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FILM Hors-La-loi: Un Ministre Français estime que les débats sont sains !

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  • FILM Hors-La-loi: Un Ministre Français estime que les débats sont sains !

    "Les débats sur le drame de la guerre d'Algérie sont sains", a jugé mardi le ministre français de la Culture, Frédéric Mitterrand, à propos d'une polémique naissante autour du film de Rachid Bouchareb "Hors la loi".

    Enfin un ministre français qui revient à la raison et qui considère que les débats sur l'histoire sur la guerre d'Algérie sont sains, et que les politicards de tous bords n'ont pas à intervenir dans ce travail de mémoire.


    Ci-dessous Article paru dans le journal TSA le 04 MAi 2010.

    Le ministre français de la Culture, Frédéric Mitterrand, a estimé mardi que "les débats sur le drame de la guerre d'Algérie sont sains", en réaction à la polémique entourant le film "Hors-la-loi" du Franco-Algérien Rachid Bouchareb.



    "Hors-la-loi", coproduction franco-belgo-algéro-tunisienne en compétition officielle au 63e Festival de Cannes (12-23 mai), retrace le parcours de trois frères ayant survécu aux massacres de Sétif de mai 1945 et qui, arrivés en France, s'engagent pour l'indépendance de l'Algérie.


    L'oeuvre a été dénoncée par le député des Alpes-Maritimes Lionnel Luca (UMP) comme un film "négationniste" qui "falsifie" l'histoire.



    L'élu, qui ne l'a pas vu, fonde son jugement sur un bref rapport rédigé par le service historique du ministère de la Défense, à partir du scénario du film.



    Interpellé à l'Assemblée nationale par le député PS de la Seine-Saint-Denis Daniel Goldberg, qui s'est demandé si c'était "bien le rôle du gouvernement d'un Etat démocratique de cautionner ou non une oeuvre de fiction", le ministre de la Culture a répliqué que "les débats sur le drame de la guerre d'Algérie sont sains, ils nous aident à reconstituer une trame essentielle de notre passé récent". "J'observe que la plupart de ceux qui en parlent (du film, NDLR) ne l'ont pas vu. Je le verrai moi même très prochainement pour me forger une opinion", a indiqué M. Mitterrand.


    "La liberté de tous n'est pas en conflit avec le devoir de mémoire.

    Aujourd'hui, le cinéma contribue à sa façon au devoir de mémoire, comme l'a fait récemment encore le film +La Rafle+ et comme l'ont fait ces dernières années de nombreux films consacrés à la guerre d'Algérie", a souligné le ministre.



    "Tout le reste n'est qu'allégations qui continuent à aggraver le climat d'un débat qui devrait être salutaire", a-t-il conclu.
    Que l'intelligence et le courage de ce ministre soit salué !

  • #2
    Le film "Hors-la-loi" de Rachid Bouchareb : les guerres de mémoires sont de retour,

    par Yasmina Adi, Didier Daeninckx...

    Les vérités officielles et les dénonciations de l'"anti-France" qui ont sévi à l'époque des guerres coloniales sont-elles de retour ? Le film Hors-la-loi de Rachid Bouchareb, qui va être présenté au Festival de Cannes et sera sur les écrans en septembre 2010, a déjà donné lieu à de surprenantes réactions, qui ne peuvent rester sans réponse.

    Le film raconte les parcours de trois frères, témoins des massacres de Sétif en mai 1945 et qui vivent ensuite en France, où ils seront plongés dans les excroissances en métropole de la guerre d'indépendance algérienne. Symptôme du retour en force de la bonne conscience coloniale dans certains secteurs de la société française, avec la complicité des gouvernants, un député a lancé une campagne contre ce film avant même son achèvement, campagne relayée – ce qui est plus grave – par un secrétaire d'Etat.

    A l'automne 2009, fâché de la manière dont le scénario évoquait les massacres de Sétif et l'aide apportée par des Français aux militants indépendantistes algériens, le député UMP des Alpes-Maritimes Lionnel Luca, vice-président du conseil général de ce département, a discrètement saisi le secrétaire d'Etat à la défense et aux anciens combattants Hubert Falco, par ailleurs maire de Toulon. Et dans une lettre à ce dernier du 7 décembre 2009, il dénonçait le concours financier apporté par le Centre national du cinéma (CNC) à ce film qu'il n'avait toujours pas vu : "On peut s'interroger sur cette volonté d'encourager une repentance permanente que le président de la République a plusieurs fois condamnée. A défaut de pouvoir intervenir sur le CNC, je vous saurais gré de bien vouloir veiller à ce que la sortie du film ne puisse être cautionnée par les officiels français."

