A SI HADJ
Le colonel Amirouche : la Bleuite ? Parlons-en On ne peut parler d’Amirouche en occultant volontairement ou involontairement le « complot des bleus » ou la bleuite. Mais de là à assimiler purement et simplement cet homme dont la valeur est reconnue inconstatablement tant au plan de l’art de la guérilla que du comportement humain, du style de commandement, aussi bien du coté des hommes qui ont formé ses troupes que de celui de ses ennemis jugés : les chasseurs alpins et les régiments d’infanterie qui ont eu à l’affronter sur le terrain. Nous essayons d’analyser objectivement ces quelques extraits de militaires français du 6° BCA de la première et 3° compagnies stationnées à Ait Hichem et Iferhounene dans la haute Kabylie. Mais de là à pendre cet homme de la classe supérieure en intelligence et en courage et bravoure pour un vulgaire criminel, c’est faire preuve de façon délibérée d’ignorance totale ou à tout le moins se laisser entrainer sur le chemin de la contrevérité, du mensonge et donc de la calamité. si nous devions nous représenter l’ouvre et la vie de cet illustre personnage , mystérieux à la fois et miraculeux., la bleuite même s’il y a beaucoup à dire , à commenter , à analyser , sous toutes les facettes au plan de la direction des opérations en temps de guerre que du coté prise de décision cela ne représente que le 1/5 de l’iceberg que constitue l monumentale et grandiose œuvre de cet illustre personnage qui force l’admiration aussi bien de ses compagnons que de ses ennemis jurés. Il ira jusqu’’ à susciter des jalousies au sein de son camp , de personnes de éme rang que lui mais pour des raisons de respect de la mémoire, je n’irai pas jusqu’à dévoiler le fond de ma pensée, d’autant que cela n’influera pas de façon fondamentale le résultat de la réflexion que nous souhaiterions développer ici. La carrure de ce géant de la guérilla qu’est celle du colonel Amirouche, fait que d’un point de vue des faits de guerre cette purge que l’on a voulu amplifier pour en évaluer la comptabilité à 3 ou 4 voire même 5 000 hommes, n’était s’elle était réellement prouvée, qu’un epsilon devant l’ampleur des dégâts et des massacres commis par l’armée françaises et leurs supplétifs. Ce ci étant, une bavure est une bavure, une erreur est une erreur, et pour clore le dossier on en exprime des regrets en reconnaissant sa faute. Mais il est du devoir de l’historien et surtout des témoins qui en constituent et en alimentent les sources surs et rares de s’en tenir à la stricte vérité. Il ressort en fait des éléments contradictoires recueillis tant coté compagnons survivants que coté services spéciaux et archives françaises que ce nombre ne dépasserait guère 300 entre ceux exécutés effectivement, il est vrai de façon atroce et après des tortures qui n’ont rien en envier aux méthodes des tristement célèbres des parachutistes du général Massu et harkis zélés, ceux rares, qui étaient libérés, soit après avoir purgé les peine soit encore après que le complot ait été découvert, et d’autres emprisonnés puis libérés soit après que le complot ait été dévoilé ou après avoir prouvé leur innocence. Comparés en tous cas à ces foudroyages de villages par le napalm, les roquettes, et artillerie, parfois suivis d’incendies, cette action que les services français voulaient amplifier à des fins de propagande ne représentait en fait, rien devant ses massacres collectifs. c’est dire que le colonisateur affichait volontairement l’air de croire et faire admettre aux indigènes qu’en matière de torture et de massacres collectifs , il en avait le monopole ; comme si mourir par les mains de Bigeard , d’Aussures, de Massu , de Leger, ou autres n’était pas haïssable , punissable , car ne mourraient que ceux qui le méritaient même s’ils étaient des femmes et des enfants, qu’au pire des cas on classait dans la rubrique des dégâts collatéraux qui , à cette époque ne nécessitait point de regrets ou d’ excuses officielles , de sujets