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Ahlane wa sahlane !

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  • Ahlane wa sahlane !

    Bonjour,je suis nouvelle sur ce forum...j'espère faite de belles rencontres culturelles et de beaux échanges...
    "L'amour est ma religion et ma foi" Ibn Arabi

  • #2
    Bonjour et bienvenue a la chanteuse Hizya

    Bonnes discussions sur FA

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    • #3
      welcoooooome HYZIYA

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      • #4
        Merci beaucoup
        "L'amour est ma religion et ma foi" Ibn Arabi

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        • #5
          Bonsoir Hisiya, nous sommes trés heureux de te compter parmi nous...

          Fais comme chez toi bien sûr, te gêne surtout pas.
          Dernière modification par Argelina, 03 mai 2010, 19h25.

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          • #6
            bienvenu parmis nous Hiziya !!

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            • #7
              Merci beaucoup !!!!

              Je découvre...je découvre !
              "L'amour est ma religion et ma foi" Ibn Arabi

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              • #8
                wa Marhaban !

                Welcome parmi nous Hiziya bon surf sur FA!

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                • #9
                  Bonsoir et bienvenue Hiziya

                  Fi khatrek car ton pseudo est si joli
                  Ahlen wa sahlen

                  [embed]http://www.youtube.com/v/apICeUk9Dk8&hl=fr_FR&fs=1&[/embed]
                  Je suis père et fais de mon mieux au regard de cette citation :
                  L'exemple, c'est tout ce qu'un père peut faire pour ses enfants. Thomas Mann

                  Commentaire


                  • #10
                    Bienvenue Hiziya. Un joli pseudo connu par les poètes.
                    «Une journée bien employée donne un bon sommeil, une vie bien employée procure une mort tranquille...»

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                    • #11
                      Bienvenue à toi, Hyzia !
                      Notre ami Adhrahr t'a offert la chanson, moi je t'offre la traduction:


                      "CHANSON POETIQUE DE HYZIA"
                      Consolez-moi Ô mes amis : j'ai perdu la reine des belles ; elle repose sous les pierres du tombeau. Un feu ardent me dévore ; je suis à bout. Ô sort cruel, mon cœur est parti avec la svelte Hyzia !
                      Hélas ! Hier encore je me rappelle nous étions heureux naguère, comme au printemps les fleurs des prairies ; que la vie avait pour nous de douceurs ! Comme l'ombre d'un fantôme, cette jeune gazelle que j’ai apprivoisée a disparu, en dépit de moi !
                      Quand elle marchait sans détourner son regard, ma bienaimée ravissait la raison ; tel le bey du camp. Un large poignard est passé dans sa ceinture. Il est entouré de soldats et suivi de cavaliers des goums, dont chacun s'est empressé à sa rencontre porteur d'un présent.
                      Armé d'un sabre de l'Inde, d'un seul mouvement de sa main, il partage une barre de fer ou fendre un roc sans aucune pitié.
                      Que d'hommes il a tués chez les tribus rebelles ! orgueilleux et superbe, il s'avance comme pour défier.
                      C'est assez glorifier le bey ! Dis-nous, chanteur, dans une chanson nouvelle, les louanges de la fille d'Ahmed Ben el Bey.
                      Consolez-moi mes amis : j'ai perdu la reine des belles ; elle repose sous les pierres du tombeau ; un feu ardent me dévore ; je suis à bout. Ô sort cruel, mon cœur est parti avec la svelte Hyzia !
                      Lorsqu'elle laisse flotter sa chevelure, un suave parfum s'en dégage. Ses sourcils forment deux arcs bien dessinés, telle la lettre noun, tracée dans un message.
                      Son œil ravit les cœurs, telle une balle de fusil européen, qui aux mains des guerriers, atteint sûrement le but.
                      Sa joue est la rose épanouie du matin et le brillant œillet, et le sang qui l'arrose lui donne l'éclat du soleil.
                      Ses dents ont la blancheur de l'ivoire et dans sa bouche étincelante la salive a la douceur du lait de nos brebis ou du miel apprécié des gourmets.
                      Voyez ce cou plus blanc que le cœur du palmier, cet étui de cristal entouré de mille colliers d'or !
                      Sa poitrine est de marbre ; il s’y trouve deux jumeaux, que caressaient mes mains, sont semblables à ces pommes dont le parfum rend la santé au malade.
                      Son corps a la blancheur et le poli du papier ; on le dirait de coton ou de fine toile de lin ou encore de la neige qui tombe dans une nuit obscure.
                      Hyzia a la taille fine ; sa ceinture, penche de côté, et ses tortis entremêlés retombent sur son flanc repli par repli.
                      Contemple ses chevilles ; chacune est jalouse de la beauté de l’autre ; lorsqu'elles se querellent elles font entendre le cliquetis de leurs khelkhals, surmontant son brodequin !
                      Nous campions à Bazer. Je saluais chaque matin cette belle et nous goutions en paix les félicités d'ici-bas.
                      Je portais chaque matin mes souhaits à ma gazelle et j'obéissais à mon sort, heureux comme si j'eusse possédé tous les biens et tous les trésors de l’univers : la richesse ne vaut pas le tintement des khalkhas de Hyzia !
                      Quand je franchissais les collines, pour aller la rencontrer. Elle marchait au milieu des prairies, se balançant avec grâce et faisant résonner ses khelkhals. Ma raison s'égarait, mon cœur et mes sens se troublaient.
                      Après un été passé dans le Tell, nous redescendîmes, ma chère âme et moi, vers le Sud le Sahara.
                      Les litières sont fermées, la poudre retentit ; mon cheval gris me mène vers Hyzia. On met en route le palanquin de mon amie et l'on campe à Azal ; Sidi Lahsen non loin devant nous Ez-Zerga.
                      Ils se sont dirigés vers Sidi S’îid et là vers al-Metkaouak, puis sont arrivés le soir à M'Doukel.
                      Ils sont repartis de bon matin, au lever de la brise, vers Sidi M’hamed, ornement de cette paisible contrée.
                      De là, ils ont conduit les litières à al-Makhref. Mon cheval, tel un aigle, m'emporte dans les airs, en direction de Ben Seghaîr, en compagnie de celle que j'aime la belle aux bras tatoués.
                      Quand on a traversé l'Oued (Jdy), on franchit la henya et on dresse les tentes à Rous-at-Toual, près des sables. Ouled Djellal est l'étape de la marche suivante.
                      L'ayant quitté, on campa à El Besbas et enfin à Bel A’Hraimek même avec ma bienaimée Hyzia.
                      A combien de fêtes avons-nous pris part ! Mon cheval gris, disparaissait presque dans l'arène, (derrière un rideau de poussière); on aurait dit un fantôme.
                      Hyzia était grande comme la hampe d'un étendard ; ses dents, lorsqu'elle souriait, formaient une rangée de
