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Une délégation d'élus français en visite aux camps de réfugiés sahraouis

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  • Une délégation d'élus français en visite aux camps de réfugiés sahraouis

    TINDOUF (CAMPS DE REFUGIES SAHRAOUIS) - Une délégation composée de 107 élus français (municipaux et régionaux) est arrivée, jeudi à Tindouf, dans le cadre d'une visite des camps des réfugiés sahraouis. Ces élus venus de plusieurs régions françaises, dont entre autres, la région de Rhône Alpes, Ile de France (Paris), le Centre (Vierzon), la Lorraine (Lyon), la Paca (Marseille) et la Moselle, participeront, vendredi à la wilaya de Dakhla, à une conférence consacrée à " l'expérience démocratique dans la gestion des campements de réfugiés sahraouis".APS

  • #2
    trop rigolo

    je suis curieux de savoir quel est la sensibilité politique de chaque élu

    Commentaire


    • #3
      107 élus français

      trop rigolo

      je suis curieux de savoir quel est la sensibilité politique de chaque élu
      faire pression sur l état français et sensibiliser l opinion française
      A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

      Commentaire


      • #4
        trop rigolo
        T'es choqué je dirais, car apparement tu t'y attendais á une délégation de Cuba mais pas de France ou de Londre! Ca vient de votre sous-estimation de la démocratie dans ces pays!

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        • #5
          Tu sais Houari , ces élus français qui sont conseillers minicipaux sont à majorité d'origine algerienne plus certains illuminés maoistes ou trotskistes en recherche de cause perdue.

          C'est comme si je fais venir de Belgique et sur le compte de l'Etat marocain une centaines d'élus et d'echevins bruxellois et je dirai belge alors qu'ils sont en majorité d'origine marocaine.

          et le film continue

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          • #6
            Le Congrès des députés espagnol appelle le Maroc à libérer les détenus politiques sahraouis

            Le Congrès des députés espagnol (Chambre basse du Parlement) a demandé au Maroc de libérer les prisonniers politiques sahraouis et à "respecter les droits de l'homme" dans les territoires occupés du Sahara occidental.

            Dans une résolution adoptée à l'unanimité des groupes parlementaires au sein de la Commission des Affaires étrangères, les députés espagnols ont lancé un appel pressant au Maroc afin de libérer les six militants sahraouis des droits de l'homme, incarcérés dans la prison marocaine de Salé depuis octobre dernier, après leur retour des camps de réfugiés.

            Le Congrès des députés espagnol a demandé ainsi au gouvernement marocain de "respecter pleinement" leurs droits humains, ainsi que la "dignité et la sécurité de leurs proches".

            Il a demandé, en outre, au gouvernement espagnol de "continuer à s'intéresser" auprès des autorités marocaines à leur situation et "d'intensifier les actions diplomatiques opportunes à cet effet".

            De même qu'il a interpellé l'exécutif espagnol sur la nécessité de "renforcer son engagement" en faveur des droits de l'homme dans les territoires sahraouis occupés durant la Présidence espagnole de l'UE qui prendra fin le 30 juin prochain, "convaincu que le respect des droits de l'homme et le dialogue entre les parties (le Front Polisario et le Maroc) contribuent à la recherche d'une solution politique juste, durable et mutuellement acceptable devant conduire à l'autodétermination du Sahara occidental".

            Dans ce sens, la Chambre basse du Parlement espagnol a appelé les deux parties à "persévérer" dans le processus de dialogue relancé en août 2009 en Autriche et poursuivi en février 2010 à Armonk (New York). (SPS)

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            • #7
              Andromed , j'ai trouvé un autre article beigné dans la méme sauce :

              Une forte délégation visite le camp de réfugiés sahraouis d’El Ayoun

              Les élus locaux français critiquent la position officielle de leur pays


              Les élus locaux français se démarquent de la position officielle de leur pays par rapport à la question du Sahara occidental. Ils la jugent (la position) « très frileuse et partiale ». « La position française n’est pas courageuse et le gouvernement français ne s’engage pas suffisamment pour participer à la résolution de ce conflit.



