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Abu Dhabi UAE
John Thorne, Foreign Correspondent
LAAYOUNE PORT / / Il ya vingt ans le fils d'un agriculteur du sud du Maroc a appelé Mbarek Taoufik, ne voyant pas d'autre avenir pour lui-même, dirigé vers le Sahara occidental pour une carrière dans la pêche.
"Nous n'avons pas beaucoup d'argent et mon père a des problèmes mentaux", a déclaré M. Taoufik, 35 ans, qui est maintenant un cuisinier à bord d'un bateau de pêche basé dans un port sur l'Atlantique au Sahara occidental, un territoire en grande partie désertique annexé par le Maroc après colonisateurs espagnoles ont retiré en 1975. «Que pouvais-je faire?"
Le Maroc a investi de l'argent dans le Sahara occidental, en cherchant à attirer les Marocains comme M. Taoufik et gagner le soutien des Sahraouis d'origine. Mais le territoire reste une ponction sur caisses de l'Etat, alors que certains Sahraouis se plaignent de violations des droits de l'homme et la discrimination dans le marché du travail.
Hier, le Conseil de sécurité des Nations Unies a adopté une résolution, qui devrait être approuvé aujourd'hui, de renouveler le mandat d'une mission de maintien de la paix au Sahara occidental. La mission a été installé après l'ONU a négocié un cessez-le feu en 1991 entre le Maroc et le Front Polisario, un mouvement indépendantiste soutenu par l'Algérie qui a initialement contesté la domination espagnole.
À Laayoune Port, où le bateau de M. Taoufik, Al Khaoua - "La Fraternité" - se fonde, aujourd'hui marque la fin d'une semaine chargée peigner les eaux pour les sardines, le maquereau et le poulpe. Al Khaoua nez à quai un vendredi ce mois-ci au milieu d'une bousculade de coques battues et le soufflet de poissons marins de passage en cuves en plastique, comme un bucket brigade. Dans sa cuisine, M. Taoufik a été ragoût de légumes et de laisser tomber les petites pieuvres dans une casserole avec de l'huile de pulvérisation.
«La pêche est un pilier de l'économie et la société, dit el Mairass Laghdaf, le directeur adjoint du port de pêche Laayoune Port. "Nous pourrions changer et moderniser la flotte, mais les gens ont besoin d'emplois."
Environ 8.000 personnes sont employées dans le port, le plus souvent à bord des bateaux, a déclaré M. el Mairass. L'année dernière US $ 99 millions (Dh364m) de dollars de poisson passé par l'installation, qui est prévue pour l'expansion pour but de développer l'industrie de la pêche plus loin et créer plus d'emplois.
Pourtant, la voix sur le quai, sous le bureau de M. el Mairass sont marocains, et non sahraoui - un déséquilibre qui, selon certains se reflète d'ailleurs dans le marché du travail.
Sahraouis sont les descendants de nomades yéménites qui ont emménagé dans le Sahara occidental au 14ème siècle. Après le Maroc a envahi le territoire, près de la moitié ont fui vers l'Algérie et vivent maintenant dans des camps de réfugiés administrés par le Polisario.
Une guerre de 16 ans, qui a commencé en 1975, s'est terminée par un cessez-le feu pour permettre à un référendum sur l'indépendance, qui a sombré sur les désaccords sur qui doit voter.
pourparlers de paix dirigée par l'ONU ont commencé l'an dernier à ce jour pas réussi à briser l'impasse actuelle: le Polisario veut toujours un référendum avec l'indépendance comme option, les règles Maroc que sur l'autonomie propose à la place.
Environ 100.000 Sahraouis restent au Sahara occidental, étaient plus nombreux que deux à un par les Marocains bénéficiant d'allégements fiscaux sur le territoire, des biens subventionnés et le potentiel d'emplois. Le roi Mohamed VI veut faire de la région une vitrine de la décentralisation et de l'investissement de l'Etat.
Il ne sait pas exactement comment cela va se concrétiser, a déclaré Sidi Saleh Daha, le directeur de la succursale de l'agence de développement de l'État couvrant le Sahara occidental et les zones adjacentes. Mais le lancement prévu en Juin d'un fonds de 12,6 millions de dollars sous contrôle local $ qui soutient les coopératives et les entrepreneurs est «juste un avant-goût des choses à venir", at-il dit.
Le Maroc a du mal à attirer les investissements du secteur privé et de faire baisser le Sahara occidental de 25 pour cent le taux de chômage, M. Daha dit. «Chaque fois que les investisseurs étrangers examiner la situation politique, ils ont tendance à reculer."
Le Polisario, de son côté, affirme que le droit international interdit le Maroc de l'exploitation des ressources naturelles du Sahara occidental, ce qui incite certaines entreprises étrangères pour éviter de faire des affaires dans le territoire.
