Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Foudil Boumala invite Karime Tabou sur la 2ème république

Réduire
Cette discussion est fermée.
X
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Foudil Boumala invite Karime Tabou sur la 2ème république

    Fodil Boumala invite Karim TABBOU sur la "Deuxième République"

    Partie 1



    Partie 2



    Partie 3

    Dernière modification par Tamedit n-was, 16 mai 2010, 10h38.

  • #2
    Heureux de voir qu'ils bougent, dommage que l'Algérie ne soit pas encore entièrement connectée au net, sinon j'en connais qui tremblerait.

    Commentaire


    • #3
      Partie 4 ........




      Partie 5



      Partie 6



      Partie 7



      Partie 8

      Dernière modification par Tamedit n-was, 16 mai 2010, 10h38.

      Commentaire


      • #4
        Omar

        Mais Karim Tabbou n'est-il pas député du FFS? Aussi donc, peut-on être dans l'opposition et consentir néanmoins à siéger dans un parlement pour gagner 27 fois le SMIG algérien?
        Le FFS a boycotté le parlement !! et il n'ya pas de député FFS ou quelqu'un du FFS qui touche à ce salaire ...
        Dernière modification par Tamedit n-was, 16 mai 2010, 10h47.

        Commentaire


        • #5
          Omar

          J'aimerai bien qu'avant d'accuser les gens sur le net à travers les forums, d'avoir le minimum d'esprit d'analyse, et d'objectivité, et de vérifier au moins tes informations



          Les élections législatives qui seront organisées en Algérie le 17 mai prochain, se feront sans le FFS qui appelle au boycott actif.
          dimanche 11 mars 2007.
          Le Front des forces socialistes (FFS), présidé par Hocine Aït Ahmed, ne participera pas au rendez-vous électoral du 17 mai prochain en Algérie. La décision a été prise, selon les deux responsables, par les membres du conseil national, réunis en session extraordinaire vendredi dernier, après consultation, ont-ils affirmé, de larges pans de la base militante par la commission politique de cet organe. “Les avis ont été partagés sur la question. Mais la raison a fini par l’emporter”, a souligné Karim Tabbou.

          La voix du président du FFS, Hocine Aït Ahmed a beaucoup pesé sur la décision, lui qui a carrément exhorté au boycott en qualifiant le scrutin législatif du 17 mai prochain en Algérie de “messe qui fête zawadj el-moutaâ”, (mariage de jouissance). MM. Laskri et Tabbou ont motivé cette option par l’ostracisme qui frappe la vie politique et l’échec avéré des institutions, dont le Parlement, qui fonctionnent, de leur avis, sans prérogatives, mais au service du pouvoir en place.

          "Les élections ne sont pas sérieuses, et nous ne cautionnerons pas une APN considérée comme une chambre d’enregistrement", a commenté Karim Tabou. “Participer à un scrutin, dans les conditions actuelles, est une énième violence contre le peuple”, a-t-il ajouté. Selon lui, ceux qui participent à ces élections sont soit à la solde du régime, soit ils ont négocié un quota de sièges dans la future Assemblée nationale.

          Synthèse de Rayane, www.algerie-dz.com
          D’après Liberté

          http://www.algerie-dz.com/article8672.html
          Dernière modification par Tamedit n-was, 16 mai 2010, 10h49.

          Commentaire


          • #6
            et pour répondre à Monsieur "Omar" qui accuse les gens de toucher un salaire qui eux même ont contesté la lois d'augmentation des salaire des députés :

            Article d'El Watan :

            Encore une fois, le premier secrétaire du FFS, Karim Tabbou, n’a pas mâché ses mots pour fustiger les députés. « Comment voulez-vous que notre pays retrouve sa sérénité au moment où les salaires de dix députés, en une année, dépassent le budget alloué à une commune en Kabylie.

            C’est inadmissible dans la mesure où les intérêts des citoyens ne sont jamais discutés de manière objective au niveau de l’Assemblée nationale. Les parlementaires ne pensent qu’à leurs avantages. L’augmentation des salaires des députés est une insulte envers les couches défavorisées, à l’exemple des universitaires sans emploi, des handicapés et ceux qui touchent 3000 DA dans le cadre de l’emploi de jeunes », a martelé le numéro deux de la formation de Hocine Aït Ahmed, jeudi, lors d’une conférence qu’il a animée à la maison de jeunes d’Aït Aïssa Mimoun, daïra de Ouaguenoun, dans la wilaya de Tizi Ouzou. Pour lui, tout se fait à l’avance et dans le sens d’avoir un parlement sur mesure car, estime-t-il, le pouvoir doit « donner l’image d’un pays où les élections se déroulent dans la transparence. C’est pour cela que le quota de chaque parti est négocié d’avance. Sinon, comment peut-on expliquer que Louisa Hanoune a eu dix sièges à Alger lors des législatives de 2007, alors que quelques mois plus tard, elle n’a eu aucune APC dans la capitale. C’est là, entre autres, la preuve tangible de ce que je viens de dire », a-t-il laissé entendre. Le porte-parole du FFS a aussi signifié que son parti n’est pas prêt à une alliance politique avec le RCD. « On ne peut pas faire alliance avec ceux qui prennent 30 millions par mois sur le dos des pauvres citoyens », a-t-il déclaré à ce sujet. Dans son discours, le premier secrétaire du vieux parti de l’opposition est revenu également sur l’élection présidentielle du 9 avril dernier. « Le pouvoir a fait un coup de force avec une fraude à l’échelle industrielle dans un pays où le chef de l’Etat se fait représenter par des repris de justice et des voyous. Les affaires de l’Etat sont sous-traitées avec la mafia locale. Le pouvoir n’a pas besoin de travailler avec la population. Il a adopté une stratégie ‘‘sauvage’’ pour assurer sa pérennité. D’ailleurs, l’Algérie n’a pas de vision économique. Elle risque de voir son argent partir sans rien faire », a-t-il fait remarquer. Enfin, sur la situation d’instabilité que connaît, depuis plusieurs mois, l’APC d’Aït Aïssa Mimoun, le numéro deux du FFS accuse, sans ambages, le chef de daïra de Ouaguenoun d’avoir manipulé les élus FLN, RCD et celui du RND pour déstabiliser le maire et demander sa destitution. « Les maires FFS ne cessent de subir les pressions du chef de daïra de Ouaguenoun parce qu’ils ont refusé d’aller chez Bouteflika », a-t-il souligné.