              El Ayoun : De notre envoyé spécial
              Nous ne sommes pas d’accord avec la position officielle et nous sommes ici pour faire bouger les choses », affirme Adjar Oueslati, élue à la municipalité de Vitry-sur-Seine (France). Cette jeune fille de 22 ans fait partie d’une forte délégation (150 membres) des élus locaux français issus de l’immigration qui s’est rendue, hier, dans le camp des réfugiés sahraouis d’El Ayoun (près de Tindouf). Venue ici pour la première fois, comme la majorité de ses collègues élus, cette Franco-Maghrébine (d’un père tunisien et d’une mère algérienne) se dit d’abord émerveillée par le courage, la résistance et l’hospitalité de ce peuple. « Je suis vraiment impressionnée par ce peuple et notamment par son émancipation. Même s’ils vivent dans des conditions précaires et provisoires, les gens sont heureux et très généreux », témoigne-t-elle. La présence des élus français dans les camps de réfugiés sahraouis a pour objectif, dit-elle, de montrer leur solidarité avec les Sahraouis et connaître davantage leur cause. « Il n’y a pas une meilleure manière de prendre conscience de ce problème que de voir la situation des réfugiés de ses propres yeux. Après constatation, je pense que la communauté internationale doit se réveiller pour redonner à ce peuple son droit légitime », soutient-elle. Nadia Hamoudi, 33 ans, adjointe au maire à la municipalité de Tours (nord-ouest de Paris), abonde, elle aussi, dans le même sens. Cette jeune d’origine algérienne pense que la position française est très frileuse et que les Français n’ont pas suffisamment d’informations sur la question sahraouie. « J’avais besoin de venir ici pour voir de mes propres yeux la situation dans laquelle vivent les réfugiés sahraouis. Car nous manquons d’informations sur le sujet et la presse française ne s’intéresse pas beaucoup à cette question », ajoute-elle.
              Timor oriental-Polisario : même histoire
              Maintenant qu’elle a pris conscience des souffrances de ce peuple, Nadia Hamoudi affirme que « son rôle à présent est de sensibiliser l’opinion publique française et la classe politique locale ». « Nous allons relayer l’information et faire connaître la question sahraouie en France », assure-t-elle. Le plus étonnant chez quelques-uns de ces élus est qu’ils ignorent presque tout de ce conflit. C’est le cas de Omouri Saïd, élu à la commune de Vitry-sur-Seine. « Nous n’avons pas suffisamment d’informations sur cette cause. J’espère qu’à notre départ d’ici, nous aurons compris très bien cette question », lance-t-il. En tout cas, la présence de cette délégation ici à El Ayoun témoigne de la solidarité des politiques français de base avec la cause du Sahara occidental. Ce qui l’Elysée n’a pas exprimé depuis longtemps. Non seulement, il ne l’a pas exprimé, mais il défend la partie marocaine.
              Alors que l’ONU tente d’appliquer les résolutions du Conseil de sécurité en organisant un référendum sur l’autodétermination, le gouvernement français s’illustre par son soutien au plan marocain sur « l’autonomie du Sahara occidental ». En plus d’avoir visité l’école primaire et le centre sanitaire d’El Ayoun, la délégation française a assisté au défilé organisé à la place publique du camp. Un défilé auquel a assisté, en plus du président de la RASD, Mohamed Abdelaziz, le vice-Premier ministre du Timor oriental, José Luis Guterres. Cette ancienne colonie portugaise a une histoire similaire avec le Sahara occidental. Libéré en 1975 des mains des Portugais, le Timor oriental a été envahi par son voisin l’Indonésie. Il a fallu à ce pays plusieurs années de lutte pour obtenir son indépendance, en 2002, suite à un référendum. C’est cette expérience qu’a tenu à expliquer José Luis Guterres dans une allocution prononcée devant des centaines de Sahraouis.




              Par Madjid Makedhi



              Je ne sais pas si le Français lambada se reconnais dans le combat d'arriere garde de ces élus venus prendre un air frais tindoufien au frais de la princesse.

              Je savais que notre makhzen est trés fort pour ameuter les courtisans de toute part lorsqu'il s'agit du sahara , mais la république democratique et populaire , pays des principes et des idéaux....

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              • #8
                trop rigolo

                je suis curieux de savoir quel est la sensibilité politique de chaque élu
                Maroc2010

                Il y a deçà,

                mais surtout l'origine de ces élus

                Commentaire


                • #9
                  De nombreux manifestants dénoncent à Madrid les violations des droits de l'homme au Sahara occidental

                  De nombreux manifestants ont dénoncé à Madrid les graves violations des droits de l'homme que commet le Maroc contre la population sahraouie au Sahara occidental occupé et appelé l'ONU à s'impliquer dans la défense de ces droits, en élargissant le mandat de la MINURSO à leur surveillance.

                  A l'appel de plusieurs associations de soutien à la cause sahraouie, les manifestants se sont regroupés mercredi soir devant le siège du HCR pour exiger également la libération de tous les prisonniers politiques sahraouis incarcérés dans les prisons marocaines.

                  Portant des drapeaux de la RASD et arborant les portraits des six militants sahraouis des droits de l'homme emprisonnés et en grève de la faim, ainsi que des pancartes sur lesquelles était écrit "Basta", les manifestants ont scandé des slogans en faveur de la liberté et de l'indépendance du peuple sahraoui.

                  Avant de se disperser, les organisateurs de cette manifestation ont remis au HCR une lettre destinée au Conseil de sécurité de l'ONU lui demandant d'exiger au Maroc la "libération immédiate de tous les prisonniers de conscience sahraouis", et d'élargir le mandat de la MINURSO à la surveillance des droits de l'homme et la prévention du pillage des ressources naturelles dans les territoires sahraouis occupés.

