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A l’initiative de la direction de la culture, la wilaya de Tiaret accueille depuis le 1er mai une pléiade d’artistes représentant plusieurs régions du pays pour prendre part à la 4e édition du Festival national de la poésie populaire et de la chanson bédouine.
«Placé sous le thème «Patrimoine culturel et identité», ce festival tend à préserver cet art qui se veut immortel et indissociable de notre culture», a tenu à nous confier un poète.
Au programme de cette manifestation qui s’est poursuivie jusqu’au 4 mai, figurait en préambule une activité équestre à la place publique de la ville, où des cavaliers se sont regroupés pour offrir aux invités une démonstration agrémentée de baroud et de chants folkloriques.
La maison de la culture a abrité de son côté des expositions d’objets illustrant les spécificités de la région, à savoir la sellerie et les métiers du cheval, la tapisserie et l’artisanat. D’autres stands dressés pour la circonstance ont abrité une exposition de photos retraçant fidèlement les sites et autres monuments archéologiques que recèle l’antique Tihert.
Sur place, une immense kheima a été érigée pour recevoir les invités autour d’une collation traditionnelle, ce qui a égayé davantage le décor. L’ouverture officielle du festival dimanche par le wali de Tiaret a été suivie d’une déclamation de poèmes signée Benzama Benaïssa et Beldjouher, tous les deux, poètes du terroir.
La chanson bédouine était aussi présente en force lors de l’inauguration de cette manifestation et ce sont les chouyoukh comme Abdellah Etiarti, El-Mokrani (Chlef), Ahmed El-Ghilizani, Benarba ou encore Miloud El-Vialari (Tissemsilt) qui ont eu l’honneur d’emballer le public.
Le reste du programme devait porter sur l’organisation de soirées artistiques spéciale bédoui animées par l'ensemble des poètes et chanteurs participants. A noter que, outre Benzama qui a été décoré des mains du wali, tous les artistes devaient être honorés à la clôture du festival.
Par le Soir
«Placé sous le thème «Patrimoine culturel et identité», ce festival tend à préserver cet art qui se veut immortel et indissociable de notre culture», a tenu à nous confier un poète.
Au programme de cette manifestation qui s’est poursuivie jusqu’au 4 mai, figurait en préambule une activité équestre à la place publique de la ville, où des cavaliers se sont regroupés pour offrir aux invités une démonstration agrémentée de baroud et de chants folkloriques.
La maison de la culture a abrité de son côté des expositions d’objets illustrant les spécificités de la région, à savoir la sellerie et les métiers du cheval, la tapisserie et l’artisanat. D’autres stands dressés pour la circonstance ont abrité une exposition de photos retraçant fidèlement les sites et autres monuments archéologiques que recèle l’antique Tihert.
Sur place, une immense kheima a été érigée pour recevoir les invités autour d’une collation traditionnelle, ce qui a égayé davantage le décor. L’ouverture officielle du festival dimanche par le wali de Tiaret a été suivie d’une déclamation de poèmes signée Benzama Benaïssa et Beldjouher, tous les deux, poètes du terroir.
La chanson bédouine était aussi présente en force lors de l’inauguration de cette manifestation et ce sont les chouyoukh comme Abdellah Etiarti, El-Mokrani (Chlef), Ahmed El-Ghilizani, Benarba ou encore Miloud El-Vialari (Tissemsilt) qui ont eu l’honneur d’emballer le public.
Le reste du programme devait porter sur l’organisation de soirées artistiques spéciale bédoui animées par l'ensemble des poètes et chanteurs participants. A noter que, outre Benzama qui a été décoré des mains du wali, tous les artistes devaient être honorés à la clôture du festival.
Par le Soir