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Des sites salafistes détruits par les services de sécurité
Les terroristes du GSPC version Al Qaïda au Maghreb islamique ont pris pour cible l’Internet, devenu l’un des créneaux les plus importants des terroristes salafistes.
Depuis les attentats terroristes de l’année 2007 ayant visé le cortège présidentiel, dans la wilaya de Batna, et le second attentat suicide qui avait pris pour cible la caserne de Dellys à Boumerdès, puis les attentats kamikazes qui avaient secoué le Palais du gouvernement, à Alger et le bureau de l’ONU à Hydra, les forces de sécurité ont enchaîné une série d’opérations qui ont visé la toile d’Al Qaïda.
En effet, les terroristes du GSPC version Al Qaïda au Maghreb islamique ont pris pour cible l’Internet, devenu l’un des créneaux les plus importants des terroristes salafistes.
Les sites électroniques salafistes qui appellent au djihad en Algérie, et qui sont utilisés par les terroristes du GSPC, surtout depuis que cette organisation terroriste a choisi la voie des attentats kamikazes et le recours aux attentats à la ceinture piégée, sont depuis pris par cible par les services de sécurité.
Aujourd’hui, cette nouvelle forme de guerre entre les terroristes et les services de sécurité a permis aux services de renseignement de détruire plusieurs dizaines de sites utilisés auparavant par les terroristes affiliés à cette organisation criminelle.
Avant cette réplique des services de sécurité, les terroristes avaient réussi à recruter plusieurs centaines de jeunes algériens. Il s’agit souvent d’adolescents comme c’était le cas du jeune kamikaze de Bourouba qui avait fait sauter sa voiture bourrée de TNT contre le siège du Palais du gouvernement.
Ce jeune, issu du quartier La Montagne, a été recruté par les terroristes salafistes, car il souffrait du chômage. Une situation qui avait permis aux terroristes de convaincre leur victime, comme d’ailleurs des centaines comme lui.
On pense à cette occasion à ces jeunes de Zemmouri, du quartier de Bourouba aussi qui ont été recrutés dans des conditions similaires et dans la même période. Conscient de cette menace qui peut souffler sur la sécurité du pays, les services de sécurité ont pu détruire, donc, plusieurs sites propres aux salafistes djihadistes qui appartenaient au GSPC.
Quelques jours après l’attentat manqué contre le président de la République, fait par le kamikaze, Houari Belzerak, alias Abou Mokdad Al Wahrani, les services de sécurité ont réussi un grand coup. En effet, il s’est avéré que les terroristes du GSPC avaient utilisé des sites électroniques qui faisaient partie de certaines entreprises privées, appartenant à des étrangers de la région du Golf.
Cette importante opération, voire cette identification de taille de ces sites, a privé les terroristes de nouveaux recrutements de jeunes égarés. Toutefois, certains de ces jeunes, affaiblis par leur situation sociale, ont été quand même enrôlés par ces terroristes, mais leur nombre est beaucoup moins important par rapport aux années précédentes.
Ils font partie de la troisième génération du terrorisme dans notre pays, ces derniers sont ensorcelés par le salafisme djihadiste. Selon une source sécuritaire, les terroristes qui utilisent la toile se servent de codes numériques pour passer le message entre les groupes terroristes.
C’est à partir de cette technique qu’ils arrivent à chaque fois à échapper aux services de sécurité. Aujourd’hui, la guerre ne fait que commencer, selon les experts.
Cela dit, la lutte contre le terrorisme électronique en Algérie n’est qu’à ses débuts, malgré le recul flagrant des attentats terroristes dans notre pays. Mais, l’idéologie est toujours présente dans certains cerveaux, certaines personnes continuent toujours à y croire. Ce qui oblige, d’autre part, les services de sécurité à accentuer leur lutte afin d’éviter d’autres événements douloureux.
Ouest-Tribune
Les terroristes du GSPC version Al Qaïda au Maghreb islamique ont pris pour cible l’Internet, devenu l’un des créneaux les plus importants des terroristes salafistes.
Depuis les attentats terroristes de l’année 2007 ayant visé le cortège présidentiel, dans la wilaya de Batna, et le second attentat suicide qui avait pris pour cible la caserne de Dellys à Boumerdès, puis les attentats kamikazes qui avaient secoué le Palais du gouvernement, à Alger et le bureau de l’ONU à Hydra, les forces de sécurité ont enchaîné une série d’opérations qui ont visé la toile d’Al Qaïda.
En effet, les terroristes du GSPC version Al Qaïda au Maghreb islamique ont pris pour cible l’Internet, devenu l’un des créneaux les plus importants des terroristes salafistes.
Les sites électroniques salafistes qui appellent au djihad en Algérie, et qui sont utilisés par les terroristes du GSPC, surtout depuis que cette organisation terroriste a choisi la voie des attentats kamikazes et le recours aux attentats à la ceinture piégée, sont depuis pris par cible par les services de sécurité.
Aujourd’hui, cette nouvelle forme de guerre entre les terroristes et les services de sécurité a permis aux services de renseignement de détruire plusieurs dizaines de sites utilisés auparavant par les terroristes affiliés à cette organisation criminelle.
Avant cette réplique des services de sécurité, les terroristes avaient réussi à recruter plusieurs centaines de jeunes algériens. Il s’agit souvent d’adolescents comme c’était le cas du jeune kamikaze de Bourouba qui avait fait sauter sa voiture bourrée de TNT contre le siège du Palais du gouvernement.
Ce jeune, issu du quartier La Montagne, a été recruté par les terroristes salafistes, car il souffrait du chômage. Une situation qui avait permis aux terroristes de convaincre leur victime, comme d’ailleurs des centaines comme lui.
On pense à cette occasion à ces jeunes de Zemmouri, du quartier de Bourouba aussi qui ont été recrutés dans des conditions similaires et dans la même période. Conscient de cette menace qui peut souffler sur la sécurité du pays, les services de sécurité ont pu détruire, donc, plusieurs sites propres aux salafistes djihadistes qui appartenaient au GSPC.
Quelques jours après l’attentat manqué contre le président de la République, fait par le kamikaze, Houari Belzerak, alias Abou Mokdad Al Wahrani, les services de sécurité ont réussi un grand coup. En effet, il s’est avéré que les terroristes du GSPC avaient utilisé des sites électroniques qui faisaient partie de certaines entreprises privées, appartenant à des étrangers de la région du Golf.
Cette importante opération, voire cette identification de taille de ces sites, a privé les terroristes de nouveaux recrutements de jeunes égarés. Toutefois, certains de ces jeunes, affaiblis par leur situation sociale, ont été quand même enrôlés par ces terroristes, mais leur nombre est beaucoup moins important par rapport aux années précédentes.
Ils font partie de la troisième génération du terrorisme dans notre pays, ces derniers sont ensorcelés par le salafisme djihadiste. Selon une source sécuritaire, les terroristes qui utilisent la toile se servent de codes numériques pour passer le message entre les groupes terroristes.
C’est à partir de cette technique qu’ils arrivent à chaque fois à échapper aux services de sécurité. Aujourd’hui, la guerre ne fait que commencer, selon les experts.
Cela dit, la lutte contre le terrorisme électronique en Algérie n’est qu’à ses débuts, malgré le recul flagrant des attentats terroristes dans notre pays. Mais, l’idéologie est toujours présente dans certains cerveaux, certaines personnes continuent toujours à y croire. Ce qui oblige, d’autre part, les services de sécurité à accentuer leur lutte afin d’éviter d’autres événements douloureux.
Ouest-Tribune