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Le Maroc dispose des ressources naturelles et de l'expertise scientifique qui le prédestine à occuper une place de leader dans le domaine des cultures sous serre, eu égard aux résultats très importants réalisés durant les deux dernières décennies, a indiqué l'enseignant-chercheur au complexe horticole d'Ait Melloul (Institut vétérinaire Hassan II), M. Abdelhak Hanafi *.
Au moment où le Maroc ne disposait dans les années 1980 que de 10 hectares, il compte aujourd'hui plus de 15 mille hectares, dont la grande partie se concentre dans la région Souss-Massa, a souligné M. Hanafi, dans un entretien à la MAP, à l'occasion du congrès international sur "les dernières avancées technologiques en cultures en sol et en hors-sol sous serre", qu'abrite la ville d'Agadir du 20 au 24 février.
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Couvrant 1000 ha aujourd'hui, la culture hydroponique connaît une large expansion au niveau national, notamment dans les régions Souss-Massa et Oued Eddahab-Lagouira (Sahara), où on produit notamment les pastèques et les tomates, a poursuivi M. Hanafi.
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Et de préciser que parmi les contraintes qui entravent le développement de ce nouveau type de cultures, on trouve la difficulté d'accès au sable artificiel importé de l'étranger, mettant en garde contre la possibilité d'introduction de virus par le biais de ce sable à même d'endommager les cultures nationales.
M. Hanafi a indiqué que les recherches effectuées par 7 pays méditerranéens dans le cadre d'un programme scientifique financé par l'Union européen ont montré qu'un type de sable se trouvant à l'embouchure d'Oued Souss pourrait servir d'alternative après sa désinfection, relevant que la Jordanie a, elle aussi, découvert une nouvelle option à savoir le sable extrait des roches volcaniques dans la région de Petra.
Extrait du portal de Menara
(*)Titulaire d'un DEA en entomologie à l'université de Jussieux (France) et d'un Master à l'université Minnesota (Etats-Unis), M. Hanafi est consultant de l'Organisation des Nations unies pour l'Alimentation et l'Agriculture (FAO) pour 16 pays.
Au moment où le Maroc ne disposait dans les années 1980 que de 10 hectares, il compte aujourd'hui plus de 15 mille hectares, dont la grande partie se concentre dans la région Souss-Massa, a souligné M. Hanafi, dans un entretien à la MAP, à l'occasion du congrès international sur "les dernières avancées technologiques en cultures en sol et en hors-sol sous serre", qu'abrite la ville d'Agadir du 20 au 24 février.
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Couvrant 1000 ha aujourd'hui, la culture hydroponique connaît une large expansion au niveau national, notamment dans les régions Souss-Massa et Oued Eddahab-Lagouira (Sahara), où on produit notamment les pastèques et les tomates, a poursuivi M. Hanafi.
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Et de préciser que parmi les contraintes qui entravent le développement de ce nouveau type de cultures, on trouve la difficulté d'accès au sable artificiel importé de l'étranger, mettant en garde contre la possibilité d'introduction de virus par le biais de ce sable à même d'endommager les cultures nationales.
M. Hanafi a indiqué que les recherches effectuées par 7 pays méditerranéens dans le cadre d'un programme scientifique financé par l'Union européen ont montré qu'un type de sable se trouvant à l'embouchure d'Oued Souss pourrait servir d'alternative après sa désinfection, relevant que la Jordanie a, elle aussi, découvert une nouvelle option à savoir le sable extrait des roches volcaniques dans la région de Petra.
Extrait du portal de Menara
(*)Titulaire d'un DEA en entomologie à l'université de Jussieux (France) et d'un Master à l'université Minnesota (Etats-Unis), M. Hanafi est consultant de l'Organisation des Nations unies pour l'Alimentation et l'Agriculture (FAO) pour 16 pays.
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