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l a été choisi pour défendre la littérature francophone au Etats-Unis
L’écrivain algérien Boualem Sansal maintient ses positions contre toute surveillance en Algérie, défendant le contenu de ses romans particulièrement son dernier livre intitulé « le village de l’allemand »(2008) et qui avait fait beaucoup de bruit en Algérie et à l’extérieur au moment de sa sortie.
Il l’a d’ailleurs évoqué dans une de ces sorties tonitruantes bien connu, à travers un entretien publié récemment dans la revue juive d’expression anglaise « J.C », dans lequel il est revenu sur ses débuts dans l’écriture, la parution de son premier roman « le serment des barbares » (1999), puis la surveillance dont il a fait l’objet particulièrement avec la publication de son livre « Poste restante : Alger, Lettre de colère et d'espoir à mes compatriotes »(2006). Sansal a, en effet, évoqué les pressions qu’il subit déclarant « ce n’est pas à moi de quitter le pays, c’est aux dictateurs de partir, ce sont eux qui ont un comportement inconvenant et non moi ». L’écrivain n’a pas mâché ses mots pour faire de sa colère de voir ses travaux littéraires faire l’objet de restrictions. Défendant son livre « le village de l’allemand » dont l’histoire tourne autour d’un ancien nazi qui arrive en Algérie dans les années cinquante et rejoint les rangs de l’armée de libération nationale, Sansal indique qu’il avait mis beaucoup de temps avant de comprendre commet ce genre de choses étaient gérées ».
Les déclarations de l’écrivain suscitent toujours autant de réactions parce qu’elles bousculent l’ordre établi en Algérie.
Sansal a, par ailleurs, été choisi pour faire partie d’un groupe constitué de cinq autres écrivains francophones, dont l’écrivain congolais Alain Mabanckou, qui participera la semaine prochaine à des débats avec des écrivains américains, des spécificités de la littérature francophone et de son importance au niveau internationale.
El Khabar
L’écrivain algérien Boualem Sansal maintient ses positions contre toute surveillance en Algérie, défendant le contenu de ses romans particulièrement son dernier livre intitulé « le village de l’allemand »(2008) et qui avait fait beaucoup de bruit en Algérie et à l’extérieur au moment de sa sortie.
Il l’a d’ailleurs évoqué dans une de ces sorties tonitruantes bien connu, à travers un entretien publié récemment dans la revue juive d’expression anglaise « J.C », dans lequel il est revenu sur ses débuts dans l’écriture, la parution de son premier roman « le serment des barbares » (1999), puis la surveillance dont il a fait l’objet particulièrement avec la publication de son livre « Poste restante : Alger, Lettre de colère et d'espoir à mes compatriotes »(2006). Sansal a, en effet, évoqué les pressions qu’il subit déclarant « ce n’est pas à moi de quitter le pays, c’est aux dictateurs de partir, ce sont eux qui ont un comportement inconvenant et non moi ». L’écrivain n’a pas mâché ses mots pour faire de sa colère de voir ses travaux littéraires faire l’objet de restrictions. Défendant son livre « le village de l’allemand » dont l’histoire tourne autour d’un ancien nazi qui arrive en Algérie dans les années cinquante et rejoint les rangs de l’armée de libération nationale, Sansal indique qu’il avait mis beaucoup de temps avant de comprendre commet ce genre de choses étaient gérées ».
Les déclarations de l’écrivain suscitent toujours autant de réactions parce qu’elles bousculent l’ordre établi en Algérie.
Sansal a, par ailleurs, été choisi pour faire partie d’un groupe constitué de cinq autres écrivains francophones, dont l’écrivain congolais Alain Mabanckou, qui participera la semaine prochaine à des débats avec des écrivains américains, des spécificités de la littérature francophone et de son importance au niveau internationale.
El Khabar