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La marque de café marocaine "GAOUAR" ouvre un institut de café a Oujda et Tlemçen.

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  • La marque de café marocaine "GAOUAR" ouvre un institut de café a Oujda et Tlemçen.

    · Café: Création de l’institut Mustapha Gaouar

    Mounir Gaouar vient d’annoncer la création de l’institut Mustapaha Gaoaur pour la formation aux métiers du café. Cet institut, fondé en hommage à son père qui a développé la marque éponyme au Maroc, sera localisé à Oujda, Tlemcen, Barcelone et dans la province du Yunnan en Chine. Des ateliers de torréfaction seront installés en Espagne et en Algérie.

  • #2
    Yarham alwalidine tu m'a rappelé ce fameux café Gaouar
    La haine aveugle

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    • #3
      Bonsoir tout le monde!

      Mounir Gaouar, entrepreneur franco-algérien :

      « Faire de Tlemcen un phare dans le monde »

      Né en 1955 à Tlemcen, Mounir Gaouar, diplômé de l’école supérieure de commerce de Paris et titulaire d’un Doctorat d’économie à la Sorbonne, est le président de « Coffega International » et fondateur de l’Institut international du café Mustapha Gaouar. Lors de son séjour dans sa ville natale, Tlemcen, pour annoncer la création dudit institut, il s’est dit heureux de « contribuer à l’essor économique de l’Algérie et de faire de Tlemcen un phare dans le monde ».

      Source : lejmed.fr
      La pire chose pour l'Homme, serait qu'il meurt idiot.
      De grâce épargnez-moi la prolixe, la syntaxe et la chiffrerie à tout va
      .
      Merci.
      " TOUCHE PAS A MA NAPPE ALBIENNE "

      Commentaire


      • #4
        Je ne connais pas ce café...

        Quelqu'un connait ?

        Commentaire


        • #5
          Oui moi,

          il est très bon, et surtout son odeur, on le sent à 100 miles

          H'bibna Arayzon labess 3lik .

          ce que tu rapportes est une très longue histoire et il se trouve qu'il y plein de familles comme celle de Mr Gaouar dans l'Ouest algérien, je peut te citer la famille Bouchnak , la famille Kheladi ....dont une partie a quitté l'Algérie pour s'installer au Maroc et devenir marocains avec le temps.
          .


          Nul n’est plus désespérément esclave, que ceux faussement convaincus d’être libres"-JWVG

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          • #6
            H'bibna Arayzon labess 3lik .

            Wa Allah ra7met Rabi.Allah I3eychèk.

            il se trouve qu'il y plein de familles comme celle de Mr Gaouar dans l'Ouest algérien,je peut te citer la famille Bouchnak , la famille Kheladi ....dont une partie a quitté l'Algérie pour s'installer au Maroc et devenir marocains avec le temps.
            .

            Ma mère est d'origine Tlemcenienne et est une cousine par alliance des Gaouar.
            Des Marocains d'origine Algérienne il y en à un paquet au Maroc,Mourad Chérif (ex ONA),Bensallah (groupe Bensallah_Comptoir metallurgique entre autre) etc...

            A+.
            La pire chose pour l'Homme, serait qu'il meurt idiot.
            De grâce épargnez-moi la prolixe, la syntaxe et la chiffrerie à tout va
            .
            Merci.
            " TOUCHE PAS A MA NAPPE ALBIENNE "

            Commentaire


            • #7
              café connu que dans la région de Tlemcen.l'Algerois c'est plutôt Niziére.
              l'est et le sud connais pas.

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              • #8
                oui Gaouar et son concepteur ,on savait qu'ils etaient d'origine algerienne mais adoptés par le Maroc.

                Commentaire


                • #9
                  oui Gaouar et son concepteur ,on savait qu'ils etaient d'origine algerienne mais adoptés par le Maroc.

                  Ouais , adoptés...et voici comment :

                  http://www.telquel-online.com/140/eco_sujet_140.shtml
                  Dernière modification par ould omar, 06 mai 2010, 00h15.

                  Commentaire


                  • #10
                    je me rappele tres bien de gaouar et cafeto depuis que j'etais ptit.

                    Commentaire


                    • #11
                      http://www.institutmustaphagaouar.org/


                      eux meme raconte leurs histoire...

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                      • #12
                        interessant intresssant cette marque "marocaine" gaouar

                        _______________________________________

                        Le breuvage est amer pour l’ex Roi du café en Afrique

                        Gaouar, le torréfacteur, sonne toujours deux fois. Une première à la porte des tribunaux marocains, mais trop souvent habités par des sourds. La deuxième aux colonnes d’un palais de justice américain.

