Le président iranien, Mahmoud Ahmadinejad, est d'accord "sur le principe" d'une médiation du Brésil pour tenter de trouver une solution à la crise provoquée par le programme nucléaire de son pays, annonce l'agence de presse semi-officielle Fars mercredi.
"Dans une conversation téléphonique avec son homologue vénézuélien, Ahmadinejad a accepté le principe d'une médiation du Brésil sur l'accord du combustible nucléaire", rapporte Fars citant un communiqué de la présidence.
Cette proposition présentée par l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) en octobre prévoyait que les 1.200 kg d'uranium faiblement enrichi dont dispose l'Iran soient conditionnés à l'étranger.
Téhéran devait transférer cet uranium en Russie et en France afin qu'il soit enrichi puis restitué sous forme de barres de combustible utilisables dans une centrale iranienne à des fins de recherches médicales.
L'Iran avait mis comme condition que l'échange entre les deux types de combustibles nucléaires se déroule sur son territoire, une demande jugée inacceptable par les Occidentaux.
Les Etats-Unis continuent de faire campagne pour que le Conseil de sécurité de l'Onu adopte un quatrième train de sanctions contre l'Iran dans les semaines à venir.
Plusieurs membres temporaires du Conseil de sécurité, dont le Brésil et la Turquie, déploient des efforts pour relancer des négociations qui se trouvent au point mort.
Les Occidentaux soupçonnent Téhéran de vouloir se doter de l'arme atomique, une accusation que rejette le gouvernement iranien qui affirme que son programme nucléaire ne poursuit que des buts civils.
source : Reuters
"Dans une conversation téléphonique avec son homologue vénézuélien, Ahmadinejad a accepté le principe d'une médiation du Brésil sur l'accord du combustible nucléaire", rapporte Fars citant un communiqué de la présidence.
Cette proposition présentée par l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) en octobre prévoyait que les 1.200 kg d'uranium faiblement enrichi dont dispose l'Iran soient conditionnés à l'étranger.
Téhéran devait transférer cet uranium en Russie et en France afin qu'il soit enrichi puis restitué sous forme de barres de combustible utilisables dans une centrale iranienne à des fins de recherches médicales.
L'Iran avait mis comme condition que l'échange entre les deux types de combustibles nucléaires se déroule sur son territoire, une demande jugée inacceptable par les Occidentaux.
Les Etats-Unis continuent de faire campagne pour que le Conseil de sécurité de l'Onu adopte un quatrième train de sanctions contre l'Iran dans les semaines à venir.
Plusieurs membres temporaires du Conseil de sécurité, dont le Brésil et la Turquie, déploient des efforts pour relancer des négociations qui se trouvent au point mort.
Les Occidentaux soupçonnent Téhéran de vouloir se doter de l'arme atomique, une accusation que rejette le gouvernement iranien qui affirme que son programme nucléaire ne poursuit que des buts civils.
source : Reuters
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