    Précisant le sens de sa démarche, Lionnel Luca a déclaré le 23 avril 2010 à Paris-Match : "J'ai saisi le secrétaire d'Etat à la défense et aux anciens combattants dès que j'ai eu connaissance du scénario. Celui-ci l'a transmis au service historique du ministère de la Défense (SHD), qui a confirmé que de nombreux faits sont erronés et réinterprétés. Ce que je voulais avant tout, c'est que le film ne soit pas dans la sélection officielle française. Le projet me dérange. Il ne représente pas la France mais l'Algérie, cela me convient." A ses yeux, en somme, le financement de la création devrait dans ce domaine être soumis à un label d'Etat définissant ce qui est ou non "historiquement correct".

    Fruit d'une coproduction franco-algéro-tuniso-italo-belge, ce film est d'abord une œuvre libre qui ne saurait se réduire à une nationalité, ni à un message politique et encore moins à une vision officielle de l'histoire. Œuvre d'un cinéaste à la fois français et algérien, son producteur pouvait le présenter à la sélection officielle du Festival de Cannes en tant que film algérien ou film français. Il a choisi la première option (à l'inverse d'Indigènes, présenté comme film français à Cannes et algérien aux Oscars), les films français de qualité étant déjà nombreux à prétendre figurer dans une sélection nécessairement limitée. Et contrairement à ce qu'avance M. Luca, il n'y a rien de choquant à ce que l'essentiel du financement de Hors-la-loi vienne de France (parmi ses financeurs, figurent France 2 et France 3, Canal+, Studio Canal, Kiss Films – la société de Jamel Debbouze –, la région PACA, l'ACSE, Ciné-cinéma et le CNC).

    L'apport venant d'Algérie ne représente qu'environ 20 % du budget, dont une bonne part en prestations valorisées. Un apport qui, en l'occurrence, n'a été assorti d'aucune pression ni demande particulière.

    Dans un courrier adressé le 15 janvier 2010 au député, Hubert Falco a affirmé que son ministère avait en fait saisi dès le 18 juin 2009 – donc avant l'intervention du député – le service historique de la défense "pour analyser le contenu historique du scénario" : "[Le SHD] confirme qu'un certain nombre d'erreurs et d'anachronismes en parsème l'écriture. Ces invraisemblances, parfois grossières, montrent que la rédaction du scénario n'a été précédée d'aucune étude historique sérieuse. Elles ne manqueront pas d'être relevées par les spécialistes lors de la sortie du film en salles. Au vu de ces éléments, et sous réserve que la version définitive du film n'y apporte aucun correctif, il semble difficile que les pouvoirs publics puissent soutenir un film qui livre de notre histoire une version aussi peu crédible. Je veillerai pour ma part, au nom de la défense de la mémoire qui relève de mes attributions, à ne pas cautionner ce film."

    En septembre 2009, le général de division Gilles Robert, chef dudit service, avait en effet rendu un avis critique sur le scénario, répondant à la commande officielle. Nos réactions ne portent pas sur le contenu de cet avis, mais sur son principe même. D'ailleurs, ceux d'entre nous qui ont été invités comme historiens à voir le film ont aussi des réserves précises sur certaines de ses évocations du contexte historique de la période. Mais le travail d'un réalisateur n'est pas celui d'un historien et n'a pas à être jugé par l'etat. Personne n'a demandé à Francis Ford Coppola de raconter dans Apocalypse Now la guerre du Vietnam avec une précision "historique".

    L'évocation d'une page d'histoire tragique peut aussi bien passer par la fiction, avec ses inévitables raccourcis, que par les indispensables travaux des historiens.