Cela laisse à l'Etat marocain comme le plus grand employeur du Sahara occidental, a déclaré Fouad Abdelmoumni, un consultant en développement à Rabat, la capitale marocaine. Dans un rapport l'an dernier à partir des données cumulées des quatre dernières décennies, il a estimé que le Maroc perd actuellement environ trois pour cent de son PIB en grande partie sur le financement des emplois du secteur public dans le territoire et de maintien de plus de 100.000 soldats. Trois autres pour cent du PIB est perdu sur les possibilités d'investissement manqué d'ailleurs, at-il dit.
Alors que le conflit s'éternise, les autorités injectent de grosses dépenses au Sahara occidental pour aider à gagner la confiance des Sahraouis, a déclaré M. Daha. "Mais il n'a pas eu un impact immédiat, il faut du temps pour les gens à réaliser les avantages d'une nouvelle route, un pont ou autre élément de l'infrastructure."
Ce que beaucoup de Sahraouis veulent plus d'urgence sont des emplois, a déclaré Naama Maelainin Mraihba, 36 ans, l'un des centaines de diplômés universitaires sahraouis et des écoles techniques qui démontrent régulièrement à Laayoune, principale ville du Sahara occidental, à la demande d'emplois de l'Etat. Comme beaucoup d'autres, il est au chômage malgré un diplôme parce que, dit-il, les employeurs du secteur public tendent à favoriser les Marocains.
"Le gouvernement affirme sa politique de développement social», a déclaré Mohamed Moussa, un piquet de grève avec les Sahraouis de Laayoune collègues en dehors compagnie d'électricité de l'État, où ils travaillent, pour protester contre ce qu'ils disent sont des salaires inférieurs aux normes. "Mais si vous regardez autour, vous voyez que vous avez un salaire médiocre par rapport aux gens du nord."
Les autorités de Laayoune n'étaient pas disponibles pour un commentaire, mais M. El Mairass à Laayoune Port-Saïd Sahraouis ont été de plus en plus impliqués dans le secteur de la pêche clé.
Par ailleurs, des groupes de défense des droits de dire que la police au Sahara occidental ont arrêté et battu des militants pro-indépendance, et violemment rompu leurs manifestations de rue - des frais que le gouvernement nie.
"Même si nous appuyons Maroc politiquement, il ne fait pas de différence - la plupart des emplois vont aux Marocains", a déclaré M. Mraihba, le diplômé sahraoui. «Un jour, ces mêmes diplômés sahraouis haïra Maroc car il ne fait rien pour eux."
John Thorne, Foreign Correspondent
LAAYOUNE PORT / / Il ya vingt ans le fils d'un agriculteur du sud du Maroc a appelé Mbarek Taoufik, ne voyant pas d'autre avenir pour lui-même, dirigé vers le Sahara occidental pour une carrière dans la pêche.
"Nous n'avons pas beaucoup d'argent et mon père a des problèmes mentaux", a déclaré M. Taoufik, 35 ans, qui est maintenant un cuisinier à bord d'un bateau de pêche basé dans un port sur l'Atlantique au Sahara occidental, un territoire en grande partie désertique annexé par le Maroc après colonisateurs espagnoles ont retiré en 1975. «Que pouvais-je faire?"
Le Maroc a investi de l'argent dans le Sahara occidental, en cherchant à attirer les Marocains comme M. Taoufik et gagner le soutien des Sahraouis d'origine. Mais le territoire reste une ponction sur caisses de l'Etat, alors que certains Sahraouis se plaignent de violations des droits de l'homme et la discrimination dans le marché du travail.
Hier, le Conseil de sécurité des Nations Unies a adopté une résolution, qui devrait être approuvé aujourd'hui, de renouveler le mandat d'une mission de maintien de la paix au Sahara occidental. La mission a été installé après l'ONU a négocié un cessez-le feu en 1991 entre le Maroc et le Front Polisario, un mouvement indépendantiste soutenu par l'Algérie qui a initialement contesté la domination espagnole.
À Laayoune Port, où le bateau de M. Taoufik, Al Khaoua - "La Fraternité" - se fonde, aujourd'hui marque la fin d'une semaine chargée peigner les eaux pour les sardines, le maquereau et le poulpe. Al Khaoua nez à quai un vendredi ce mois-ci au milieu d'une bousculade de coques battues et le soufflet de poissons marins de passage en cuves en plastique, comme un bucket brigade. Dans sa cuisine, M. Taoufik a été ragoût de légumes et de laisser tomber les petites pieuvres dans une casserole avec de l'huile de pulvérisation.
«La pêche est un pilier de l'économie et la société, dit el Mairass Laghdaf, le directeur adjoint du port de pêche Laayoune Port. "Nous pourrions changer et moderniser la flotte, mais les gens ont besoin d'emplois."
