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L’information était dans l’air depuis quelques jours déjà, avant que les choses ne se précipitent, hier dans la matinée, lorsque une source de la mairie de Tizi-Ouzou a fait état de l’imminence de la démission collective des élus RCD de l’APC de Tizi-Ouzou.
Une commune qui, soit dit en passant, n’a pas fini de broyer du noir avec, notamment, des scandales et des procès qui n’ont pas été pour rehausser son image, déjà considérablement entamée depuis le début du mandat de l’exécutif il y a trois ans. Ainsi depuis hier, l’exécutif communal de Tizi-Ouzou doit compter sans les élus du parti de Saïd Sadi. Une défection qui ne constituerait pas une surprise. «Cette décision vient après un examen sans complaisance de la situation que traverse l’APC de Tizi-Ouzou», explique le responsable du RCD de la ville de Tizi-Ouzou, à travers un communiqué dans lequel on en veut, entre autres, au président de l’APC, que les élus du RCD accusent de «légèreté» dans le traitement de certains dossiers et d’opacité dans la gestion des affaires du chef-lieu de la wilaya. Consigne a été donc donnée aux quatre élus du RCD de se retirer des postes de responsabilité qu’ils occupent depuis le début du mandat au sein de l’exécutif, miné par des conflits et où les alliances contractées ne tenaient qu’à un fil, tant cela se faisait toujours dans la douleur et au grand étonnement des citoyens. Le retrait officiel a été matérialisé par des démissions écrites des quatre élus, dont on peut imaginer, dès maintenant, que les postes qu’ils occupaient vont susciter une nouvelle gymnastique pour donner naissance à une nouvelle configuration de l’exécutif. Reste à savoir, maintenant, comment arriveront à s’y prendre les quatre élus du RND, les cinq du FFS et les six autres du FLN, auxquels se sont joints les quatre indépendants, pour mettre sur pied la nouvelle équipe de l’Assemblée.
A.M. (Le Soir d’Algérie).
Une commune qui, soit dit en passant, n’a pas fini de broyer du noir avec, notamment, des scandales et des procès qui n’ont pas été pour rehausser son image, déjà considérablement entamée depuis le début du mandat de l’exécutif il y a trois ans. Ainsi depuis hier, l’exécutif communal de Tizi-Ouzou doit compter sans les élus du parti de Saïd Sadi. Une défection qui ne constituerait pas une surprise. «Cette décision vient après un examen sans complaisance de la situation que traverse l’APC de Tizi-Ouzou», explique le responsable du RCD de la ville de Tizi-Ouzou, à travers un communiqué dans lequel on en veut, entre autres, au président de l’APC, que les élus du RCD accusent de «légèreté» dans le traitement de certains dossiers et d’opacité dans la gestion des affaires du chef-lieu de la wilaya. Consigne a été donc donnée aux quatre élus du RCD de se retirer des postes de responsabilité qu’ils occupent depuis le début du mandat au sein de l’exécutif, miné par des conflits et où les alliances contractées ne tenaient qu’à un fil, tant cela se faisait toujours dans la douleur et au grand étonnement des citoyens. Le retrait officiel a été matérialisé par des démissions écrites des quatre élus, dont on peut imaginer, dès maintenant, que les postes qu’ils occupaient vont susciter une nouvelle gymnastique pour donner naissance à une nouvelle configuration de l’exécutif. Reste à savoir, maintenant, comment arriveront à s’y prendre les quatre élus du RND, les cinq du FFS et les six autres du FLN, auxquels se sont joints les quatre indépendants, pour mettre sur pied la nouvelle équipe de l’Assemblée.
A.M. (Le Soir d’Algérie).