                  Les manifestants ont demandé aussi aux Nations unies d'exiger à l'Espagne, en tant que puissance administrant du territoire, "d'assumer ses responsabilités de veiller à la protection des droits de l'homme et la préservation des ressources naturelles d'un territoire en voie de décolonisation".

                  Enfin, ils ont demandé à l'ONU de mettre en œuvre "tous les mécanismes nécessaires pour obliger le Maroc à accepter la tenue du référendum d'autodétermination au Sahara occidental". (SPS)

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                  • #10
                    Soutien au peuple sahraoui
                    Les élus français appellent la France à peser de son poids au Conseil de sécurité
                    Le représentant du CNASPS a indiqué que même si les membres de cette délégation sont venus dans un cadre humanitaire, cela représente toutefois une prise de position politique d’une partie de la société civile française quant à l’implication officielle de la France dans le conflit pour prôner la justice et la légalité et pour peser de tout son poids au sein du Conseil de sécurité de l’ONU en faveur du recouvrement des droits du peuple sahraoui meurtri durant des années de lutte. La France aurait donc une dernière chance de se racheter et atténuer le poids écrasant de son passé colonial.
                    La délégation des élus et des militants des droits de l’homme et des associations humanitaires françaises qui se sont déplacées mardi aux camps de réfugiés sahraoui à Tindouf ont entamé leur travail en visitant durant toute la journée d’hier les camps du 27 février. Les membres de la délégation, après avoir écouté l’intervention de la directrice de l’école du 27 février, ont exprimé leur soutien au peuple sahraoui dans sa lutte pour le recouvrement de sa dignité et de son droit à l’autodétermination, tels que prescrits par les différentes résolutions des Nations unis. Le président du Comité national algérien de solidarité avec le peuple sahraoui, CNASPS, a indiqué, en marge de son intervention, que cette visite a surtout pour but principal d’avoir une petite idée sur ce qu’endure le peuple sahraoui et sur les souffrances que celui-ci endure depuis qu’il a été acculé à quitter sa terre, le Sahara occidental pour se réfugier sur le territoire algérien et ce, depuis plus de 34 ans. Il a indiqué que tout a commencé le 27 février dernier lorsque quelques éléments de cette délégation avaient visité les camps des réfugiés sahraouis en territoire algérien. Les membres de cette délégation ont donc décidé de briser le silence et de porter la voix de ces réfugiés en France et ailleurs en Europe. Pour ce qui est des aides humanitaires qui devaient être offertes aux habitants des camps, il y a lieu de signaler que celles-ci sont arrivées hier. Ces aides humanitaires sont composées de 10 conteneurs de matériel médical, de nourritures, de livres, de vêtements et matériel informatique collectés dans toute la France grâce à un large élan de solidarité populaire.
                    La France retrouvera-t-elle le chemin d’un passé antérieur qui est celui de la lutte et de la quête de liberté sur les traces de sa Révolution de 1789. Les élus français qui ont été dans les camps du 27 février ont indiqué que les efforts accomplis ne sont rien par rapport à ce qu’ils envisagent de faire à l’avenir en faveur de cette cause. S’agissant de la secrétaire générale du mouvement associatif des amis de la RASD en France et non moins membre active de la Task force Eucoco (coordination européenne de solidarité avec le peuple sahraoui) Mme Régine Vilemont a appelé à la poursuite du combat. «Continuons ensemble de signifier à la France que ses intérêts avec le Maroc sont insignifiants et qu’elle aurait beaucoup à gagner en soutenant une cause juste qui est celle du peuple sahraoui» a-t-elle déclaré. Interrogé, le membre de l’association française potentiel solidarité, en l’occurrence, Ben Chaâban Mohamed a indiqué qu’il fallait qu’il y ait une grande implication politique, notamment des élus du peuple français et des parlementaires de l’Hexagone et du Parlement européen. Il y a lieu de rappeler dans cet ordre d’idées que la majorité des élus qui avaient rendu visite hier à l’un des camps de réfugiés sahraouis sont des élus de la diversité – c’est-à-dire d’origine algérienne – Il y a lieu de rappeler que cette catégorie d’élus a été autorisée à siéger dans les Assemblées élues françaises il y a moins d’une dizaine d’années.
                    Salah Harirèche





                    on n'est jamais mieux servi que par soi meme.

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                    • #11
                      sincèrement trop forts les FAistes comme Andromed, pour se ridiculiser

                      continues comme ça mon ami

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                      • #12
                        Faut dire qu'ils agissent au nom du pays d'origine
                        La haine aveugle

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                        • #13
                          continues comme ça mon ami.Desole,mais je choisi mes amis,et nous n'avons pas garde les .......ensemble pour nous tutoyer

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                          • #14
                            Envoyé par mahjoub
                            Faut dire qu'ils agissent au nom du pays d'origine
                            Et c'est inquiétant ! Car si les Marocains font pareil, il y a de quoi désepérer de ceux auxquels on confie un mandat.

                            Fait divers : "2 beurettes d'origine marocaine et algérienne se cràpent le chignon à Tindouf ..."
                            Lamentable !

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