                        Au Maroc, la famille Gaouar est au cœur de l’une de ces sagas judiciaires, interminables et à tiroirs, qui, pour le fun, ne fait pas regretter que les juges existent.
                        Le feuilleton commence en 1956 quand Mustapha Gaouar, un algérien dont les origines familiales se noient dans le café, débarque au Maroc, à Oujda. Sans vouloir chagriner quiconque, remarquons que le Maroc sent encore la chaude haleine de la tutelle française et que l’Algérie est carrément un département où flotte le tricolore.

                        Bref, l’objectif de ce malin Mustapha est de conquérir le marché marocain du café. Pour toute l’Afrique il rêve d’être le roi du kawa. Le royaume chérifien, et enchanté, lui porte chance, puisque très vite les cafés Gaouar deviennent des leaders dignes de gringos. Couleur café… Sans doute mais en 1980, le sucre qui va avec le petit noir colle un terrible diabète à l’habile Mustapha.
                        Le temps de se refaire une santé, puis de léguer son business à ses fils, Gaouar fait entrer deux sociétés dans son capital, Promocaf, firme spécialisée dans le négoce de café et Ennasr dans la torréfaction, boîtes représentées par Omar Berrada, un expert comptable.
                        le café empoisonné

                        Comptable peut-être mais expert, c’est moins sûr puisque le florissant pactole commence à se tarir. En 1982, Mustapha Gaouar, que le diabète n’a pas rendu aveugle, tente un « coup de poker » pour sauver sa maison. Il fait cadeau de son activité de torréfaction à son associé Berrada. En échange ce dernier s’engage à s’approvisionner exclusivement chez Gaouar.
                        De ce café les grains sont-ils trop verts et bon pour un goujat ? Omar Berrada, selon les entrepreneurs algériens, ne respecte pas l’accord… Et, furieux, les enfants de Mustapha, relancent en 1985 une autre entreprise de torréfaction. Le ping-pong judiciaire commence avec un Omar Berrada qui porte plainte pour concurrence illégale. Avec cette clairvoyance qui est bien connue et cette douceur quasi maternelle, en 1985 le tribunal marocain jettent le père Mustapha et les deux frères, Kamal et Mounir en prison. Un peu fort de café !

                        Pour sortir ses fistons des geôles, le patriarche Gaouar est contraint de signer un accord qui lui interdit, pour lui, sa famille et leur descendance, le tout à vie, de torréfier au Maroc. À croire que les juges marocains n’aiment pas tous les algériens ? Dépités, mais surtout ruinés, les Gaouar s’installent en France. Seul, Mustapha, peu rancunier, reste au Maroc et décèdera en janvier 2004, entouré de ses enfants en France.

                        La difficulté qu’il y a à avaler une couleuvre vous fait parfois faire de drôles de choses… Ainsi, en 1998, la fratrie Gaouar relance la vendetta devant le tribunal de Casablanca. L’excellent Omar Berrada a-t-il changé de talisman ? Il commence à perdre ses procès, d’une juridiction l’autre, y compris devant la Cour suprême ! Les magistrats reconnaissent que la famille a subi un préjudice et mandate des experts pour l’estimer financièrement. Manque de chance, les experts en question (ont-ils lu un présage dans le marc de café ?), répondent à une question que personne ne leur pose et déclarent « il n’y a pas de préjudice ».
                        Circulez, il n’y a rien à moudre

                        Craignant néanmoins de devoir dédommager les Gaouar, Omar Berrada, vend en 2002 et contre 30 jolis millions de dollars sa société Ennasr. C’est Kraft Foods, la multinationale américaine qui fait le chèque. En décembre 2006, puisque les Gaouar sont également français, le grand Dominique de Villepin, Premier ministre, fait inscrire la cause des torréfacteurs lésés sur la liste du contentieux franco marocain.
                        Villepin ou pas, « En tout cas, il s’est avéré que l’ambassade de France ne nous a été d’aucun secours : nous n’avons plus eu de nouvelles de leur part jusqu’à entrer en contact avec le nouveau Premier ministre François Fillon », nous dit Mounir Gaouar. En bon pilote discipliné, genre « 24 Heures du Mans », ce dernier prend le relai comme l’atteste ce document du cabinet Fillon en date du 1er octobre 2008, que Bakchich s’est procuré : « Vos préoccupations ont retenu l’attention de Monsieur François Fillon qui m’a chargé de transmettre votre correspondance à Monsieur Bernard Kouchner…. » C’est là que l’affaire bloque, allez donc demander l’aide de BK si vous n’êtes pas gabonais !

