi, que la 1ère Chambre du tribunal de Bab El Oued (Alger) a décidé de désigner trois noms de psychiatres afin d’entamer cette expertise. Il s’agit, selon le même journal, du professeur Mohamed Boudef, chef du service psychiatrique de l’Etablissement hospitalier spécialisé (EHS) Erazi de Annaba, du docteur Azzedine Ratiba, du service psychiatrique au Centre hospitalier universitaire d’Oran et de Mahmoud Frarha psychiatre, dont le cabinet privé est à Bouïra, est-il noté. La même source affirme, également que l’expertise sera lancée incessamment. Les trois psychiatres désignés pour rendre un rapport détaillé sur l’état psychologique de l’assassin présumé lors de son acte, étaient appelés à se rendre à l’établissement de rééducation de Serkadji (Alger). Les psychiatres sont appelés à «transmettre leurs conclusions au juge d’instruction dans les meilleurs délais», est-il souligné par le magistrat signataire de la réquisition chargé de ce dossier, note la même source. M.Oultache est poursuivi, selon le ministre de la Justice, pour homicide volontaire avec préméditation et «port d’arme sans permis». Après avoir déclaré que l’auteur du meurtre a été placé en détention préventive, le ministre avait réaffirmé que «l’instruction a connu une importante avancée». A noter qu’une polémique a été déclenchée entre le ministre de l’Intérieur, Yazid Zerhouni et la famille du défunt. La presse nationale avait, ainsi, rapporté que le crime était dû «à un problème personnel». Ces déclarations ont provoqué une vive réaction auprès de la famille du défunt Ali Tounsi, qui avait contesté la version du ministre de l’Intérieur. Ainsi, la presse a fait état, au lendemain des déclarations de M.Zerhouni, de la réaction de la famille Tounsi qui s’est inscrite en faux contre les «commentaires qui donnent un caractère personnel aux motivations de l’assassin».
    Selon le communiqué de la famille du défunt, cité par la presse, celle-ci qualifie les déclarations du ministre de l’Intérieur «d’infondées», affirmant que l’ancien chef de la police «n’avait aucun problème avec son assassin ni d’ailleurs avec quiconque». Le ministre Zerhouni a tenu à apporter des précisions sur cette question. Dans une conférence, il soutient n’avoir jamais déclaré que le crime était dû à un problème personnel. Le ministre avait affirmé qu’il existe des enregistrements de ses propres affirmations confirmant n’avoir jamais fait de telles déclarations.


    L'Expression

  • #2
    je vois qu'ils font tout pour le sortir de prison,

    Comment un fou se retrouve directeur a la DGSN à gérer des hélicoptères chez "son ami de longue date" et peut magouiller sur des contrats de matériel informatique

    Commentaire


    • #3
      On va concocté le même scénario que celui qui a assassiné Boudiaf. Le procès est classé "sans suite" depuis voilà 18 ans. Qu'est-il devenu Boumaarafi?
      Le meurtre de Ali Tounsi restera-il aussi impuni. L'histoire nous le dira.

      Commentaire


      • #4
        On va concocté le même scénario que celui qui a assassiné Boudiaf. Le procès est classé "sans suite" depuis voilà 18 ans. Qu'est-il devenu Boumaarafi?
        Le meurtre de Ali Tounsi restera-il aussi impuni. L'histoire nous le dira.
        Exactement, c'est pas pour rien qu'ils ont pris le meme psychiatre qui avait ete mandate apres l'assassinat de Boudiaf...

        Commentaire


        • #5
          Le psychiatre mandaté pour l'assassinat de Boudiaf a été malheureusement assassiné (allahyarahmou) il s'agit du professeur Mahfoud Boucebci

          Commentaire


          • #6
            Reconstitution de l’assassinat d’Ali Tounsi
            Des parties influentes entravent le cours de l’enquête

