L'enquête ouverte sur les 800 millions de dollars dépensées dans le congrès du gaz à Oran ont révélé l'implication de l"ex DG interimaire de la Sonatrach
Des sources bien informées ont révélé à Echorouk que la décision du président Bouteflika de ne pas titulariser F. Abdallah au poste de directeur général de la Sonatrach, la compagnie qu’il avait gérée comme intérimaire, et son éviction de son poste de directeur de la branche « Laval » des infrastructures de Sonatrach, est venue sur la base de dossiers et d’investigations, qui sont toujours en cours, sur la gestion de la branche « Laval » infrastructures. Mais les résultats des enquêtes préliminaires ouvertes sur le budget du congrès du gaz ont décidé du sort du directeur.
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En effet le budget investit dans ce congrès a consommé le double du budget initial estimé à 400 millions de dollars. Selon nos sources, ces investigations détermineront les responsabilités dans la dilapidation de deniers publics.
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Le coût du congrès du gaz et qui a atteint les 800 millions de dollars n’est pas la seule raison qui a contribué à l’éviction du directeur général par intérim de deux postes en même temps, mais aussi les délais qui n’ont pas été respectés y ont été pour beaucoup amenuisant ainsi ses chances de la titulariser dans son poste qui lui été destiné.
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Les enquêtes préliminaires sur le coût du congrès du gaz à Oran avaient été déclenchées bien avant la tenue du congrès, c'est-à-dire dés lors que la présidence et le premier ministère avaient été informés que le budget avait doublé et que les délais n’avaient pas été respectés. Mais pour ne pas hypothéquer la tenue de ce congrès mondial, les enquêteurs délibérément laissé la tenue du congrès et avaient reporté les investigations jusqu’ à l’après congrès.
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Ce qui a impliqué la grande responsabilité de ceux qui étaient chargés de la réalisation des infrastructures du congrès du gaz, c’était les prix adoptés par les entreprises en charge des travaux, sachant que la réalisation du « méridien » dans tous les pays du monde ne coûte qu’entre 400 à 500 millions de dollars, alors sa réalisation en Algérie a coûté plus de 800 millions de dollars.
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Le budget exorbitant alloué pour le congrès n’est pas la seule raison de l’ouverture de l’enquête, mais aussi toutes les infrastructures réalisées par la branche « Laval » du fait que les sociétés étrangères qui avaient réalisé la salle et l’hôtel du congrès à Oran, étaient les mêmes à avoir acquis des marchés semblables par le passé, ce qui veut dire que le même scénario du congrès d’Oran et qui a coûté des milliards est très envisageable.
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La mauvaise gestion poursuit toujours un nombre de responsable de la branche « Laval », que ce soit en terme de transactions signées dans le passé au vu des enquêtes ouvertes par les services compétents dans les dossiers transactions, que ce soit celles signées du temps où F. Abdelhafid occupait le poste de directeur de la branche, ou bien lorsqu’il était dernièrement au poste de directeur général intérimaire de la Sonatrach.
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echourouk
Des sources bien informées ont révélé à Echorouk que la décision du président Bouteflika de ne pas titulariser F. Abdallah au poste de directeur général de la Sonatrach, la compagnie qu’il avait gérée comme intérimaire, et son éviction de son poste de directeur de la branche « Laval » des infrastructures de Sonatrach, est venue sur la base de dossiers et d’investigations, qui sont toujours en cours, sur la gestion de la branche « Laval » infrastructures. Mais les résultats des enquêtes préliminaires ouvertes sur le budget du congrès du gaz ont décidé du sort du directeur.
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En effet le budget investit dans ce congrès a consommé le double du budget initial estimé à 400 millions de dollars. Selon nos sources, ces investigations détermineront les responsabilités dans la dilapidation de deniers publics.
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Le coût du congrès du gaz et qui a atteint les 800 millions de dollars n’est pas la seule raison qui a contribué à l’éviction du directeur général par intérim de deux postes en même temps, mais aussi les délais qui n’ont pas été respectés y ont été pour beaucoup amenuisant ainsi ses chances de la titulariser dans son poste qui lui été destiné.
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Les enquêtes préliminaires sur le coût du congrès du gaz à Oran avaient été déclenchées bien avant la tenue du congrès, c'est-à-dire dés lors que la présidence et le premier ministère avaient été informés que le budget avait doublé et que les délais n’avaient pas été respectés. Mais pour ne pas hypothéquer la tenue de ce congrès mondial, les enquêteurs délibérément laissé la tenue du congrès et avaient reporté les investigations jusqu’ à l’après congrès.
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Ce qui a impliqué la grande responsabilité de ceux qui étaient chargés de la réalisation des infrastructures du congrès du gaz, c’était les prix adoptés par les entreprises en charge des travaux, sachant que la réalisation du « méridien » dans tous les pays du monde ne coûte qu’entre 400 à 500 millions de dollars, alors sa réalisation en Algérie a coûté plus de 800 millions de dollars.
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Le budget exorbitant alloué pour le congrès n’est pas la seule raison de l’ouverture de l’enquête, mais aussi toutes les infrastructures réalisées par la branche « Laval » du fait que les sociétés étrangères qui avaient réalisé la salle et l’hôtel du congrès à Oran, étaient les mêmes à avoir acquis des marchés semblables par le passé, ce qui veut dire que le même scénario du congrès d’Oran et qui a coûté des milliards est très envisageable.
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La mauvaise gestion poursuit toujours un nombre de responsable de la branche « Laval », que ce soit en terme de transactions signées dans le passé au vu des enquêtes ouvertes par les services compétents dans les dossiers transactions, que ce soit celles signées du temps où F. Abdelhafid occupait le poste de directeur de la branche, ou bien lorsqu’il était dernièrement au poste de directeur général intérimaire de la Sonatrach.
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echourouk
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