            Commentaire


            • #7
              Oui mais on peut toujours dire qu'ils n'avaient presque aucun siège, il faut que l'opposition s'unisse.

              Commentaire


              • #8
                Opposition de qui ?

                des mehni , RCD et des Hames, ou du RND contre les vieillards retraités du FLN ??

                Soyons sérieux, le mot opposition ne signifie pas "danser avec une autre musique que celle chantée par l'orchestre du pouvoir" , l'opposition c'est l'autre alternative qui s'oppose à ce régime avec un VRAI projet de société..

                Commentaire


                • #9
                  Nous connaissons tous la VRAIE opposition, les vendus comme le RND ou le hamas n'en sont pas une, mehni ne mérite même pas qu'on s'y attarde, et le RCD oui est porteur d'un projet sérieux!

                  FFS et RCD si ils s'étaient unis, auraient pu rassembler, malheureusement on pense encore au leadership régional pour certains, pourtant ce sont les deux seuls qui parlent, qui ne se mettent pas à plat ventre, et qui interpellent sur la situation.

                  Commentaire


                  • #10
                    Reste à savoir si effectivement le FFS n'a pas de députés au parlement algérien? Sincèrement, je donne ma langue au chat.
                    __________________

                    Leader du Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD), mouvement d'opposition laïque, Saïd Saadi, un des rares députés à avoir voté contre la réforme, l'a qualifiée de "coup d'Etat déguisé" et affirmé que "le 12 novembre restera(it) une journée noire dans l'histoire" du pays.

                    Elu pour la première fois à la présidence en 1999, avec le soutien de l'armée, en promettant de mettre fin à l'insurrection islamiste déclenchée sept ans plus tôt, Bouteflika avait été réélu cinq ans plus tard, à la faveur d'un recul de la violence.

                    Le chef de l'Etat algérien, qui est âgé de 71 ans, ne s'est pas encore explicitement déclaré candidat à un troisième mandat lors des présidentielles d'avril 2009, mais ses partisans l'y incitent et ses opposants ne doutent pas qu'il se représentera.

                    "Notre but est de renforcer notre système politique", a assuré le président Bouteflika dans une déclaration lue après le vote des députés et sénateurs, qui ont approuvé la réforme par 500 voix contre 21 et huit abstentions.

                    Commentaire


                    • #11
                      Omar
                      tu ne fais pas la différence entre RCD et FFS ?

                      Commentaire


                      • #12
                        Exact, j'ai toujours fait une confusion entre les deux partis, dont celui de Sadi est une dissidence du FFS.

                        Commentaire


                        • #13
                          donc avec ces échanges, j'espère que tu corrigeras cette confusion et que tu réfléchisses et tu mesures ce que tu commentes comme réponse.

                          Cordialement.

                          Commentaire


                          • #14
                            merci sensib pour les videos, 2 heures c'est enorme...

                            je pense que l'avantage qu'a le ffs sur les s'autres courants politique c'est son courage a soulever les vraies questions sans se soucier des consequences sur sa base electorale, mais son probleme est qu'il n'arrive pas a créer le declic chez les algeriens, quand on voit qu'un simple chanteur provoque le buzz on se demande si vraiment les algeriens s'interessent encore a la politique.
                            There's nothing wrong with being shallow as long as you're insightful about it.

                            Commentaire


                            • #15
                              Donc, le FFS a abandonné la partie? C'est une excellente initiative dont avait par ailleurs conseillé Abrika aux deux formations kabyles.
                              _______________________

                              La première fracture intervient en octobre 2002. Le FFS choisit de participer aux élections locales, en dépit du «pacte d'honneur» imposé par les arouch, qui exigent le boycott de toutes les consultations. Au lendemain du scrutin, les principaux animateurs du «mouvement citoyen» sont mis sous les verrous, y compris celui qui passe pour être leur porte-parole, un jeune enseignant de sciences économiques aux cheveux longs venu de l'extrême gauche, Belaïd Abrika. Le mouvement s'étiole, peine à mobiliser. «Ils appelaient régulièrement à des manifestations devant le tribunal lorsque l'un des leurs comparaissait, mais ils étaient chaque fois un peu moins nombreux», se souvient Mourad Hachid.

                              Commentaire

                              Chargement...
                              X