                      Perles ; elle parlait par allusions, me faisant ainsi comprendre (ce qu'elle voulait dire).
                      La fille de Hmida brillait, telle l'étoile du matin ; elle éclipsait ses compagnes, semblable à un palmier qui seul, dans le jardin, se tient debout, grand et droit.
                      Le vent l'a déraciné, il l'a arraché en un clin d'oeil. Je ne m'attendais pas à voir tomber ce bel arbre ; je pensais qu'il était bien protégé.
                      Mais j'ignorais que Dieu, souverainement bon, allait la rappeler à Lui. Le Seigneur a abattu (sur la terre).
                      Je reprends mon récit. Campés sur l'Oued Tell, nous ne formions qu'un seul douar. C'est là, ami, que la reine des jouvencelles me dit adieu. C'est en cette nuit qu'elle paya sa dette (à la mort) ; c'est là que la belle aux noirs regards gouta le trépas et quitta le monde.
                      Elle se serrait contre ma poitrine et rendît l'âme sur mon sein. Mes yeux inondèrent mes joues de leurs larmes et je pensais devenir fou, et me mis à errer dans la campagne, parcourant tous les ravins des montagnes et des collines.
                      Elle a ravi mon esprit et enflammé mon cœur la belle aux yeux noirs, fille de grand seigneur.
                      On l'enveloppa d'un linceul de soie, ce spectacle a augmenté ma fièvre, et ébranlé mon cerveau.
                      On la déposa sur un nâach, la belle aux magnifiques pendants d'oreilles. Je demeurais stupide, ne comprenant pas ce qui m'arrivait.
                      On l'emporta dans des djehef, embelli par des ornements, la belle, cause de mes chagrins, qui était grande telle la hampe d'un étendard.
                      Sa litière était ornée de broderies bigarrées, scintillantes comme les étoiles, et colorées comme un arc-en-ciel, au milieu des nuages, quand vient le soir.
                      Elle était tendue de soie et tapissée de brocart. Et moi, comme un enfant, je pleurais la mort de la belle Hyzia.
                      Que de tourments j'ai endurés pour celle dont le profil était si pur ! Je ne pourrai plus vivre sans elle. Elle est morte du trépas des martyrs, la belle aux paupières teintées de khôl !
                      On l'emporta vers un pays nommé Sidi Khaled.
                      Elle se trouva le soir sous les dalles du sépulcre, celle dont les bras étaient ornés de tatouages ; cette beauté aux yeux de gazelle avait (pour jamais) disparu de ma vie.
                      Oh ! Fossoyeur, ménage l'antilope du désert, ne laisse point tomber de pierres sur la belle Hyzia ! je t'en adjure par le Saint Livre, par les lettres (qui forment le nom) du Dispensateur de tout bien, ne fais point tomber de terre sur la dame au miroir.
                      S'il fallait la disputer à des rivaux, je fondrais résolument sur trois groupes de guerriers. Je l'enlèverais par la force des armes à une tribu ennemie et, dussè-je le jurer par la tête de cette beauté aux yeux noirs, je ne compterais pas mes adversaires, fussent-ils cent !
                      Si elle devait rester au plus fort, je jure que nul ne pourrait me la ravir : j'attaquerais, au nom de Hyzia, des armées entières !
                      Si elle devait être le trophée du combat, vous entendriez le récit de mes exploits : je l'enlèverais de haute lutte, je m'y engagerais devant témoins. S'il fallait la mériter dans des rencontres tumultueuses, je combattrais des années pour elle, je la conquerrais au prix de persévérants efforts car je suis un cavalier intrépide.
                      Mais puisque telle est la volonté du Compatissant Maître des Mondes, je ne puis détourner de moi cette calamité. Patience ! Patience ! J'attends le moment de te rejoindre ; je pense à toi, ma bienaimée, à toi seule.
                      Nobles amis, mon cheval gris se tuait quand il s'élançait ! Après la mort de ma bienaimée, il s'en est allé, et m'a quitté, lui aussi est parti et m'a quitté. Mon coursier, parmi ces collines, l'emportait sur les autres chevaux et quand il se trouvait mêlé au tumulte de la guerre, on le voyait en tête du peloton.
                      Quels prodiges n'accomplissait-il pas sur le champ de bataille ! Il se montrait au premier rang de ses semblables car sa mère descendait de Rekby2.
                      Combien il excellait dans les joutes entre les douars à la suite de la tribu en marche ; je tournoyais avec lui, insouciant de ma destinée !
                      Un mois plus tard ce cheval m’a quitté, trente jours après Hyzia.
                      Cette noble bête mourut et resta dans un précipice. Il ne survécut pas à ma bienaimée ; tous deux sont partis me faisant d'éternels adieux, les rênes de mon cheval gris sont tombées de mes mains !
                      Ô douleur ! En me laissant derrière eux, Dieu a fait de ma vie une mort ; pour eux je me meurs.