                        Le 27 février 2009 un courrier du cabinet de François Fillon informe nos torréfacteurs : « J’ai le regret de vous informer qu’il n’est malheureusement pas possible de réserver une suite favorable à votre dossier ». Merci qui ?

                        Reste aux Gaouar la procédure judiciaire entamée contre Kraft Foods. Depuis 2002, la famille réclame 48 millions de dollars à Omar Berrada et à Kraft en s’appuyant sur la décision de la justice marocaine qui, au bout du compte, a donné raison aux plaignants. Le grabuge remonte à la maison-mère ainsi, dans le chapitre « Procédures judiciaires en cours » de son rapport annuel 2003, le groupe Kraft Foods International réserve un joli paragraphe à l’affaire Gaouar. La multinationale est informée de la somme réclamée par la famille à Omar Berrada. Mais elle indique que, lors de la vente d’Ennasr à Kraft, ce dernier n’a pas fait part au groupe des poursuites judiciaires engagées par les Gaouar…

                        Pour les fils de Mustapha, le breuvage est trop amer, pour eux Kraft Foods joue les naïf tout en prenant fait et cause pour Omar Berrada. Botte secrète, puisque le tribunal de Casablanca a fini par admettre que l’interdiction « à vie » de torréfier, prise par les premiers juges marocains est « une atteinte aux droits de l’homme » (cause sacrée au Maroc). Le clan Gaouar va maintenant poursuivre Kraft Foods, pour ce motif, devant les juges des Étas-Unis. « Atteinte aux droits de l’homme ! », c’est vrai qu’au pays de Bush on en connait également un rayon.
                        « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

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                        • #13
                          Je ne connais pas ce café...

                          Quelqu'un connait ?
                          _______________________
                          ________
                          gawar etait une societe algerienne et ses managers les gawars family sont des tlemceniens de souche qui se sont expatries au maroc apres l'independance a cause du socialisme de ben bella
                          ils ont d'ailleurs optes pour la nationnalite marocaine ,ils possedent toujours des biens a tlemcen notament des fermes
                          qui leurs ont ete restitues apres la nationalisations des terres par boumediene
                          Tout systeme logique est nécéssairement incomplet

                          Gödel

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                          • #14
                            Je ne connais pas ce café...

                            Quelqu'un connait ?
                            Oui. Il était très connu à Tlemcen et pratiquement toute la ville allait chez Gaouar tant son café était bon. Et je ne te parle pas de l'odeur dans le quartier, un ravissement pour les sens.

                            Un torréfacteur qui connaissait vachement bien son métier.


                            Craignant néanmoins de devoir dédommager les Gaouar, Omar Berrada, vend en 2002 et contre 30 jolis millions de dollars sa société Ennasr.
                            Ca ne tient pas trop la route comme raisonnement puisque Kraft est subrogataire des droits et devoirs de Berrada. A moins qu'il n'ait exonéré l'acheteur mais alors il reste responsable. Donc, vente ou pas vente, il sera, in fine, celui qui sortira l'argent s'il est condamné. Au cas où Kraft n'aurait pas été exonéré, il garde la possibilité de se retourner contre Berrada (j'ai expliqué super vite avec pleins de raccourcis)
                            Botte secrète, puisque le tribunal de Casablanca a fini par admettre que l’interdiction « à vie » de torréfier, prise par les premiers juges marocains est « une atteinte aux droits de l’homme » (cause sacrée au Maroc). Le clan Gaouar va maintenant poursuivre Kraft Foods, pour ce motif, devant les juges des Étas-Unis. « Atteinte aux droits de l’homme ! », c’est vrai qu’au pays de Bush on en connait également un rayon.
                            C'est plutôt une atteinte aux droits de la concurrence. Le dossier est nettement plus solide sur cette base-là.

                            Attaquer aux US au motif d'une atteinte aux droits de l'homme n'a pas beaucoup de sens et risque fort de ne pas aboutir.
                            « N’attribuez jamais à la malveillance ce qui s’explique très bien par l’incompétence. » - Napoléon Bonaparte

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                            • #15
                              De nombreuses familles tlémçeniennes avaient migré au Maroc dès 1830, à Oujda Taza et surtout Fès.
                              Ces familles ayant les mêmes origines(arabo-andalouses) et les même codes de citadinité se sont très bien intégrés.
                              Maintenant c'est de vrais marocains, mais gardent des contact avec leur terre d'origine.

                              C'est le cas pour la famille Gawar qui a crée une des premières marques marocaines de café.

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