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Depuis le 6 avril, la galloise Rosie Swale-Pope, 63 ans, récolte des fonds pour des enfants maltraités en traversant en courant son Pays de Galles natal.
Rosie Swale-Pope interpelle plus d'un passant qui la croise sur le bord des routes. Et pour cause : à 63 ans, la Britannique passe son temps à courir.
Partie il y a quatre semaines de Tenby, dans son Pembrokeshire natal, la grand-mère relève le nouveau défi qu'elle s'est imposé, parcourir 26 marathons en 26 jours. Soit plus de 1000 km avec pour but de récolter de l'argent pour le Ty Hafan Hospice de Cardiff et le Helen&Douglas House Hospices d'Oxfordshire, des refuges pour enfants maltraités. «C'est une vraie tragédie que des enfants aient besoin de refuges. Un jour, dans un monde meilleur, cela n'arrivera plus», espère l'optimiste aventurière.
Le défi pourrait aisément en décourager plus d'un mais Rosie est loin d'être novice en matière de course à pied. Elle rentre tout juste d'un tour du monde, qu'elle a parcouru sans relâche pendant cinq ans pour lever des fonds destinés à la recherche sur le cancer de la prostate, dont est mort son époux. L'aventurière s'attaque cette fois-ci à une région plus proche de chez elle. Après avoir traversé marécages, déserts et autres banquises, le Pays de Galles semble bien moins impressionnant. «Pendant mon périple, j'ai rencontré des ours et des loups et suis presque morte de froid. Cardiff n'a vraiment rien à voir avec tout cela !», avoue-t-elle en souriant.
Le Figaro
Rosie Swale-Pope interpelle plus d'un passant qui la croise sur le bord des routes. Et pour cause : à 63 ans, la Britannique passe son temps à courir. Partie il y a quatre semaines de Tenby, dans son Pembrokeshire natal, la grand-mère relève le nouveau défi qu'elle s'est imposé, parcourir 26 marathons en 26 jours. Soit plus de 1000 km avec pour but de récolter de l'argent pour le Ty Hafan Hospice de Cardiff et le Helen&Douglas House Hospices d'Oxfordshire, des refuges pour enfants maltraités. «C'est une vraie tragédie que des enfants aient besoin de refuges. Un jour, dans un monde meilleur, cela n'arrivera plus», espère l'optimiste aventurière.
Le défi pourrait aisément en décourager plus d'un mais Rosie est loin d'être novice en matière de course à pied. Elle rentre tout juste d'un tour du monde, qu'elle a parcouru sans relâche pendant cinq ans pour lever des fonds destinés à la recherche sur le cancer de la prostate, dont est mort son époux. L'aventurière s'attaque cette fois-ci à une région plus proche de chez elle. Après avoir traversé marécages, déserts et autres banquises, le Pays de Galles semble bien moins impressionnant. «Pendant mon périple, j'ai rencontré des ours et des loups et suis presque morte de froid. Cardiff n'a vraiment rien à voir avec tout cela !», avoue-t-elle en souriant.
Le Figaro