appartenant un sous peuple,. Mais que ces actes commis par l’arme « du criminel Colonel » étaient à condamner, à diaboliser. Qu’en termes de propagandes seule la machine pacificatrice du colonisateur « civilisé » avait le droit et le privilège de provoquer des « dégâts collatéraux »En fait de dégâts collatéraux , il s’agissait de massacres collectifs d’enfants , de femmes et de vieillards. une contre action à l’intox des services secrets français ayant pour objectif d’annihiler l’action qui consistait à éliminer physiquement , a défaut de l’avoir vivant , un des chefs prestigieux du FLN , contre attaque radicale certes , extrémiste au plus mais pensée et exécutée dans le seul but de sauver la révolution d’une capitulation générale : qui déboucherait inéluctablement sur la pacification , l’asservissement oui ! De tout le peuple algérien., ultime résultat recherché par la métropole dans ce qu’elle nomme « une opération de maintien de l’ordre. Ce sacrifice suprême de mourir pour l’Algérie était admis par tout le peuple algérien ; des hommes et des hommes se sont sacrifiées pour sauver leur frères et qu’import puisque la mort est omniprésente en ces temps de guerre, de mourir par la balle ou le couteau de son frère ou de son ennemi, la mort collective étant programmée par le colonialisme des le moment où des bombardements aveugles et massifs sont monnaies courantes. L’occupation de l’Algérie par la force militaire a signé le glas pour tout le peuple algérien, et, mourir était pour tous une délivrance, car la faim, la torture, l’humiliation imposée par la France coloniale ne donnait aucun gout à cette vie « vous ne pouvez pas nous tuer car nous sommes déjà morts » il y a eu noyautage cela est certain, il y avait cette volonté folle de vouloir par tous les moyens éliminer ce héros qui a rendu la vie dure très dure non seulement aux stratèges français mais au simple soldat appelé sous les drapeaux dont certains ne reverront plus jamais leur douce France .les témoignages des hommes qui avaient eu le malheur pour certains de tomber nez à nez face à ses troupes , ne sont plus là pour dire qui était ce rebelle , « ce sanguinaire » qui défendait son peuple contre le colonialisme inique violent , inhumain génocidaire la question qui reste posée pour les générations à venir et qui interpelle les peuples ne trouvera jamais de réponse : peut- on défendre son peuple contre la domination d’une armée de pillards, de criminels, de violeurs en se gardant de blasphémer , de commettre des erreurs, ou tout simplement de se tromper de cible , par excès de méfiance imposée par le mensonge que distille celui qui vient en brigand priver tout un peuple de sa dignité , de sa vie ? Existerait-t-il une manière, saine, civilisée, qui ne s’apparente « au terrorisme » pour libérer les femmes et les enfants de ces peuples indigènes de l’emprise impérialiste ? Si Amirouche a vécu la bleuite, il faut dire qu’il y avait été contraint. Le contexte historique qu’a traversé la révolution ne pouvait épargner le meilleur stratège du monde à voir même au sein de ses propres rangs des ennemis potentiels tant la France avait exercé une pression sans commune mesure , sur de simples civils livrés pieds et poings liés dans des centres de concentrations à la faim , à la torture et aux viols , aux exécutions sommaires pour les transformer ,par le besoin biologique de survie en indicateurs ou harkis ,Amirouche lui, a du faire face pas seulement un mais plusieurs complots , dont l’unique objectif était d’attenter à sa vie. Le complot des bleus n’étaient en fait qu’une suite d’enchainements d’autres complots . Mais il est sur que le noyautage existait et s’il avait été amplifié , cela revenait au fait que l’armée coloniale dans l’impossibilités de vaincre cet irréductible guerrier s’est contrainte de recourir à des pratiques pour le moins peu héroïques mais qui font appel à une forte dose de ruse ,de lâcheté en tous cas pas à l’héroïsme et le courage .
