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Madinat Al Hareer (City Of Silk)
Après avoir très, très méticuleusement étudié les multitudes options qui s’offraient à lui afin de planifier convenablement sa mutation pour basculer définitivement sur un avenir fondé sur l’économie de marché, du savoir et de la connaissance. Le 27 Juillet 2008, le gouvernement du Koweït a approuvé le projet de création d’une colossale mégalopole avec une première part du financement du projet qui provient de l'excédent budgétaire au cours des années 2007 et 2008. Pour faire face à la pression démographique exponentielle qui se précise, au manque de logements de plus en plus alarment, à la saturation déjà quasi-totale des infrastructures et des moyens de transports actuelles existants, à une recrudescence d’anarchie urbanistique. La construction sur le site retenu est dors et déjà entamée. Ce qui se précise à travers les ponts, les autoroutes et les routes étant prévue comme infrastructures de base pour faciliter la construction future des principales structures au sein de la ville en devenir.
Ce lieu sera relié à Kuwait City par un pont immense de 23,5 kilomètres de long faisant la jonction entre les deux baies et deviendra au fur et à mesure de l’avancement de son émergement au fil du temps le nouveau siège du pouvoir central, du siège administratif, des centres financiers, des centres d’affaires et de services, de grands pôles universitaires, de pôles de recherche, de nouveaux quartiers d’habitations, de pôles industriels ainsi que de tous les autres services d’usage par une multitudes d’hôpitaux, de centres dédiés à la culture et aux divertissements, de parcs naturels et de villégiature. Le tout irrigué par des transports en commun quasi autonomes, intelligents. Par un nouvel aéroport international ainsi qu'un gigantesque port en eau profonde pour l’ouverture sur le grand marché mondial. La cité sera totalement interconnectée aux autres membres du CCG qui sont l'Arabie saoudite, les Émirats arabes unis, le Qatar, Bahreïn, Oman qui font communément tous un travail identique en parallèle avec un maillage de liaisons ultras modernes autoroutières, de lignes de trains très grande vitesse, ainsi qu’aussi bien aériennes et portuaires.
L’objectif primordial à présent est d’emplir pleinement son véritable rang dans le Conseil de coopération des États arabes du Golfe (CCG). Les maitres mots de se seul crédo sont désormais : «Organiser, planifier, structurer, anticiper son développement de l’après pétrole constamment au vu de ses besoins immédiats proches et futurs sur de très, très longues échéances ».
Comme bien d’autres grandes capitales de différentes nations à travers le monde qui transforment leurs grandes villes côtières pour précipiter l’avenir. Le Koweït par cette cité va se transfigurer littéralement au travers d’une voie plus radieuse, plus fabuleuse que jamais pour faire son rattrapage sur tous ses autres complices régionaux qui sont simultanément l'Arabie saoudite, les Émirats arabes unis, le Qatar, Bahreïn et Oman. Préfigurant ce que sera assurément tout autant la futur Jeddah, Abou Dhabi, Doha, ou bien Manama dans un avenir imminent. 20 ans, 30 ans c’est déjà aujourd’hui.
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Après avoir très, très méticuleusement étudié les multitudes options qui s’offraient à lui afin de planifier convenablement sa mutation pour basculer définitivement sur un avenir fondé sur l’économie de marché, du savoir et de la connaissance. Le 27 Juillet 2008, le gouvernement du Koweït a approuvé le projet de création d’une colossale mégalopole avec une première part du financement du projet qui provient de l'excédent budgétaire au cours des années 2007 et 2008. Pour faire face à la pression démographique exponentielle qui se précise, au manque de logements de plus en plus alarment, à la saturation déjà quasi-totale des infrastructures et des moyens de transports actuelles existants, à une recrudescence d’anarchie urbanistique. La construction sur le site retenu est dors et déjà entamée. Ce qui se précise à travers les ponts, les autoroutes et les routes étant prévue comme infrastructures de base pour faciliter la construction future des principales structures au sein de la ville en devenir.
Ce lieu sera relié à Kuwait City par un pont immense de 23,5 kilomètres de long faisant la jonction entre les deux baies et deviendra au fur et à mesure de l’avancement de son émergement au fil du temps le nouveau siège du pouvoir central, du siège administratif, des centres financiers, des centres d’affaires et de services, de grands pôles universitaires, de pôles de recherche, de nouveaux quartiers d’habitations, de pôles industriels ainsi que de tous les autres services d’usage par une multitudes d’hôpitaux, de centres dédiés à la culture et aux divertissements, de parcs naturels et de villégiature. Le tout irrigué par des transports en commun quasi autonomes, intelligents. Par un nouvel aéroport international ainsi qu'un gigantesque port en eau profonde pour l’ouverture sur le grand marché mondial. La cité sera totalement interconnectée aux autres membres du CCG qui sont l'Arabie saoudite, les Émirats arabes unis, le Qatar, Bahreïn, Oman qui font communément tous un travail identique en parallèle avec un maillage de liaisons ultras modernes autoroutières, de lignes de trains très grande vitesse, ainsi qu’aussi bien aériennes et portuaires.
L’objectif primordial à présent est d’emplir pleinement son véritable rang dans le Conseil de coopération des États arabes du Golfe (CCG). Les maitres mots de se seul crédo sont désormais : «Organiser, planifier, structurer, anticiper son développement de l’après pétrole constamment au vu de ses besoins immédiats proches et futurs sur de très, très longues échéances ».
Comme bien d’autres grandes capitales de différentes nations à travers le monde qui transforment leurs grandes villes côtières pour précipiter l’avenir. Le Koweït par cette cité va se transfigurer littéralement au travers d’une voie plus radieuse, plus fabuleuse que jamais pour faire son rattrapage sur tous ses autres complices régionaux qui sont simultanément l'Arabie saoudite, les Émirats arabes unis, le Qatar, Bahreïn et Oman. Préfigurant ce que sera assurément tout autant la futur Jeddah, Abou Dhabi, Doha, ou bien Manama dans un avenir imminent. 20 ans, 30 ans c’est déjà aujourd’hui.
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