La pauvreté, telle que définie par le Dr Djamel Ould Abbès, ministre de la Solidarité nationale, de la Famille et de la Communauté nationale à l’étranger, comme étant l’insuffisance de ressources matérielles et immatérielles, a réellement baissé chez nous puisque le taux a reculé de 12% à 5%. Pour Ould Abbès, la mise en œuvre de mesures d’accompagnement et de programmes spécifiques ciblant les populations les plus démunies a permis de réduire le phénomène de la pauvreté et d’améliorer les conditions de vie des ménages.
L’incidence de la pauvreté qui avait augmenté entre 1988 et 1995 a diminué au cours de la période 2000-2007. «On est passé de 12,1% en 2000 à 5% en 2008. Quant à la pauvreté extrême, elle a été quasiment éradiquée», a annoncé le ministre lundi dernier lors de l’ouverture des travaux du 3e Colloque sur «l'environnement et la lutte contre la pauvreté dans les pays en développement: cas de l’Algérie» au centre universitaire de Khémis Meliana dans la wilaya d’Aïn Defla. Pour le premier responsable de la Solidarité, «même si on a aujourd’hui des citoyens en difficulté et qui sont au nombre de 1 750 000, il faut reconnaître ce qui a été fait depuis une dizaine d’années. On n’est pas en train de prêcher dans le désert. Il était question d’un programme quinquennal de relance, un autre de soutien à la croissance et un troisième avec 150 millions de dollars», expliquera-t-il.
Ceci étant et dans sa dimension territoriale, la pauvreté reste principalement concentrée dans les communes les plus défavorisées du pays. Celles-ci sont surtout situées au nord du pays. L’Etat a, cependant, adopté une stratégie nationale de lutte contre la pauvreté et en a fait l'une des priorités de son programme d'action. «D’ailleurs, le président Bouteflika a donné des instructions pour mettre en place une cartographie de la pauvreté et élaborer d'ambitieux programmes de développement auxquels d'importantes enveloppes financières ont été affectées », a rappelé le ministre. Par ailleurs, le ministre a tenu a souligné que même le taux de chômage a enregistré une baisse considérable ces dernières années.
Un taux estimé à 30,03% en 1999 tombé jusqu'à 10,8% en 2009. «Cette baisse est le fruit d'une stratégie bien ficelée et d'importants efforts qui ont contribué à améliorer les conditions de vie des citoyens. Il faudra savoir que 10,8% est un taux inférieur à celui enregistré dans plusieurs pays développés aà l'image de l'Espagne où le taux de chômage est estimé à 20%», a ajouté le ministre. Hidayette Bersali
© Copyright La Nouvelle République
L’incidence de la pauvreté qui avait augmenté entre 1988 et 1995 a diminué au cours de la période 2000-2007. «On est passé de 12,1% en 2000 à 5% en 2008. Quant à la pauvreté extrême, elle a été quasiment éradiquée», a annoncé le ministre lundi dernier lors de l’ouverture des travaux du 3e Colloque sur «l'environnement et la lutte contre la pauvreté dans les pays en développement: cas de l’Algérie» au centre universitaire de Khémis Meliana dans la wilaya d’Aïn Defla. Pour le premier responsable de la Solidarité, «même si on a aujourd’hui des citoyens en difficulté et qui sont au nombre de 1 750 000, il faut reconnaître ce qui a été fait depuis une dizaine d’années. On n’est pas en train de prêcher dans le désert. Il était question d’un programme quinquennal de relance, un autre de soutien à la croissance et un troisième avec 150 millions de dollars», expliquera-t-il.
Ceci étant et dans sa dimension territoriale, la pauvreté reste principalement concentrée dans les communes les plus défavorisées du pays. Celles-ci sont surtout situées au nord du pays. L’Etat a, cependant, adopté une stratégie nationale de lutte contre la pauvreté et en a fait l'une des priorités de son programme d'action. «D’ailleurs, le président Bouteflika a donné des instructions pour mettre en place une cartographie de la pauvreté et élaborer d'ambitieux programmes de développement auxquels d'importantes enveloppes financières ont été affectées », a rappelé le ministre. Par ailleurs, le ministre a tenu a souligné que même le taux de chômage a enregistré une baisse considérable ces dernières années.
Un taux estimé à 30,03% en 1999 tombé jusqu'à 10,8% en 2009. «Cette baisse est le fruit d'une stratégie bien ficelée et d'importants efforts qui ont contribué à améliorer les conditions de vie des citoyens. Il faudra savoir que 10,8% est un taux inférieur à celui enregistré dans plusieurs pays développés aà l'image de l'Espagne où le taux de chômage est estimé à 20%», a ajouté le ministre. Hidayette Bersali
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