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Ingenieurs algeriens intervenant sur chantier de l'Autoroute Est-Ouest

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  • Ingenieurs algeriens intervenant sur chantier de l'Autoroute Est-Ouest

    reportage

    Tronçon Lakhdaria - Larbatache


  • #2
    Une femme au chantier en jupe?!
    Bizzarre

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    • #3
      t'appelles ça une jupe toi ?

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      • #4
        Oui, la dame portait une jupe.
        Vous n'avez qu'à la regarder une seconde fois cette vidéo.

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        • #5
          j'ai vu, c'est une robe ( en coton apparemment).........et alors ? pour un ingenieur superieur contrôleur.. je vois pas où est le problème

          des architectes femmes mettant des bottes durant une visite et portant une robe en tissu epais pas salissante..y en a plein et je vois pas où est la difficulté

          y a bien des ministres en costume Hugo Boss et chaussures de ville qui viennent dans des chantiers

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          • #6
            Y a Rajel Kaf Allah.
            La présence de personnelles quelque soit est régit par des normes de sécurité. À titre exemple, le port de casque, des chaussures de sécurité, des lunettes etc... sont obligatoires et c'est à la compagnie en question de fournir ce genre d'habillement.

            P.S1. La jupe risque de coincer dans une ferraille et la dame risque même de se blesser

            P.S.2: Le port des bottes de sécurité est OBLIGATOIRE.

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            • #7
              P.S1. La jupe risque de coincer dans une ferraille et la dame risque même de se blesser
              ah ..bon argument .

              y a un peu plus de risques en effet

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              • #8
                P.S1. La jupe risque de coincer dans une ferraille et la dame risque même de se blesser

                P.S.2: Le port des bottes de sécurité est OBLIGATOIRE.
                C'est comme le casque ou le masque, ca depends de la zone, il y'a plusieurs niveaux de sécu...

                Bien que pour cette dame, je pense qu'elle a du nous sortir "le grand jeu" pour la camera uniquement...

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                • #9
                  Rien de nouveau.

                  Je ne vois rien d,extraordinaire dans ce reportage. Les techniques présentées sont appliquées en Algérie depuis des lustres et sont connues par de simples chefs de chantiers. Je ne vois pas ou est le transfert.

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                  • #10
                    @musthad

                    @musthad

                    Effectivement le transfert de technologie n'est pas bien mis en exergue ici dans ce reportage.

                    Dans ce documentaire, la maitrise d'œuvre algérienne suit les travaux d'exécution effectués par les chinois ou les japonais (c'est l'objet de ce reportage).

                    La maitrise d'œuvre déléguée (les chinois ou japonais) exécute les travaux de réalisation proprement dite avec des sous traitants (sociétés algériennes ou autres)

                    La maitrise d'ouvrage (l'état) effectuera à la fin des taches de recette en les déléguant à des sociétés tierces (publics ou privés) pour vérifier et valider la conformité des travaux par rapport aux cahiers des charges.

                    Donc, si transfert de technologie il y a, ça devra concerner les aspects qui ne sont mis en œuvre que dans des projets de cette nature et de cette dimension et ampleur (techniques de pointes et techniques managériales).

                    Ainsi une quantité non négligeable de nos cadres et ingénieurs algériens ont des connaissances purement théoriques, et n'ont jamais participé à des projets similaires.

                    L'occasion leur est donné ainsi, de valider, de consolider et de concrétiser leur connaissance théoriques sur des projets grandeur nature.

                    Ce retour d'expérience est plus important que l'Autoroute lui-même, si l'état et nos dirigeants savent en tirer profit rapidement, et ceci afin de développer ses futurs grands projets autoroutiers.

                    Ça sera tout bénef pour l'Algérie et les Algériens !

                    Commentaire


                    • #11
                      4 000 ingénieurs algériens ont acquis sur ce chantier une expérience inestimable, à reproduire dans les projets à venir, qui seront réalisés exclusivement par des sociétés algériennes, tel l'autoroute des hauts-plateaux, les dizaines de pénétrantes vers les grandes villes, les aéroports et ports.
                      .


                      Nul n’est plus désespérément esclave, que ceux faussement convaincus d’être libres"-JWVG

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                      • #12
                        AMAR GHOUL À PROPOS DE L’AUTOROUTE EST-OUEST
                        «Elle n’a coûté que 11 milliards de dollars»

                        31 Mai 2010 - Page : 6
                        Lu 79 fois


                        C’est ce qu’a déclaré hier à Sétif, le ministre des Travaux publics.
                        Le coût global et réel de la réalisation de l’autoroute Est-Ouest s’élève à 11 milliards de dollars, «ni plus, ni moins». C’est ce qu’a déclaré hier à Sétif, le ministre des Travaux publics, M.Amar Ghoul.
                        Présidant la cérémonie de réception du tronçon de 34 km de l’autoroute reliant les wilayas de Bordj Bou Arréridj et Sétif, M.Ghoul a dénoncé «les spéculations et la surenchère entendues çà et là et qui ne servent pas l’intérêt du pays». Rappelant qu’il s’agit d’un «mégaprojet qui honore l’Algérie et tous les Algériens», le ministre a souligné que sa réalisation est le fait des «efforts conjugués de toutes les compétences algériennes, travailleurs, cadres et responsables».
                        M.Ghoul a également indiqué que 90% de cet ouvrage reliant les frontières Est et Ouest ont été réalisés en un temps record, avant même les délais contractuels, ce qui constitue, a-t-il estimé, une grande victoire pour l’Algérie. Ce projet a en outre permis de former 4500 cadres dans le domaine de la construction des autoroutes, ce qui représente, selon M.Ghoul, le véritable capital de l’Algérie, car ces compétences permettront de prendre en charge toutes les projections d’avenir dans ce domaine. Il est nécessaire de valoriser cet acquis, en veillant à son entretien, surtout qu’il sera renforcé par la réalisation d’autres voies rapides qui permettront à l’Algérie de réaliser un formidable saut qualitatif dans le domaine des infrastructures routières, a encore fait observer le ministre des Travaux publics. M.Ghoul, en ouvrant ce tronçon à la circulation automobile, en compagnie d’un représentant du consortium japonais Cojaal, a rappelé la livraison totale du tronçon de 75 km traversant la wilaya de Sétif. Les usagers de l’autoroute, du côté Est du pays, ont désormais la possibilité, grâce à cette réception, de se déplacer directement de Lakhdaria (Bouira) jusqu’à la sortie Est de Chelghoum Laïd (Mila), en attendant la réception, en juin prochain, du tronçon autoroutier traversant la wilaya de Constantine.
                        Au cours de sa visite dans la wilaya de Sétif, M.Ghoul a inspecté deux échangeurs de cette autoroute, le premier desservant l’aéroport du 8-Mai 1945 et le second faisant la jonction entre la ville de Sétif et la partie de l’ouvrage en direction de l’Est. Dans la salle des fêtes du parc d’attractions de la ville, le ministre des Travaux publics a présidé l’ouverture de Journées portes ouvertes sur l’autoroute Est-Ouest. Cette manifestation qui a accueilli dès son ouverture de nombreux visiteurs, en particulier des jeunes et des étudiants, permet au grand public de connaître, au moyen de supports photographiques et audiovisuels, les étapes ayant marqué la réalisation du projet, ainsi que les techniques, les équipements et les matériaux utilisés. Le tronçon de l’autoroute Est-Ouest traversant la wilaya de Sétif sur 75 km, compte 4 échangeurs, 8 passages inférieurs, 28 passages supérieurs et 5 ponts enjambant des cours d’eau.
                        voila un ministre qui merite son poste

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