                      à suivre...
                      Mieux vaut un cauchemar qui finit qu’un rêve inaccessible qui ne finit pas…

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                      • #12
                        Suite...

                        Ah ! Cruel malheur ! Je pleure de cette séparation comme peut pleurer un amant. Mon cœur brule chaque jour davantage et mon bonheur a fui. Ô mes yeux, pourquoi tant de larmes ! Cessez de vous plaindre. Sans doute les plaisirs du monde vous raviront, ne me ferez-vous point grâce ?
                        Mon âme voit grandir ses tourments : la belle aux cils noirs qui faisait la joie de mon cœur repose sous la terre. Je pleure, et ma tête blanchit, pour la beauté mabroumt en-nab. Mes yeux ne peuvent supporter la séparation de leur amie !
                        Le soleil qui nous éclaire monte au zénith puis gagne l’Occident ; il disparait après avoir atteint au milieu du jour le sommet de la voute céleste.
                        La lune, qui apparait et brille au ramadan, voit venir l'heure du coucher et dit adieu au monde.
                        J'emplois ces comparaisons pour la reine du siècle, la fille d'Ahmed, descendante de l'illustre tribu des Dhouaoudia3.
                        Telle est la volonté de Dieu, mon Maître Tout-Puissant. Le seigneur a manifesté sa volonté et a emporté Hyzia. Mon Dieu ! Donne-moi la patience ; mon cœur meurt de son mal, emporté par l'amour de la belle, qui a quitté la terre !
                        Elle vaut deux cents chevaux des meilleures bêtes de race. Ajoutez-y cent cavales toutes issues de Rekby.
                        Elle vaut un troupeau de mille chameaux ; elle vaut une forêt de palmiers dans les Ziban.
                        Elle vaut tout le pays du Djérid, tant ce qui est proche que ce qui s'étend au loin ; elle vaut le pays des noirs et des milliers de gens Haoussa.
                        Elle vaut les Arabes du Tell et ceux du Sahara et tous les campements des tribus, aussi loin que puissent atteindre les caravanes voyageant par tous les chemins.
                        Elle vaut ceux qui mènent la vie nomade et ceux qui habitent les deux continents ; elle vaut ceux qui, sédentaires, sont devenus citadins.
                        Elle vaut des trésors de richesses, la belle aux beaux yeux, et si tu trouves que c'est peu ajoutes-y les habitants des villes.
                        Elle vaut les troupeaux des tribus et l'or sculpté ; elle vaut les palmiers des oasis et le pays des Chaouia.
                        Elle vaut les richesses contenues dans les océans, dans les campagnes et dans les villes, au-delà du Djebel Amour et jusqu'à Ghardaïa.
                        Elle vaut, elle vaut le M’zab et les plaines du Zab, hormis les saints hommes et les gens des G’bab.
                        Elle vaut les chevaux (recouverts de riches) caparaçons et l'étoile qui brille quand arrive la nuit. C'est peu, c'est trop peu ! pour ma bienaimée, l'unique remède à mes maux.
                        Ô Dieu Majestueux, pardonne au pauvre malheureux ; pardonne, mon Seigneur et mon Maître, à celui qui gémit à tes pieds !
                        Vingt-trois ans ! C'était l'âge de celle qui se parait d'une écharpe de soie ; mon amour l'a suivie, il ne revivra jamais dans mon cœur.
                        Consolez-moi, ô mon Dieu, de la perte de la gazelle des gazelles qui habite le ténébreux séjour, l'éternelle demeure !
                        Consolez-moi, mes amis, d'avoir perdu celle qu'on eût dit un faucon sur son aire ! C'était la cavale de Dyab5: elle n'a jamais obéi à un autre cavalier que moi !
                        Elle n'a laissé d'elle que son nom donné au campement où elle s'éteignit.
                        Consolez-moi, ô hommes ! J'ai perdu la belle aux khelkhals d'argent pur ; on l'a recouverte d'un voile de pierre reposant sur des fondations bien bâties.
