Takfarinas - Irwihene
IRWIHENE
A tamurt-iw àzizen
G i d-ellint wallen
Yeggumma ad yekkaw yezri-w
Wa yers-ed wagu d aberrkan
Tetrâh elmut deg berdan
Mmezlent tlawin d igwerdan
Mmezlent telmêzyin d ilmêzyen
Sughen ula w(i) i ten-ihûdden
Ayen, ayen
Ayen, Ayen, Ayen...
A wid yetnaghen s irwihên
Q'avons-nous ma Terre,
qu'avons-nous construit sur le sable ?
Je ne vois qu'un désert asséché
comme les pleurs de ces femmes
Rien dans leurs mains, rien d'autre
que le fer de la lame
Non rien demain, rien ici ne poussera
de nos larmes
Ma terre
N'entends-tu pas les cris d'enfant,
les prières
Ayen, ayen
Ayen, Ayen
Et pourquoi... ?
À ceux qui se battent avec nos âmes
[TRADUCTION]
Les âmes
Oh ! pays bien-aimé !
Là où j'ai vu le jour.
Mes larmes ne sèchent plus...
Un brouillard ténébreux s'est abattu
Les rues exhalent la mort
Des femmes et des enfants égorgés
Des jeunes filles et des jeunes gens égorgés
Ils s'appellent, nul ne vient à leur secours !
Pourquoi, pourquoi... ?
Pourquoi, pourquoi, pourquoi...
À ceux qui se battent avec nos âmes
Q'avons-nous ma Terre, oh
qu'avons-nous construit sur le sable ?
Je ne vois qu'un désert asséché
comme les pleurs de ces femmes
Rien dans leurs mains, rien d'autre
que le fer de la lame
Non rien demain, rien ici ne poussera
de nos larmes
Ma terre
N'entends-tu pas les cris d'enfant,
les prières
Ayen, ayen
Ayen, Ayen
Et pourquoi... ?
À ceux qui se battent avec nos âmes
IRWIHENE
A tamurt-iw àzizen
G i d-ellint wallen
Yeggumma ad yekkaw yezri-w
Wa yers-ed wagu d aberrkan
Tetrâh elmut deg berdan
Mmezlent tlawin d igwerdan
Mmezlent telmêzyin d ilmêzyen
Sughen ula w(i) i ten-ihûdden
Ayen, ayen
Ayen, Ayen, Ayen...
A wid yetnaghen s irwihên
Q'avons-nous ma Terre,
qu'avons-nous construit sur le sable ?
Je ne vois qu'un désert asséché
comme les pleurs de ces femmes
Rien dans leurs mains, rien d'autre
que le fer de la lame
Non rien demain, rien ici ne poussera
de nos larmes
Ma terre
N'entends-tu pas les cris d'enfant,
les prières
Ayen, ayen
Ayen, Ayen
Et pourquoi... ?
À ceux qui se battent avec nos âmes
[TRADUCTION]
Les âmes
Oh ! pays bien-aimé !
Là où j'ai vu le jour.
Mes larmes ne sèchent plus...
Un brouillard ténébreux s'est abattu
Les rues exhalent la mort
Des femmes et des enfants égorgés
Des jeunes filles et des jeunes gens égorgés
Ils s'appellent, nul ne vient à leur secours !
Pourquoi, pourquoi... ?
Pourquoi, pourquoi, pourquoi...
À ceux qui se battent avec nos âmes
Q'avons-nous ma Terre, oh
qu'avons-nous construit sur le sable ?
Je ne vois qu'un désert asséché
comme les pleurs de ces femmes
Rien dans leurs mains, rien d'autre
que le fer de la lame
Non rien demain, rien ici ne poussera
de nos larmes
Ma terre
N'entends-tu pas les cris d'enfant,
les prières
Ayen, ayen
Ayen, Ayen
Et pourquoi... ?
À ceux qui se battent avec nos âmes