    Dans le cas du film de Bouchareb, le problème de fond est ailleurs : des pressions ont été exercées sur les chaînes de France Télévisions pour ne pas coproduire le film et sur les responsables de la sélection officielle du Festival de Cannes pour qu'il ne soit pas sélectionné. Tandis que le producteur a été l'objet de demandes inhabituelles venant de la présidence de la République et du secrétariat d'Etat à la défense et aux anciens combattants pour visionner – dans quel but ? – le film avant la date de sa présentation officielle aux jurés et au public du Festival de Cannes.

    En même temps, des associations extrémistes appellent à perturber le Festival en protestation contre la sélection de ce film. Et la réaction de M. Luca – rejoint le 29 avril par le député UMP de Béziers Elie Aboud, président du groupe parlementaire d'études sur les rapatriés, qui n'admet pas "qu'on utilise de l'argent public pour insulter la République" – est révélatrice : des milieux nostalgiques de la colonisation continuent de chercher à faire obstacle à la liberté de la création et à la nécessaire reconnaissance du passé colonial de la France. Ces députés déclarent espérer que la "Fondation pour la mémoire de la guerre d'Algérie", prévue par l'article 3 de la loi du 23 février 2005, qui présentait comme positive l'"œuvre de la France outre-mer", sera rapidement mise en place, "afin de mieux approcher la vérité". Le pire est à craindre quand le pouvoir politique veut écrire l'histoire que nos concitoyens iront voir demain sur nos écrans.

    Signataires : Yasmina Adi (réalisatrice), Didier Daeninckx (écrivain), François Gèze (éditeur), Guy Seligman (président de la SCAM) et Pascal Blanchard, Mohammed Harbi, Gilles Manceron, Gilbert Meynier, Gérard Noiriel, Jean-Pierre Peyroulou, Benjamin Stora, Sylvie Thénault (historiens).

    Le Monde

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    • #3
      J'ai envie de faire un film sur les massacres du FIS, j'aurai droit à des subventions algériennes ?

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      • #4
        La polémique « Hors-la-loi » continue

        CATHERINE TARDREW | 05.05.2010, 07h00

        Personne, ou presque, ne l’a encore vu ! Pourtant « Hors-la-loi », le film de Rachid Bouchareb qui représente l’Algérie au Festival de Cannes, provoque déjà la polémique. Plus exactement, les quelques minutes de l’ouverture, consacrée au massacre de Sétif, où le défilé en l’honneur de la victoire alliée tourne à l’émeute entre Européens et musulmans.

        Une centaine de Français sont tués, les autorités françaises estiment à plus de 1 000 le nombre de manifestants morts. Cette première manifestation indépendantiste conduira à une répression sanglante avec des milliers de victimes algériennes.

        Un film « négationniste » selon le député UMP Lionnel Luca

        Lionnel Luca, député UMP des Alpes-Maritimes, a mis le feu aux poudres. Il considère le long-métrage, dont il a lu le rapport rédigé par le service historique du ministère de la Défense à partir du scénario, comme un film « négationniste » qui « falsifie l’histoire », le 8 mai 1945 étant avant tout, selon lui, « d’abord le massacre des Européens ». Associations de harkis, d’anciens combattants et de rapatriés lui ont emboîté le pas, suivis par des mouvements d’extrême droite. Les plus durs, dont un collectif qui s’est baptisé Vérité histoire-Cannes 2010, appellent à manifester sur la Croisette.

        Le réalisateur s’est toujours défendu d’avoir voulu faire un film historique. Trois des acteurs d’« Indigènes » (Jamel Debbouze, Sami Bouajila et Roschdy Zem), qui avaient reçu le prix collectif d’interprétation masculine en 2006, incarnent dans « Hors-la-loi » des survivants de ce que Bernard Bajolet, ambassadeur de France en Algérie, avait qualifié en 2008 d’« épouvantable massacre. » En France, où se situe l’essentiel de l’action, ses survivants se rallient au FLN et à la lutte pour l’indépendance.

        Thierry Frémaux, délégué général du Festival de Cannes, estime que « nul ne laissera le festival être troublé par une controverse excessive ».

