Un appareil qui retranscrit du texte en braille
Le «Top-braille», un appareil de poche permettant la lecture instantanée en braille ou en vocal de n'importe quel texte imprimé en sept langues différentes, a remporté à l'unanimité le Concours Lépine 2010. A partir de tout document écrit (un livre, une revue ou une notice de médicaments), le boîtier à lecture optique retranscrit un texte en braille pour les aveugles et malvoyants grâce à des picots qui surgissent au fur et à mesure de la lecture.
Il est également doté d'une fonction audio pour transformer le texte en son. L'innovation de Raoul Parienti a été choisie à l'unanimité par les 47 membres du jury, selon l'AFP. L'appareil lit actuellement des textes en sept langues : français, anglais, espagnol, italien, allemand, portugais et néerlandais, car le premier donateur est Hollandais.
Cependant, son concepteur aimerait bien le décliner dans toutes les langues : pourquoi pas en hiéroglyphes ou en chinois ? «C'est un problème de budget et de temps : on estime à 300 000 euros le développement pour l'arabe par exemple. Nous attendons des investisseurs ou des sponsors pour le développer», a-t-il-dit.
InfoSoir
Le «Top-braille», un appareil de poche permettant la lecture instantanée en braille ou en vocal de n'importe quel texte imprimé en sept langues différentes, a remporté à l'unanimité le Concours Lépine 2010. A partir de tout document écrit (un livre, une revue ou une notice de médicaments), le boîtier à lecture optique retranscrit un texte en braille pour les aveugles et malvoyants grâce à des picots qui surgissent au fur et à mesure de la lecture.
Il est également doté d'une fonction audio pour transformer le texte en son. L'innovation de Raoul Parienti a été choisie à l'unanimité par les 47 membres du jury, selon l'AFP. L'appareil lit actuellement des textes en sept langues : français, anglais, espagnol, italien, allemand, portugais et néerlandais, car le premier donateur est Hollandais.
Cependant, son concepteur aimerait bien le décliner dans toutes les langues : pourquoi pas en hiéroglyphes ou en chinois ? «C'est un problème de budget et de temps : on estime à 300 000 euros le développement pour l'arabe par exemple. Nous attendons des investisseurs ou des sponsors pour le développer», a-t-il-dit.
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