Algérie: 1,5 milliard d'euros pour la rénovation de 320 hôpitaux

[omar]

Enfin une bonne initiative: consacré le 1% de l'enveloppe budgétaire pour la rénovation des hôpitaux.

Montant de 1,5 milliards qui risque de doublé lorsque les travaux seront terminés, mais c'est toujours mieux que rien.
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ALGER - L'Algérie a décidé de consacrer 160 milliards de dinars (1,5 milliard d'euros) pour rénover 320 hôpitaux publics, a annoncé lundi à Alger le ministre de la Santé, de la population et de la réforme hospitalière, Saïd Barkat.

"Il est inadmissible que les Algériens continuent à se soigner dans des conditions difficiles", a déclaré M. Barkat au cours d'une visite dans un hôpital d'Alger, selon l'agence APS.

L'Algérie prévoit des investissements de 20 milliards d'euros entre 2009 et 2025 pour accroître ses infrastructures sanitaires, moderniser son système de santé et pallier la vétusté des hôpitaux saturés où l'hygiène et l'accueil sont parfois déplorables.

Les hôpitaux algériens sont en général vétustes et surchargés, et les médecins se plaignent souvent des mauvaises conditions de travail et d'accueil des malades. Ces derniers peuvent attendre parfois plusieurs mois avant d'obtenir un rendez-vous pour effectuer une opération chirurgicale dans un hôpital public.

(©AFP / 10 mai 2010 17h44)

[nacer-eddine06]

pour commencer passant les salaires d un pourcentage de 50 %
et qu ils acceptent les affectations devolues

[Maghreb-United]

bonne initiative de la part du gouvernement Algérien

[ETTARGUI]

Il devrait commence par équiper et doter en personnel spécialisé les hôpitaux du sud, la région la plus défavorisée en terme d'équipements sanitaires et d'encadrement. Cette situation se répercute d'abord sur les patients , obligé de se déplacer à Alger ou Oran, le plus souvent accompagnés d'un proche obligé lui de débourser des sommes non remboursées (billet d'avion, hôtel, restauration...) Un vrai parcours de combattant. Les plus éprouvés sont les malades atteints de cancer, obligés de rester entre deux cures dans des conditions d'hébérgement des plus déplorables.
Cela se répercute aussi sur le fonctionnement des grands hôpitaux obligés de faire face à l'afflux de malades qui auraient pu être soignés chez eux si les conditions le permettaient.

Il s'agit donc d'une refonte de la politique de santé dans sa globalité et non d'opérations ponctuelles réglant une partie du problème sans rien régler en définitive.

M.Aberkane, du temps où il était ministre de la santé, avait un programme très ambitieux, il voulait hisser l'hôpital algérien, malade et inadapté aux exigences d'une médecine moderne, au niveau des hôpitaux des pays développés... Il a été débarqué... Son programme est resté lettre morte.