                        J'avais, de ma main, tatoué de dessins quadrillés la poitrine de cette beauté vêtue d'une fine tunique et aussi les poignets de ma chère âme. Bleus comme le col du ramier, leurs traits ne se heurtaient pas ; parfaitement formés, quoique sans qalam6, ils étaient l'œuvre de mes mains.
                        Je les avais tracés entre ses seins, leur donnant d'heureuses proportions et au-dessus des bracelets qui paraient ses poignets j'avais écrit mon nom.
                        Et même sur sa jambe j'avais figuré une palme ; que ma main l'avait bien faite ! Ah, ce sont là les jeux du sort, la vie est ainsi faite !
                        Saïd, toujours épris de toi, ne te reverra plus ; le seul souvenir de ton nom lui ravit le entiment !
                        Pardonne-moi, Dieu compatissant ; pardonne aussi à tous (les assistants). Saïd est triste ; il pleure celle qui lui était chère comme son âme. Pardonne, Seigneur, à cet amant, pardonne à Hyzia ; réunis-les dans le sommeil, Toi qui es le Tout-Puissant.
                        Ô Dieu, le Très-Haut Pardonne à l'auteur qui a composé ce poème et en a disposé les vers ; c'est deux mim, un ha, un dal (Mohamed) qui a rapporté cette mahkiya.
                        Ô Toi qui connais l'avenir, donne la résignation à cet homme, fou d'amour. Je pleure comme un exilé ; mes larmes apitoieraient mes ennemis !
                        Je ne mange plus ; je repousse la nourriture que ma bouche trouve insipide et le sommeil lui-même est refusé à mes paupières !
                        Entre la mort de ma bienaimée et la composition de cette pièce, trois jours seulement s'écoulèrent. Elle me quitta, me disant adieu, et ne revint point vers moi.
                        Cette chanson, ô vous qui l'écoutez, a été achevée en l'an mil deux cents ; complétez-en la date en y ajoutant quatre-vingt-dix, auxquels vous joindrez les cinq qui restent (1295 H. ou 1878 après JC).
                        Cette poésie d'Ibn Seghir, a été composée en souvenir ; au mois de l'Aïd el-Kébir. A Sidi Khaled ben Sinan. Un tel (Mohammed) Ben Guitoune, a chanté celle que vous aviez jadis vue encore vivante ?
                        Son corps repose sous terre.
                        Mon cœur est parti avec la svelte Hyzia !"
                        (Source: Traduction trouvée sur le net)
                        Mieux vaut un cauchemar qui finit qu’un rêve inaccessible qui ne finit pas…

                        Commentaire


                        • #13
                          Tout ça Zak! T'es en grande forme.

                          Moi je dirai :" Ahlan wa Sahla, thouma Marhaba" Athmane Ariouate.
                          "If you can't say anything nice, don't say anything at all."

                          Commentaire


                          • #14
                            Merci à tous !

                            Sabah el ward el fool ou lyasmine tout d'abord...

                            Shizuku : Merci beaucoup,je commence à bien comprend le forum,je m'y plais de plus en plus

                            Adrhar : Aichek pour cette si belle chanson de chez moi...bent Ahmed Belbey...

                            Sefaxe: Merci Plus qu'un pseudo c'est celui que je porte tout les jours...

                            Zacmako : Merci de cette attention,j'adore lire et relire ce poème,je ne me lasse jamais...

                            Nomad7 : Aichek
                            "L'amour est ma religion et ma foi" Ibn Arabi

                            Commentaire


                            • #15
                              Sois la bienvenue parmis nous Hiziya

                              Commentaire

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