Le colonel Amirouche : la Bleuite ? Parlons-en On ne peut parler d’Amirouche en occultant volontairement ou involontairement le « complot des bleus » ou la bleuite. Mais de là à assimiler purement et simplement cet homme dont la valeur est reconnue inconstatablement tant au plan de l’art de la guérilla que du comportement humain, du style de commandement, aussi bien du coté des hommes qui ont formé ses troupes que de celui de ses ennemis jugés : les chasseurs alpins et les régiments d’infanterie qui ont eu à l’affronter sur le terrain. Nous essayons d’analyser objectivement ces quelques extraits de militaires français du 6° BCA de la première et 3° compagnies stationnées à Ait Hichem et Iferhounene dans la haute Kabylie. Mais de là à pendre cet homme de la classe supérieure en intelligence et en courage et bravoure pour un vulgaire criminel, c’est faire preuve de façon délibérée d’ignorance totale ou à tout le moins se laisser entrainer sur le chemin de la contrevérité, du mensonge et donc de la calamité. si nous devions nous représenter l’ouvre et la vie de cet illustre personnage , mystérieux à la fois et miraculeux., la bleuite même s’il y a beaucoup à dire , à commenter , à analyser , sous toutes les facettes au plan de la direction des opérations en temps de guerre que du coté prise de décision cela ne représente que le 1/5 de l’iceberg que constitue l monumentale et grandiose œuvre de cet illustre personnage qui force l’admiration aussi bien de ses compagnons que de ses ennemis jurés. Il ira jusqu’’ à susciter des jalousies au sein de son camp , de personnes de éme rang que lui mais pour des raisons de respect de la mémoire, je n’irai pas jusqu’à dévoiler le fond de ma pensée, d’autant que cela n’influera pas de façon fondamentale le résultat de la réflexion que nous souhaiterions développer ici. La carrure de ce géant de la guérilla qu’est celle du colonel Amirouche, fait que d’un point de vue des faits de guerre cette purge que l’on a voulu amplifier pour en évaluer la comptabilité à 3 ou 4 voire même 5 000 hommes, n’était s’elle était réellement prouvée, qu’un epsilon devant l’ampleur des dégâts et des massacres commis par l’armée françaises et leurs supplétifs. Ce ci étant, une bavure est une bavure, une erreur est une erreur, et pour clore le dossier on en exprime des regrets en reconnaissant sa faute. Mais il est du devoir de l’historien et surtout des témoins qui en constituent et en alimentent les sources surs et rares de s’en tenir à la stricte vérité. Il ressort en fait des éléments contradictoires recueillis tant coté compagnons survivants que coté services spéciaux et archives françaises que ce nombre ne dépasserait guère 300 entre ceux exécutés effectivement, il est vrai de façon atroce et après des tortures qui n’ont rien en envier aux méthodes des tristement célèbres des parachutistes du général Massu et harkis zélés, ceux rares, qui étaient libérés, soit après avoir purgé les peine soit encore après que le complot ait été découvert, et d’autres emprisonnés puis libérés soit après que le complot ait été dévoilé ou après avoir prouvé leur innocence. Comparés en tous cas à ces foudroyages de villages par le napalm, les roquettes, et artillerie, parfois suivis d’incendies, cette action que les services français voulaient amplifier à des fins de propagande ne représentait en fait, rien devant ses massacres collectifs. c’est dire que le colonisateur affichait volontairement l’air de croire et faire admettre aux indigènes qu’en matière de torture et de massacres collectifs , il en avait le monopole ; comme si mourir par les mains de Bigeard , d’Aussures, de Massu , de Leger, ou autres n’était pas haïssable , punissable , car ne mourraient que ceux qui le méritaient même s’ils étaient des femmes et des enfants, qu’au pire des cas on classait dans la rubrique des dégâts collatéraux qui , à cette époque ne nécessitait point de regrets ou d’ excuses officielles , de sujets appartenant un sous peuple,. Mais