        Frédéric Mitterrand entend, pour se faire une opinion, voir « très prochainement » le film. Le ministre de la Culture, interpellé hier à l’Assemblée nationale par le député PS de la Seine-Saint-Denis, Daniel Goldberg, estime, en attendant, que « les débats sur le drame de la guerre d’Algérie sont sains ». Ce sera sans doute insuffisant pour calmer les esprits sur un sujet hyper sensible, des deux côtés de la Méditerranée.
        Pas plus, sans doute, la cérémonie, à Cannes, en mémoire de « toutes les victimes de la guerre d’Algérie », organisée le 21 mai, jour de la projection de « Hors-la-loi », par la sous-préfecture de Grasse.

        Le Parisien

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        • #5
          J'ai envie de faire un film sur les massacres du FIS, j'aurai droit à des subventions algériennes ?
          Les massacres du FIS font partie de la guerre civile algéro-algérienne et quelque soient les horreurs de cette tragédie , ça ne vous absoudra pas de vos crimes coloniaux ; vous avez eu tort de voter la loi vantant le colonialisme français alors qu'on etait sur le point de signer un traité d'amitié , on ne vous lachera plus , et vous ne pourrez plus cacher vos crimes ni votre collaborationnisme avec les Nazis , c'est une promesse d'Algérien et non de Gascon !

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          • #6
            Une cérémonie pour les victimes de la guerre d'Algérie à Cannes le jour de la projection d'"Hors-la-loi"

            NICE — Une cérémonie en mémoire de "toutes les victimes de la guerre d'Algérie" sera organisée à Cannes le 21 mai, jour de la projection du film "Hors-la-loi", qui suscite par avance la colère de certains harkis et anciens combattants, a-t-on appris mardi auprès du sous-préfet de Grasse.

            "Ce sera la meilleure manière de valoriser la mémoire des victimes", a déclaré à l'AFP le sous-préfet Claude Serra, qui sera présent pour cette cérémonie devant le monument aux morts.

            "Hors-la-loi", du réalisateur franco-algérien Rachid Bouchareb, a été sélectionné en compétition officielle du festival de Cannes sous pavillon algérien. Le film retrace le parcours de trois frères ayant survécu aux massacres de Sétif de mai 1945 et qui, arrivés en France, s'engagent pour l'indépendance de l'Algérie.

            L'oeuvre a été dénoncée avant même sa projection par le député des Alpes-Maritimes Lionnel Luca (UMP) comme un film "négationniste" qui "falsifie" l'histoire. L'élu, qui n'a pas vu l'ouvrage, se fonde sur un bref rapport rédigé par le service historique du ministère de la Défense, sur la base du scénario du film.

            Il a été imité par des associations représentant des harkis, des anciens combattants et des pieds-noirs, et par des mouvements d'extrême droite, dont certains ont promis une "croisade sur la Croisette".

            André Mayet, élu non encarté de la majorité UMP de Cannes, et président de la Maison des rapatriés de la ville, a appelé lundi lors d'un conseil municipal le préfet à "prendre ses responsabilités" et à "interdire" la projection du film, faisant valoir les risques de troubles à l'ordre public.

            Il a aussi appelé, "sous le coup de la colère" selon lui, à "l'occupation des marches du Palais", avant de se rallier à l'idée du maire Bernard Brochand d'organiser une cérémonie commémorative.

            Copyright © 2010 AFP.

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            • #7
              Et j'ai également envie de faire un grand thriller politique sur la corruption du gouvernement algérien, j'aurai droit à des subventions de la part d'Alger ? S'ils acceptent, je leur soumettrai également mon projet sur l'histoire d'un jeune nationaliste FLN des années 60 qui à peine l'indépendance obtenue, au lieu de s'attacher à construire son pays, est venu travailler grassement pour l'ancienne puissance coloniale, logé et nourri.

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              • #8
                Et j'ai également envie de faire un grand thriller politique sur la corruption du gouvernement algérien, j'aurai droit à des subventions de la part d'Alger ? S'ils acceptent, je leur soumettrai également mon projet sur l'histoire d'un jeune nationaliste FLN des années 60 qui à peine l'indépendance obtenue, au lieu de s'attacher à construire son pays, est venu travailler grassement pour l'ancienne puissance coloniale, logé et nourri.
                Bien sûr que tu peux contracter un crédit pour faire un film sur un sujet de ton choix. Mais avant d'espérer avoir une carrière à l'internationale, il faut commencer à se faire connaître chez soi. Donc, commencer par des films d'horreurs, genre:
                1 - la france: le nain voleur et les 60 millions dupés.
                2 - Sarko la malice et les 60 millions entubés.
                3 - france: Droit de l'homme ou droit de vole?
                4 - france: les suicides à bout pourtant. Cas par cas: série de 10 000 épisode.
                5 - etc.