            Le parquet d’Alger a ordonné l’annulation de la reconstitution de l’assassinat du directeur général de la Sûreté nationale (DGSN), le défunt Ali Tounsi. Cette décision rend nulle la notification portant reconstitution de l’assassinat d’Ali Tounsi, prévue pour le 2 mai prochain et adressée aux parties concernées par le juge instructeur chargé de l’affaire. La décision du parquet d’Alger a suscité l’ire de la famille d’Ali Tounsi qui a demandé officiellement l’audition de nouveaux témoins qui pourraient changer le cours de l’enquête.
            Selon une source proche du dossier de l’assassinat d’Ali Tounsi, le juge instructeur près le tribunal de Bab El Oued, Abdelhamid Bourezk, chargé de cette affaire, a adressé une correspondance aux personnes concernées, la semaine dernière, les informant de la reconstitution de l’assassinat, prévue pour le 2 mai prochain, au bureau d’Ali Tounsi, au niveau de la DGSN à Bab El Oued. Le lendemain, les parties concernées ont été destinataires d’une autre correspondance les avisant que la simulation a été reportée à une date ultérieure, sans donner des raisons de cette décision. Les deux filles d’Ali Tounsi ont été entendues, auparavant, par le juge d’instruction, ajoutent les mêmes sources.
            La décision du parquet suscite moult interrogations et laissent entendre que des parties influentes au sein du pouvoir tentent de mettre les bâtons dans les roues pour les enquêteurs, sachant que cette procédure concerne les crimes d’Etat, comme le stipule l’article 96 du code des procédures pénales qui précise que « le juge est habilité à entendre les témoins et les confronter à d’autres témoins ou bien par le prévenu lui-même ». Pour rappel, la reconstitution de l’affaire a pour objectif de donner plus de détails sur le crime. Dans le cas de l’assassinat d’Ali Tounsi, l’assassin présumé, le colonel Oultache Chouaib, tous les témoins entendus, dont les membres des deux familles des deux colonels et les cadres de la DGSN, qui étaient présents le 25 février, sur le lieu du crime, seront convoqués.

            El Khabar

            Commentaire


            • #7
              port d’arme sans permis».
              un haut responssable qui n'a pas le droit de porter une arme

              ah ci on avait de bon avocat uniquement pour cette phrase l'accusation tombe automatiquement a l'eau pour ce premier procé

              Commentaire


              • #8
                Exactement, c'est pas pour rien qu'ils ont pris le meme psychiatre qui avait ete mandate apres l'assassinat de Boudiaf...
                Parler pour le plaisir de parler! Tu as besoin d'un psychiatre, tu sais!

                Commentaire


                • #9
                  Parler pour le plaisir de parler! Tu as besoin d'un psychiatre, tu sais!
                  oui j'ai besoin d'un psychiatre qui s'appel the Dice Man
                  et comme ça le procé sera formidable
                  Dernière modification par le sage, 29 avril 2010, 09h41.

                  Commentaire


                  • #10
                    Assassinat de Ali Tounsi : Les avocats de Oultache « inquiets » pour sa sécurité
                    Les avocats du colonel Oultache Chaïb, l’assassin présumé de Ali Tounsi, l’ancien directeur général de la Sûreté nationale, ont exprimé hier, dans un communiqué, leurs « vives inquiétudes sur la sécurité de leur client ».


                    Maîtres Youcef Dilem et Belarif Mohand Tayeb justifient leur inquiétude par l’annulation de la reconstitution de l’assassinat de Ali Tounsi (survenu le 25 février dernier) qui devait avoir lieu sur les lieux du crime, au siège de la DGSN à Alger, dimanche 2 mai. « La mesure d’instruction (la reconstitution, ndlr) a été notifiée aux avocats du prévenu lundi 19 avril 2010 ». C’est par le biais de la presse (le journal El Khabar du 29 avril 2010) que les avocats du prévenu Oultache Chaïb ont appris « l’annulation de la reconstitution du crime sans préciser de nouvelle date », lit-on dans le communiqué faxé à notre rédaction. « Cette information inhabituelle et surprenante suscite chez les avocats de M. Oultache de vives inquiétudes sur la sécurité de leur client compte tenu de l’importance déterminante de cette reconstitution pour la manifestation de la vérité sur les circonstances réelles du décès de la victime », poursuivent maîtres Dilem et Belarif.
                    « Annuler la reconstitution pourrait exprimer une volonté d’étouffer la vérité », a indiqué hier un spécialiste judiciaire à El Watan Week-end, ajoutant : « Les craintes des avocats sont compréhensives, puisque, en l’absence de reconstitution, la seule preuve existante reste leur client. » Pour leur part, les deux avocats du colonel Oultache ont conclu leur communiqué en maintenant leur présence, dimanche, à la DGSN : « En tout état de cause, à défaut de notification régulière et officielle de la décision ‘d’annulation’ de la reconstitution par le juge d’instruction en charge du dossier, les avocats du colonel Oultache se présenteront dimanche 2 mai 2010 sur les lieux prévus pour le déroulement de la reconstitution. »


                    El Watan

                    Commentaire

                    Chargement...
                    X