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3,6 millions d’Algériens sont diabétiques
L’hypertension artérielle et le diabète ont été le centre d’intérêt des quatrièmes Journées internationales de diabétologie organisées à Constantine. Deux maladies chroniques, avec un taux de 4,4% pour la première et de 2,1% pour la seconde, selon le ministère de la Santé et l’Office national des statistiques, dont l’étude a été menée en collaboration avec certaines organisations onusiennes.
Cette enquête démontre que la prédominance est féminine avec un taux de 12,6% contre 8,4% chez les hommes. Le diabète, qui a atteint des proportions alarmantes dans de nombreux pays, concerne également l’Algérie, où il touche de 8% à 10% des personnes âgées de plus de 30 ans, soit environ 1,5 million, ont précisé les organisateurs.
En outre, selon les statistiques de la Fédération internationale du diabète (FID), 344 millions de personnes dans le monde sont pré-diabétiques en 2010, et à l’horizon 2030, ce chiffre s’élèvera à 472 millions de cas. Plus de 300 praticiens d’horizons divers ont participé à cette manifestation initiée par le service de la médecine interne du centre hospitalo-universitaire de Constantine et abritée par le complexe culturel Malek-Haddad.
On notera la présence d’éminents experts aussi bien algériens qu’étrangers, à l’image de professeur Serge Halimi, chef de service du CHU de Grenoble.
Ce dernier a exposé, lors de son intervention, une communication portant sur la place des inhibiteurs de DPP4 relatifs à la prise en charge des personnes atteintes de diabète du type 2 qui représentent 90% des diabétiques. Ce professeur a mis en garde contre la croissance continue du nombre de diabétiques soulignant dans ce contexte que 30% des cas représentent un terrain de complication pouvant conduire au décès.
Selon lui, le diabète est l’une des causes principales de l’amputation, l’insuffisance rénale et des accidents vasculaires cérébraux. L’on évoquera, lors de cette manifestation, les résultats annuels de «l’Américaine Diabete Association».
Dans ce contexte, il a été cité que Januvia (un traitement contre le diabète) est le seul inhibiteur de la DPP4 qui présente un profil exhaustif pour que le malade parvienne à maîtriser son diabète, et toutes les études scientifiques ont démontré jusque-là, que Januvia manifeste une baisse de 93%.
Il a été souligné que ce traitement est indiqué pour la prévention justement des complications cardio-vasculaires.
Ce traitement en question est en cours d’enregistrement en Algérie, sachant qu’actuellement il est disponible dans 86 pays. Cette rencontre scientifique internationale entre dans le cadre de la formation continue de la médecine en Algérie devant entre autres permettre de s’informer sur les dernières technologies de la médecine dans le monde et les nouvelles techniques des prises en charge des patients et notamment les traitements nouveaux.
L'expression
L’hypertension artérielle et le diabète ont été le centre d’intérêt des quatrièmes Journées internationales de diabétologie organisées à Constantine. Deux maladies chroniques, avec un taux de 4,4% pour la première et de 2,1% pour la seconde, selon le ministère de la Santé et l’Office national des statistiques, dont l’étude a été menée en collaboration avec certaines organisations onusiennes.
Cette enquête démontre que la prédominance est féminine avec un taux de 12,6% contre 8,4% chez les hommes. Le diabète, qui a atteint des proportions alarmantes dans de nombreux pays, concerne également l’Algérie, où il touche de 8% à 10% des personnes âgées de plus de 30 ans, soit environ 1,5 million, ont précisé les organisateurs.
En outre, selon les statistiques de la Fédération internationale du diabète (FID), 344 millions de personnes dans le monde sont pré-diabétiques en 2010, et à l’horizon 2030, ce chiffre s’élèvera à 472 millions de cas. Plus de 300 praticiens d’horizons divers ont participé à cette manifestation initiée par le service de la médecine interne du centre hospitalo-universitaire de Constantine et abritée par le complexe culturel Malek-Haddad.
On notera la présence d’éminents experts aussi bien algériens qu’étrangers, à l’image de professeur Serge Halimi, chef de service du CHU de Grenoble.
Ce dernier a exposé, lors de son intervention, une communication portant sur la place des inhibiteurs de DPP4 relatifs à la prise en charge des personnes atteintes de diabète du type 2 qui représentent 90% des diabétiques. Ce professeur a mis en garde contre la croissance continue du nombre de diabétiques soulignant dans ce contexte que 30% des cas représentent un terrain de complication pouvant conduire au décès.
Selon lui, le diabète est l’une des causes principales de l’amputation, l’insuffisance rénale et des accidents vasculaires cérébraux. L’on évoquera, lors de cette manifestation, les résultats annuels de «l’Américaine Diabete Association».
Dans ce contexte, il a été cité que Januvia (un traitement contre le diabète) est le seul inhibiteur de la DPP4 qui présente un profil exhaustif pour que le malade parvienne à maîtriser son diabète, et toutes les études scientifiques ont démontré jusque-là, que Januvia manifeste une baisse de 93%.
Il a été souligné que ce traitement est indiqué pour la prévention justement des complications cardio-vasculaires.
Ce traitement en question est en cours d’enregistrement en Algérie, sachant qu’actuellement il est disponible dans 86 pays. Cette rencontre scientifique internationale entre dans le cadre de la formation continue de la médecine en Algérie devant entre autres permettre de s’informer sur les dernières technologies de la médecine dans le monde et les nouvelles techniques des prises en charge des patients et notamment les traitements nouveaux.
L'expression