que ces actes commis par l’arme « du criminel Colonel » étaient à condamner, à diaboliser. Qu’en termes de propagandes seule la machine pacificatrice du colonisateur « civilisé » avait le droit et le privilège de provoquer des « dégâts collatéraux »En fait de dégâts collatéraux , il s’agissait de massacres collectifs d’enfants , de femmes et de vieillards. une contre action à l’intox des services secrets français ayant pour objectif d’annihiler l’action qui consistait à éliminer physiquement , a défaut de l’avoir vivant , un des chefs prestigieux du FLN , contre attaque radicale certes , extrémiste au plus mais pensée et exécutée dans le seul but de sauver la révolution d’une capitulation générale : qui déboucherait inéluctablement sur la pacification , l’asservissement oui ! De tout le peuple algérien., ultime résultat recherché par la métropole dans ce qu’elle nomme « une opération de maintien de l’ordre. Ce sacrifice suprême de mourir pour l’Algérie était admis par tout le peuple algérien ; des hommes et des hommes se sont sacrifiées pour sauver leur frères et qu’import puisque la mort est omniprésente en ces temps de guerre, de mourir par la balle ou le couteau de son frère ou de son ennemi, la mort collective étant programmée par le colonialisme des le moment où des bombardements aveugles et massifs sont monnaies courantes. L’occupation de l’Algérie par la force militaire a signé le glas pour tout le peuple algérien, et, mourir était pour tous une délivrance, car la faim, la torture, l’humiliation imposée par la France coloniale ne donnait aucun gout à cette vie « vous ne pouvez pas nous tuer car nous sommes déjà morts » il y a eu noyautage cela est certain, il y avait cette volonté folle de vouloir par tous les moyens éliminer ce héros qui a rendu la vie dure très dure non seulement aux stratèges français mais au simple soldat appelé sous les drapeaux dont certains ne reverront plus jamais leur douce France .les témoignages des hommes qui avaient eu le malheur pour certains de tomber nez à nez face à ses troupes , ne sont plus là pour dire qui était ce rebelle , « ce sanguinaire » qui défendait son peuple contre le colonialisme inique violent , inhumain génocidaire la question qui reste posée pour les générations à venir et qui interpelle les peuples ne trouvera jamais de réponse : peut- on défendre son peuple contre la domination d’une armée de pillards, de criminels, de violeurs en se gardant de blasphémer , de commettre des erreurs, ou tout simplement de se tromper de cible , par excès de méfiance imposée par le mensonge que distille celui qui vient en brigand priver tout un peuple de sa dignité , de sa vie ? Existerait-t-il une manière, saine, civilisée, qui ne s’apparente « au terrorisme » pour libérer les femmes et les enfants de ces peuples indigènes de l’emprise impérialiste ? Si Amirouche a vécu la bleuite, il faut dire qu’il y avait été contraint. Le contexte historique qu’a traversé la révolution ne pouvait épargner le meilleur stratège du monde à voir même au sein de ses propres rangs des ennemis potentiels tant la France avait exercé une pression sans commune mesure , sur de simples civils livrés pieds et poings liés dans des centres de concentrations à la faim , à la torture et aux viols , aux exécutions sommaires pour les transformer ,par le besoin biologique de survie en indicateurs ou harkis ,Amirouche lui, a du faire face pas seulement un mais plusieurs complots , dont l’unique objectif était d’attenter à sa vie. Le complot des bleus n’étaient en fait qu’une suite d’enchainements d’autres complots . Mais il est sur que le noyautage existait et s’il avait été amplifié , cela revenait au fait que l’armée coloniale dans l’impossibilités de vaincre cet irréductible guerrier s’est contrainte de recourir à des pratiques pour le moins peu héroïques mais qui font appel à une forte dose de ruse ,de lâcheté en tous cas pas à l’héroïsme et le courage .
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