                Finalement, je crois que tu es un mauvais cinéaste et ta place tu retrouveras ta place dans un bar-tabac.

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                • #9
                  Et j'ai également envie de faire un grand thriller politique sur la corruption du gouvernement algérien, j'aurai droit à des subventions de la part d'Alger ?

                  Il faut juste patienter le temps qu'on termine le tournage de " Charles Pasqua en Thaïlande "





                  .
                  .


                  Nul n’est plus désespérément esclave, que ceux faussement convaincus d’être libres"-JWVG

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                  • #10
                    Et j'ai également envie de faire un grand thriller politique sur la corruption du gouvernement algérien,
                    La grande gueule des Gascons est proverbiale dans l'imaginaire français ; tu es libre de faire tous les thrillers de ton choix , je ne pense pas qu'il y aient des gens sensés qui oseraient brimer ta liberté de création ; je serai le premier à t'encourager à le faire ; je défends l'Algérie et la mémoire de ses valeureux chouhada , je ne défendrai jamais un corommpu ou un traitre meme si il s'agissait de mon propre frère !

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                    • #11
                      Charles Pasqua est un personnage extraordinaire. Ce n'est pas l'Algérie endormie d'aujourd'hui qui verrait naître une individualité pareille. La France a quand même une histoire politique fascinante, vivre en France c'est tout de même à la marge l'impression de faire l'Histoire.

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                      • #12
                        je ne défendrai jamais un corommpu ou un traitre meme si il s'agissait de mon propre frère !
                        Je défendrai toujours mon frère, même s'il a tort. C'est ça une nation. Préférer ses proches à la vérité. La vérité, c'est bon pour Saint-Germain-des-Prés.

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                        • #13
                          Charles Pasqua est un personnage extraordinaire.
                          comme tout les truands .


                          La France a quand même une histoire politique fascinante
                          C'est exact, marquée par des Pétains , des Papons et le train est long ......

                          vivre en France c'est tout de même à la marge l'impression de faire l'Histoire.
                          en figurant ? sans problème .
                          .


                          Nul n’est plus désespérément esclave, que ceux faussement convaincus d’être libres"-JWVG

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                          • #14
                            comme tout les truands .
                            Pasqua n'est pas un truand, il n'a pas cette envergure. C'est un politicard de l'ancien temps.

                            C'est exact, marquée par des Pétains , des Papons et le train est long ......
                            La chute de la France en 1940 est probablement l'un des moments de l'Histoire du Monde les plus fascinants. Il y a une réelle beauté dans cette débâcle. J'en ai le frisson d'y repenser.

                            en figurant ? sans problème .
                            Nous sommes des seconds rôles importants depuis Waterloo. La France a fait l'Histoire du monde depuis sa conquête par les Romains. C'est tout de même un rôle autrement plus honorifique que d'avoir tous ses grands mythes nationaux forgés en 1962.

                            http://top-10-list.org/2010/03/08/te...ful-countries/

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                            • #15
                              Finalement, je crois que tu es un mauvais cinéaste et ta place tu retrouveras ta place dans un bar-tabac.
                              Ce pauvret est un Gascon , ils n'ont que de la gueule ces gens là !
                              Pourriez vous me préciser l'origine de l'expression " faire une promesse de Gascon " ?


                              Réponse du service Guichet dui Savoir

                              XIXe siècle - une promesse de Gascon : une promesse qui ne sera pas tenue ; la réputation d'éloquence trompeuse, de vantardise du Gascon est constante depuis le XVIe siècle.
                              source : Le Bouquet des expressions imagées

                              Offre, promesse de gascon : "peu sérieuse". Les Gascons ont acquis, au XVIe et au XVIIe siècle, une réputation bien établie de hablerie. Oudin signale "parler en gascon", dans le même sens. Le dérivé gasconnade témoigne lexicalement de ce sens.

                              source : Dictionnaire des expressions et locutions

                              Le Guichet du Savoir

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