Environ 8.000 personnes sont employées dans le port, le plus souvent à bord des bateaux, a déclaré M. el Mairass. L'année dernière US $ 99 millions (Dh364m) de dollars de poisson passé par l'installation, qui est prévue pour l'expansion pour but de développer l'industrie de la pêche plus loin et créer plus d'emplois.
Pourtant, la voix sur le quai, sous le bureau de M. el Mairass sont marocains, et non sahraoui - un déséquilibre qui, selon certains se reflète d'ailleurs dans le marché du travail.
Sahraouis sont les descendants de nomades yéménites qui ont emménagé dans le Sahara occidental au 14ème siècle. Après le Maroc a envahi le territoire, près de la moitié ont fui vers l'Algérie et vivent maintenant dans des camps de réfugiés administrés par le Polisario.
Une guerre de 16 ans, qui a commencé en 1975, s'est terminée par un cessez-le feu pour permettre à un référendum sur l'indépendance, qui a sombré sur les désaccords sur qui doit voter.
pourparlers de paix dirigée par l'ONU ont commencé l'an dernier à ce jour pas réussi à briser l'impasse actuelle: le Polisario veut toujours un référendum avec l'indépendance comme option, les règles Maroc que sur l'autonomie propose à la place.
Environ 100.000 Sahraouis restent au Sahara occidental, étaient plus nombreux que deux à un par les Marocains bénéficiant d'allégements fiscaux sur le territoire, des biens subventionnés et le potentiel d'emplois. Le roi Mohamed VI veut faire de la région une vitrine de la décentralisation et de l'investissement de l'Etat.
Il ne sait pas exactement comment cela va se concrétiser, a déclaré Sidi Saleh Daha, le directeur de la succursale de l'agence de développement de l'État couvrant le Sahara occidental et les zones adjacentes. Mais le lancement prévu en Juin d'un fonds de 12,6 millions de dollars sous contrôle local $ qui soutient les coopératives et les entrepreneurs est «juste un avant-goût des choses à venir", at-il dit.
Le Maroc a du mal à attirer les investissements du secteur privé et de faire baisser le Sahara occidental de 25 pour cent le taux de chômage, M. Daha dit. «Chaque fois que les investisseurs étrangers examiner la situation politique, ils ont tendance à reculer."
Le Polisario, de son côté, affirme que le droit international interdit le Maroc de l'exploitation des ressources naturelles du Sahara occidental, ce qui incite certaines entreprises étrangères pour éviter de faire des affaires dans le territoire.
Cela laisse à l'Etat marocain comme le plus grand employeur du Sahara occidental, a déclaré Fouad Abdelmoumni, un consultant en développement à Rabat, la capitale marocaine. Dans un rapport l'an dernier à partir des données cumulées des quatre dernières décennies, il a estimé que le Maroc perd actuellement environ trois pour cent de son PIB en grande partie sur le financement des emplois du secteur public dans le territoire et de maintien de plus de 100.000 soldats. Trois autres pour cent du PIB est perdu sur les possibilités d'investissement manqué d'ailleurs, at-il dit.
Alors que le conflit s'éternise, les autorités injectent de grosses dépenses au Sahara occidental pour aider à gagner la confiance des Sahraouis, a déclaré M. Daha. "Mais il n'a pas eu un impact immédiat, il faut du temps pour les gens à réaliser les avantages d'une nouvelle route, un pont ou autre élément de l'infrastructure."
Ce que beaucoup de Sahraouis veulent plus d'urgence sont des emplois, a déclaré Naama Maelainin Mraihba, 36 ans, l'un des centaines de diplômés universitaires sahraouis et des écoles techniques qui démontrent régulièrement à Laayoune, principale ville du Sahara occidental, à la demande d'emplois de l'Etat. Comme beaucoup d'autres, il est au chômage malgré un diplôme parce que, dit-il, les employeurs du secteur public tendent à favoriser les Marocains.
"Le gouvernement affirme sa politique de développement social», a déclaré Mohamed Moussa, un piquet de grève avec les Sahraouis de Laayoune collègues en dehors compagnie d'électricité de l'État, où ils travaillent, pour protester contre ce qu'ils disent sont des salaires inférieurs aux normes. "Mais si vous regardez autour, vous voyez que vous avez un salaire médiocre par rapport aux gens du nord."
Les autorités de Laayoune n'étaient pas disponibles pour un commentaire, mais M. El Mairass à Laayoune Port-Saïd Sahraouis ont été de plus en plus impliqués dans le secteur de la pêche clé.
Par ailleurs, des groupes de défense des droits de dire que la police au Sahara occidental ont arrêté et battu des militants pro-indépendance, et violemment rompu leurs manifestations de rue - des frais que le gouvernement nie.
"Même si nous appuyons Maroc politiquement, il ne fait pas de différence - la plupart des emplois vont aux Marocains", a déclaré M. Mraihba, le diplômé sahraoui. «Un jour, ces mêmes diplômés sahraouis haïra Maroc car il ne fait rien pour eux."
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